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[TEST] Necromunda: Hired Gun sur Xbox Series X

Développé par le studio français Streum On (stre-mon, monstre,… t’as compris ? héhé ), Necromunda: Hired Gun sur Xbox Series X vous transporte en pleine licence Warhammer 40 000. Très fortement inspiré du célèbre Doom, nous allons voir un peu ce que donne ce FPS ultra nerveux manette en main ! 

Scénario : Dans Necromunda: Hired Gun, vous embarquerez en plein milieu d’un univers extrêmement violent au cœur d’un des mondes les plus sordides de Warhammer 40,000 ! Dans la peau d’un chasseur de prime, vous plongerez dans les profondeurs de Necromunda, un monde impitoyable gouverné par le crime et la corruption… Autant vous le dire direct, ça va défourailler dans tous les coins pour empocher les primes !

Graphismes : Tiens un nouveau Doom… Voici ce qui m’a traverser l’esprit en démarrant l’aventure ! Puis plus les heures de jeu passaient, plus je me disais que le titre de Streum On n’égalera pas le maitre sur un point graphiquement parlant ! Attention, je n’ai pas dit que le jeu était laid pour autant ! Hired Gun nous transporte dans un cadre aride et hostile où les différents environnements respectent parfaitement l’univers Warhammer 40 000. Les lieux que vous traverserez durant vos périples dans le monde criminel de Necromunda sont vastes, variés et sanglants à souhaits… On pourrait presque sentir la puanteur et l’odeur de rouille de certains endroits à travers notre écran ! En bref, le jeu ne fait pas dans la dentelle ! 

Jouabilité : Accompagné de votre cyber-clébard, qui vous aidera et vous suivra jusqu’au bout du chaos, notre chasseur de primes est un vrai guerrier ! Il peut courir sur les murs (tout en tirant si vous le souhaitez), faire des doubles sauts, glisser, esquiver les tirs adverses, défoncer ses ennemis au corps à corps,… et… même utiliser un grappin afin d’atteindre les plateformes les plus hautes, se faire la malle lorsque vous êtes submergés par des hordes de fous furieux ou encore faire sauter les boucliers de vos ennemis… Une dinguerie ! Necromunda: Hired Gun brille par la richesse de l’arsenal proposé ainsi que par les nombreux choix de customisations et d’améliorations de vos équipements, armes et même de votre cleps ! Mais toutes ces options ne seront disponibles qu’entre 2 missions, à condition, bien évidemment, d’obtenir assez de crédits pour les débloquer. Hired Gun emprunte de nombreux éléments au monde des RPG et les intègre brillamment à son gameplay. Comme vous l’aurez compris, le jeu est très nerveux et ne laisse que très peu de temps mort ! En effet, ici pas de couverture pour vous cacher ni de pause à la « Call of » pour vous régénérer lorsque vous avez subi des dégâts. Ce qui vous oblige à enchainer les kills pour faire le plein de santé ! 

Durée de Vie : Comptez une bonne douzaine d’heures de brutalité pour boucler la campagne principale de ce Necromunda: Hired Gun ! S’ajoute à cela de nombreuses missions secondaires et de nombreuses options de customisations ! Il manque malheureusement un mode de jeu multi-joueurs pour gonfler un peu plus la durée de vie du jeu ! Quoi qu’il en soit, le titre est un bon défouloir et on ne voit pas le temps passer manette en main ! Il est tout de même important de souligner que le titre est vendu moins d’une quarantaine d’euros !

Bande Son : Les thèmes musicaux contribuent FORTEMENT à l’immersion de l’ensemble du titre. La bande son est tout simplement géniale et s’accorde parfaitement avec l’ambiance du jeu ! Du bon gros SON qui pète les oreilles lorsque l’on massacre les hordes de démons ! Il est très important de souligner que les doublages sont en français et que les bruitages des armes et des explosions sont plus que convaincants. 

Conclusion : On ne va pas se mentir, le titre n’est pas parfait sur toute la ligne mais fait très bien le job, surtout pour un prix très attractif (moins d’une quarantaine d’euros) ! Personnellement j’ai pris énormément de plaisir à poser mon cerveau le temps d’une partie et de défourailler tout ce qui se mettait en travers de mon chemin ! A ne pas douter que les passionnés de l’univers de Warhammer 40,000 et les amateurs de FPS en général trouveront plaisir à parcourir les profondeurs de Necromunda !

