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[TEST] Diablo 3 : Ultimate Evil Edition
Après avoir conquis le cœur et l’âme de millions de joueurs, Diablo 3, le célèbre Hack and Slash (t’avances, tu butes, tu ramasses,…) d’Activision Blizzard, débarque sur PS4 et XBOX One dans une version intitulée« Ultimate Evil Edition ». Cette version regroupe le contenu original ainsi que celui de l’extension « Reaper of Souls ». 
Scénario : Vingt ans se sont écoulés depuis que les démons primordiaux ont été vaincus et bannis du monde de Sanctuaire. Il vous faut aujourd’hui revenir là où tout a commencé, dans la ville de Tristam, et enquêter sur les rumeurs parlant d’une étoile tombée du ciel. Car c’est là le présage de la fin des temps…
Graphismes : Diablo 3 : Ultimate Evil Edition est vraiment splendide (voilà, ça c’est fait !). Les développeurs ont fait du bon boulot pour ce portage, et vos grand yeux ouverts n’en seront que comblés. Un vrai plaisir ! Les différents environnements qui composent l’aventure de vos héros sont vastes, colorés, riches, variés et donnent l’impression d’avoir été peints à la main. Les cinématiques sont surprenantes et les planches « crayonnées » qui ponctuent certains événements de l’intrigue apportent une touche unique. Lors des combats, c’est un feu d’artifice de couleurs étincelantes qui fera vibrer votre écran de Tv…, et ce, avec une fluidité à 60 fps et 1080p qui est vraiment très appréciable. Aucun doute, on est bien devant une production Blizzard !
Jouabilité : La prise en main à la manette se fait sans mal et le gameplay du jeu reste toujours aussi nerveux et addictif, ce qui conviendra aussi bien aux joueurs confirmés qu’aux débutants ! Vous pourrez prendre en main 6 classes de personnages aux compétences différentes, dont le Croisé (une sorte de guerrier équipé d’une armure lourde et maitrisant un grand nombre d’armes de mêlée et de pouvoirs sacrés) qui apporte du sang neuf à l’ensemble grâce à son style pour le moins … hum… percutant. Ici, la limite de niveaux est portée à 70 et les nouvelles compétences de combat redonnent de la fraicheur à l’ensemble et le bestiaire inédit apporte aussi son lot de nouveautés… Des objets magiques à la pelle et un artisan supplémentaire, la Mystique, renforcent un peu plus la montée en puissance de votre avatar.
A noter que les aventuriers qui se sont déjà procurés Diablo 3 sur l’ancienne génération de consoles seront heureux d’apprendre que cette édition permet d’importer ses personnages, sa progression et son butin gagnés auparavant !
Durée de Vie : Il vous faudra une bonne quinzaine d’heures de jeu en « normal » pour voir le bout de l’aventure en ligne droite (sachant que le jeu dispose de plusieurs niveaux de difficulté)… Mais en choisissant cette option, vous passerez à côté de nombreux donjons secondaires, d’événements et de défis annexes pouvant jalonner votre parcours. D’ailleurs quand on y réfléchit bien, il est assez difficile d’estimer la durée de vie du jeu, car dans cette « Ultimate Evil Edition », le contenu est plutôt conséquent, et on peut choisir de tout explorer,… ou pas… Cela dépendra beaucoup des joueurs qui combattront à vos côtés… Mais quoi qu’il en soit, le titre d’Activision Blizzard est clairement conçu pour être joué en coop’ avec des potes ! En effet, les parties multi-joueurs autorisent jusqu’à quatre héros sur la même console et/ou en ligne. En bref, des heures et des heures de jeu en perspective.
Bande Son : Les thèmes musicaux sont efficaces et l’ambiance globale très immersive ! Côté doublage, bah… Ils sont en français ! Oui, en français et vraiment très convaincant !
Conclusion : Gameplay jouissif, classes variées, univers immersif, durée de vie inestimable, difficultés finement dosées et mode multi-joueur disponible en ligne et hors ligne sur un même écran ! En résumé, n’attendez plus et venez signer un pacte avec El Diablo ! 
[TEST] Fable Anniversary sur XBOX 360
Il y dix ans,… et oui dix ans déjà,… je m’en souviens comme ci c’était hier… (tousse, tousse,…) sortait le merveilleux « Fable » sur Xbox première du nom. Aujourd’hui, le meilleur épisode de la série (à mes yeux), nous revient dans une version remastérisée sur Xbox 360, intitulée « Anniversary ». Ayant (re)terminé cette aventure en long, en large, en travers et obtenue les 1000 G, l’heure est venue de vous parler de cette petite pépite signée « Lionhead » !