[TEST] Mirror’s Edge Catalyst SUR XBOX ONE

Véritable O.V.N.I. (Objet Vidéoludique Non Identifié) sorti en 2008, Mirror’s Edge premier du nom m’avait à l’époque complètement conquis… 2016, Electronic Arts et DICE remettent le couvert profitant de la puissance de la Xbox One et nous proposent un reboot de la série s’intitulant « Catalyst » développant plus en détail le passé de la belle Faith !

Mirror’s Edge Catalyst

Scénario : Mirror’s Edge Catalyst nous plonge dans les origines de Faith, une jeune femme livrée à elle-même, qui deviendra l’héroïne capable d’ouvrir les yeux de toute une ville. En effet, à peine sortie de prison, la belle messagère talentueuse, va chambouler les plans du Conglomérat et du maléfique Gabriel Kruger…

Graphismes : Mirror’s Edge Catalyst nous transporte au cœur de la ville futuristique de Glass. Divisée en plusieurs quartier, la cité est composée de nombreux et de très imposants gratte-ciel. Les toits et les terrasses des gigantesques buildings seront donc votre terrain de jeu et jamais vous ne poserez un pied dans les rues de la ville. Faith est une « Yamakazi » qui ne se déplace que dans les hauteurs et il n’est pas rare de s’arrêter de courir pour admirer les points de vue vertigineux que le titre nous offre. Les animations sont superbes et la fluidité du jeu vraiment plaisante. Ce qui est dommage, en revanche, c’est que vous ne croiserez pas grand monde lors de vos péripéties…

Jouabilité : La prise en main se fait sans mal, même si pour ma part j’ai préféré changer la configuration des boutons de la manette (« A » pour sauter)… Faith est très agile et souple comme un roseau… Courir, grimper, sauter, glisser et se balancer en utilisant l’environnement pour franchir des précipices ou négocier des virages se fera sans mal. Ses seules armes sont ses pieds et ses mains mais aussi sa connaissance des arts martiaux qui vous aidera à combattre l’oppression dont souffre les citoyens de la ville de Glass. Elle dispose également de quelques gadgets comme le grappin pour atteindre certains endroits de base inaccessibles ou encore le perturbateur, un système sophistiqué et intégré au gant de Faith qui permet de décrypter et de perturber les systèmes KrugerSec afin d’anéantir leur intelligence artificielle. Un « arbre de compétence » débloquera de nouvelles habilités grâce à l’XP gagné et vous permettra également de mieux vous défendre. Bref, dans Mirror’s Edge Catalyst la fluidité des déplacements et la coordination de la pensée, des mains et de la manette sont essentielles pour mener à bien vos missions.

Durée de Vie : Comptez une bonne dizaine d’heures de jeu pour terminer le mode histoire. S’ajoute à cela bon nombre de quêtes annexes et d’activités secondaires telles que la livraison express d’un colis ou encore effectuer quelques courses chronométrées histoire de montrer ce que vous valez sur le terrain. Les plus courageux d’entre vous pourront également s’amuser à rechercher tous les items dispersés sur la map, effectuer des missions de piratage des affiches et vous pourrez même défier vos potes grâce au jeu social en créant vos propres courses contre-la-montre sur les toits. Vous pouvez également participer aux sprints (courses d’un point A à un point B) conçus par DICE afin d’essayer de trouver les meilleurs itinéraires grâce à vos mouvements de parcours…

Bande Son : Les thème musicaux, composés spécialement par Solar Fields, évoluent et s’adaptent à votre rythme de jeu. Et que vous soyez en plein combat ou en pleine course, le moindre coup de poing, de pied, réception, roulade et j’en passe,… ont été enregistrés pour rendre l’expérience la plus réaliste possible. Rajoutez à cela un doublage en français plus que convaincant !

Conclusion : Le titre de Dice et d’Electronic Arts vous transportera dans la peau d’une jeune et belle Yamakasi aux quatre coins d’une ville futuriste ! Servi par une aventure rythmée, un gameplay efficace, une bande son irréprochable, une durée de vie plus que convenable et un univers fascinant, Mirror’s Edge Catalyst vous captivera du début jusqu’à la fin ! Bref, un titre à se procurer sans aucune hésitation !

[TEST] OVERWATCH sur XBOX ONE

Après avoir passé des heures et des heures de jeu à batailler avec mes potes sur la dernière production d’Activision Blizzard, je peux enfin vous livrer mes quelques impressions sur ce Overwatch qui fait tant parler de lui sur la toile !  8)

OVERWATCH

Scénario : Alors qu’un conflit mondial faisait rage, une équipe internationale de soldats, de scientifiques, d’aventuriers et de marginaux se rassembla pour restaurer la paix dans un monde déchiré par la guerre. Cet organisme, appelé Overwatch, mit fin à la crise et aida à maintenir l’ordre par la suite, ouvrant la voie à une ère d’explorations, d’innovations et de découvertes. Mais au fil des ans, l’organisation finit par être dissoute et son démantèlement signa alors le retour des affrontements…

Graphismes : Ouch ! Put*** qu’c’est beau ! Overwatch nous transporte aux quatre coins du globe. En effet, vous serez amené à combattre dans des environnements « cartoonesques futuristes », vastes, riches, variés et colorés à souhait tel que le Temple d’Anubis situé en Egypte, le Japon, la Russie avec ses paysages Sibériens, les Etats-Unis en plein milieu du Grand Canyon sur la mythique route 66 ou encore à Hollywood au milieu des décors de cinéma, en passant par la chine, le Népal, l’Angleterre, la Grèce et bien d’autres destinations qui sont toutes aussi magnifiques les une que les autres ! Quant aux 21 personnages jouables, ils sont vraiment très réussis et on sent que les développeurs ont dû bien se marrer en les créant !

Jouabilité : La prise en main de ce Overwatch est intuitive, précise et agréable. Mais avant de vous lancer corps et âmes dans des affrontements musclés, il est fortement conseillé de passer par le didacticiel (très bien fichu d’ailleurs) pour y découvrir les bases du jeu. Suite à ça, vous pourrez choisir un combattant parmi les 21 sélectionnables et vous rendre sur le champ de bataille ! Pour composer votre « Dream Team » de 6 soldats, il faudra bien choisir vos combattants et vous adapter aux autres membres de l’équipe à chaque début de match si vous voulez avoir une chance de remporter la victoire et accomplir les divers objectifs. Chaque héros possède son propre arsenal d’armes ainsi que des capacités extraordinaires qui lui permettent d’utiliser les pouvoirs et les équipements uniques afin de défourailler ses adversaires, protéger ses équipiers ou encore se déplacer à travers la carte.

Durée de Vie : Overwatch propose plusieurs modes de jeu qui vous occuperont de très très longues heures et qui contenteront aussi bien les vétérans des jeux de tir à la première personne que les novices. Chaque terrain est propre à un mode de jeu et les conditions de victoire ne seront donc pas les mêmes en fonction de la map choisie. Par exemple dans Convoi, l’objectif de l’équipe en attaque est d’apporter un chargement à un point de livraison, alors que les défenseurs doivent empêcher l’avancée des attaquants. Alors que dans Point de Contrôle, deux team se combattent pour le contrôle du champ de bataille, avec une team en attaque et l’autre en défense. L’objectif des attaquants est de capturer des points stratégiques, alors que les défenseurs doivent en garder le contrôle jusqu’à la fin du temps imparti. À chaque fin de parties, quelle qu’en soit l’issue, vous gagnerez des coffres de butin contenant un assortiment de crédits et d’objets (jusqu’à 4 maximum) pour personnaliser vos héros (tags, répliques et nouvelles animations). Ces coffres peuvent également contenir des modèles légendaires qui modifieront complètement l’apparence de vos guerriers.

Bande Son : Une tuerie ! Les doublages sont en français et une pointe d’humour habite constamment Overwatch ! Les bruitages des armes et des explosions sont plus que convaincants et les thèmes musicaux sont orgasmiques (oui oui,… rien que ça !).

Conclusion : Extrêmement nerveux, Overwatch s’impose sans mal comme le FPS coopératif et compétitif par excellence (très loin devant Battleborn). La réalisation est au top, la bande son magique, la prise en main est parfaite et croyez moi qu’une fois la galette dans la console vous aurez du mal à décrocher ! Sur ce j’y retourne !  :p

[TEST] Homefront : The Revolution sur XBOX ONE

Il y a 5 ans, le studio THQ nous sortait un « Homefront » qui n’avait pas spécialement conquis la presse spécialisée jeux-vidéo à l’époque. Aujourd’hui, Deep Silver, nouveau détenteur de la franchise, nous propose un reboot intitulé Homefront : The revolution dont l’action se place dans un tout nouveau jeu de tir en monde ouvert !

Homefront : The Revolution

Scénario : Dans Homefront : The Revolution vous incarnerez Ethan Brady, une jeune recrue qui aura pour mission de mener la résistance, suite à de nombreuses années d’occupation militaire, lors d’une guérilla face à un ennemi supérieur en tous points. En effet, vos adversaires ont un avantage sur vous car ils possèdent des technologies de pointe, une puissance de feu dévastatrice, de très nombreux blindés ainsi qu’une couverture aérienne rapprochée… La tâche sera difficile mais la population compte sur vous pour insuffler l’esprit de rébellion dans les rue de la ville, ralliant ainsi les citoyens à votre cause et transformant l’occupation en révolution !

Graphismes : Je n’irais pas jusqu’à dire que le titre de Deep Silver vous pétera la rétine (surtout si comme moi vous venez de terminer Uncharted 4 juste avant), mais simplement que le tout est agréable à l’œil… Homefront : The Revolution nous transporte dans une Amérique dévastée suite à 4 années d’occupation militaire Coréenne et vous y découvrirez l’ambiance oppressante de la ville de Philadelphie qui ressemble désormais à un ghetto bouclé par les drones de surveillance et les patrouilles blindées qui font régner l’ordre par la force et la peur ! Vous serez amené à traverser des paysages désertiques, des rues dévastées par les bombardements tout en passant par les bidonvilles et les stations de métro abandonnées où la résistance essaie tant bien que mal de s’organiser face à l’ennemi. Les personnages sont quant à eux bien modélisés malgré des visages peu expressifs et « botoxés ».

Jouabilité : Comme tout bon FPS qui se respecte, Homefront : The Revolution se veut très facile à prendre en main et incarner un membre de la résistance pour le faire évoluer dans un univers oppressant est carrément stressant. En effet, ici, il faut constamment être sur ses gardes et éviter de trop faire le fou en tirant des coups de feu comme un malade dans les rues sous peine de voir débouler de nombreux soldats et de nombreux drones qui vous calmeront une bonne fois pour toute… Bref, pour mener à bien vos missions, un arsenal très complet vous sera proposer. Toutes les armes de base possèdent plusieurs configurations de combat et vous pourrez facilement monter ou démonter les pièces de celles-ci afin de personnaliser leur points de fixation. Par exemple, votre flingue le plus basique peut devenir une mitraillette et votre fusil à pompe un redoutable cracheur de grenades… Un outil de piratage vous sera remis et il vous permettra de cramer les caméras de sécurité et de retourner les drones et les tourelles automatiques de vos ennemis contre eux. Si malgré tout ça vous galérez à passer certaines zones, vous pourrez recruter d’autres combattants de la liberté pour qu’ils se battent à vos côtés (même si ceux-ci sont carrément à la ramasse)… Et si vous en avez marre de traverser en long, en large et en travers la map à pied, libre à vous d’utiliser la moto dont la conduite est tout simplement merdique… Vous n’aurez néanmoins que le choix de l’utiliser à moins de vouloir cavaler comme un galérien pendant des kilomètres et des kilomètres (car oui la carte est grande) !

Durée de Vie : Comptez une bonne vingtaine d’heures de jeu pour terminer la campagne. Celle-ci est divisée en 3 zones (rouge, jaune et verte) et par niveau de difficulté. Votre mission (si vous l’acceptez) sera de les reprendre une par une en accomplissant des petits objectifs afin d’espérer mener la résistance au sommet et chasser l’occupant ! Homefront : The Revolution propose également un mode coopération à quatre joueurs sur une douzaine de missions. Celles-ci vous proposeront de récupérer des zones et de résister à des vagues d’ennemis. Simple et efficace !

Bande Son : Les bruitages et les thèmes musicaux font le boulot et l’ambiance globale est immersive ! Côté doublage, ils sont en français mais les visages sont tellement botoxés que les personnages ont du mal à bouger leurs lèvres !

Conclusion : Avec son scénario digne d’un grand film américain, mélangeant guerre et science fiction, et son ambiance stressante à souhait, Homefront : The Revolution vous fera passer un bon moment en compagnie d’ Ethan Brady, même si on aurait aimé faire l’aventure complète entre potes et pas seulement que sur une douzaine de missions… !

[TEST] DOOM SUR XBOX ONE

Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… ♫♫ PlayStation, en ce temps-là, accueillait DOOM un jeu de tir en vue à la première personne ultra sanglant… Une vingtaine d’années plus tard, ID Software nous fait le plaisir de nous sortir un reboot de ce titre culte qui a donné ses lettres de noblesse au genre FPS !

Scénario : Pour faire court, dans DOOM, vous incarnez un Space Marine ayant été transféré sur la planète Mars afin de travailler pour l’UAC (Union Aerospace Corporation) et repousser ainsi une invasion de démons tout droit sortis de l’enfer. Pour cela un arsenal complet sera mis à votre disposition afin de défourailler tout ce qui bouge ! Simple et efficace !

Graphismes : Superbement glauque… Voici ce qui me vient tout de suite à l’esprit ! DOOM vous transporte dans un cadre aride et hostile. Que ce soit à l’intérieur du complexe de l’UAC sans vie et dévasté par les démons, dans les terres désolées de Mars qui s’articulent autour de rochers imposants ou encore même en Enfer avec ses gouffres et ses puits de laves, le titre d’Id Software vous éblouira par sa direction artistique et son ambiance violente à souhaits tant le rendu réaliste est incroyable ! De plus, les effets d’ombre et les jeux de lumières sont irréprochables et s’accordent parfaitement aux effets spéciaux qui sont tout simplement bluffants ! Un véritable régal pour nos petits yeux !

Jouabilité : La prise en main est immédiate ! Que ce soit au niveau de la campagne ou du mode multijoueur, le jeu est très nerveux et ne laisse que très peu de temps mort ! En effet, ici pas de couverture pour vous cacher ni de pause à la « Call of » pour vous régénérer lorsque vous avez subi des dégâts. Ce qui vous oblige à chercher dans les moindres recoins des packs de santé et les boosts d’armure régulièrement avant de défourailler les hordes de démons. L’arsenal futuriste et dévastateur mis à disposition est varié et permet de trancher, découper, massacrer, piétiner, exploser, laminer, et j’en passe,…  vos ennemis avec une violence inouïe ! Mon dieu c’que c’est bon !

Durée de Vie : Comptez une bonne douzaine d’heures de brutalité pour boucler la campagne ultra gore de ce DOOM cuvée 2016 ! S’ajoute à cela un mode « Snapmap » qui vous permettra d’enrichir votre expérience doomesque et vous pourrez ainsi mettre votre créativité à toute épreuve, en créant des arènes personnalisées, en modifiant des cartes, en ajoutant des modes de jeu prédéfinis ou personnalisés tout en modifiant les mécanismes du jeu… Vous pourrez bien évidemment partager vos créations avec les autres joueurs du monde entier ! Les modes multijoueurs, au nombre de six, sont très complets et variés. A noter que pour la première fois dans l’histoire du jeu vous pourrez incarner un démon et semer le chaos.

 

  • Moisson d’âmes : Est similaire au match à mort en équipe, mais au lieu d’engranger les points à chaque élimination, vous devrez récupérer les âmes de vos ennemis tombés.
  • Freeze tag : Plutôt que de tuer les ennemis, vous devrez les geler sur place, en les transformant en bloc de glace. Vos coéquipiers pourront dégeler leur alliés en se tenant près d’eux pendant un certain temps.
  • Sentier de la guerre : Un unique point de capture se déplace sur la carte suivant un itinéraire déterminé. Et si cela ne suffit pas, une rune démon se déplace en parallèle de l’autre côté du sentier.
  • Domination : inclut jusqu’à trois points de capture statiques répartis sur une carte. Vous apparaîtrez en différents points de la carte et pourrez prendre le contrôle des points de capture en éliminant les ennemis et en restant dans la zone désignée.
  • Match à mort par équipe : met face à face deux équipes qui s’affrontent. La victoire revient à l’équipe qui atteint en premier un score prédéfini ou par l’équipe qui a le plus de points à la fin du temps imparti.
  • Arène de clan : est un jeu d’élimination : la dernière équipe survivante gagne. Tous les bonus sont enlevés de la carte et les joueurs ne peuvent restaurer ni leur santé, ni leur armure.

Bande Son : La bande originale de DOOM, contribue FORTEMENT à l’immersion et à la réussite de l’ensemble du titre. La bande son est tout simplement géniale et s’accorde parfaitement avec l’ambiance du jeu ! En effet, du bon gros métal qui pète les oreilles se déclenche lorsque l’on massacre les hordes de démons ! Les doublages sont en français et les bruitages des armes et des explosions sont plus que convaincants.

Conclusion : C’que c’est bon, mais c’que c’est bon de rentrer du boulot et de se poser sur le canap pour se défouler en défouraillant du démons en veux-tu en voilà devant DOOM ! Il possède tout ce que l’on en est droit d’attendre en matière de jeu-vidéo, c’est à dire : du FUN, du FUN et encore du FUN ! Bref, à posséder !

Tout au long de l’année, DOOM « Snapmap » et les modes de jeu multijoueur bénéficieront de mises à jour de contenu majeures qui seront disponibles gratuitement.

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