Scénario : Tout commence dans le petit village d’Oakvale. Vous incarnez le très jeune « Chasse Poulet », et devez trouver un cadeau d’anniversaire pour votre sœur. Un marchand ambulant traîne au village et vous propose justement une boîte de chocolats pour 3 pièces seulement. Pour obtenir cet argent vous allez devoir réaliser de bonnes actions auprès de certains villageois… ou au contraire en commençant vos exploits diaboliques. Une fois les chocolats offerts, le petit village paisible subit une violente attaque par des bandits. Votre père se fait tuer, votre sœur s’enfuit et votre mère se fait enlever… Quant à vous, un homme mystérieux vous sauve la vie et vous emmène avec lui… C’est ainsi que commence votre aventure, qui changera à jamais votre destinée dans cette espèce de mise en scène qui sert en vérité de tutoriel !
Graphismes : Le travail accompli sur cette version « HD » est très impressionnant et le tout est vraiment très agréable à l’œil, même si ce « remake » ne vous pétera pas la rétine. Arpenter (de nouveaux) les terres d’Albion dans des environnements beaucoup plus détaillés qu’autrefois vous fera tomber sous le charme de cet univers si fantastique et vous fera même oublié les vilains petits bugs graphiques ici et là (rien de méchant je vous rassure)… La seule chose qui me dérange un peu dans cette version Anniversary, c’est le nouveau visage du héro. En effet, je préférais celui de l’opus original, mais cela n’engage que moi… Quoiqu’il en soit, les différents personnages du jeu sont bien mieux modélisés et bien plus lisses qu’avant. Quant aux animations, elles ont été considérablement améliorées.
Jouabilité : Les équipes de Lionhead n’ont pas touché au gameplay de notre « Fable » original, qui est intuitif et efficace de base. « Chasse poulet » se contrôle à l’aide du stick analogique gauche et une gâchette sert de garde et d’esquive si on bouge le stick de droite à gauche… Trois boutons sont nécessaire pour les combats, le X pour les attaques de mêlées (bâtons, épées, haches, marteaux,…), le Y pour utiliser les attaques à distance (arcs et arbalètes) et le B pour vous servir de vos nombreux pouvoirs magiques. Chaque action que vous réaliserez, bonne ou mauvaise, aura une « incidence » pendant le déroulement de votre aventure et sur les personnes que vous croiserez. À vous de voir si vous souhaitez devenir une légende angélique ou diabolique, mais n’oubliez pas que « La frontière entre le mal et le bien est une frontière fragile » (mouhahahaha!). À noter qu’en téléchargeant gratuitement Smartglass sur votre smartphone ou sur votre tablette, Fable Anniversary vous dévoilera de nombreux bonus cachés lors de la consultation la carte.
Durée de Vie : Il m’aura fallu une bonne trentaine d’heures pour venir à bout de cette magnifique aventure (quête principale + quêtes annexes) en fouinant chaque recoin et en récoltant tout sur mon passage afin d’obtenir les 1000 G dessus. Certains succès sont assez coriaces et d’autres plutôt drôles à réaliser. À savoir que cette édition « Anniversary » contient le « DLC » The Lost Chapters, sorti sur notre bonne vieille Xbox en 2005.
Bande Son : Quel bonheur de retrouver les thèmes enchanteurs de cette série ! L’ambiance sonore nous immerge complètement dans cette aventure où l’humour est omniprésent !
Conclusion : Vendu quarante euros, Fable Anniversary permet aux joueurs ne connaissant pas le premier (et meilleur) opus de la série, de découvrir une aventure riche, prenante et remplie d’humour potache. Quant aux joueurs connaissant le titre original, ils seront ravis de recommencer cette aventure si prenante et remise au gout du jour… Bref, à posséder !
[TEST] Diablo 3 sur XBOX 360
Après avoir conquis le cœur et l’âme de plus de 12 millions de joueurs PC, Diablo 3, le célèbre Hack and Slash (t’avances, tu butes, tu ramasses,…) d’Activision Blizzard sorti au printemps 2012, débarque enfin sur nos consoles et compte bien déchaîner l’enfer dans nos salons !
Scénario : Vingt ans se sont écoulés depuis que les démons primordiaux ont été vaincus et bannis du monde de Sanctuaire. Il vous faut aujourd’hui revenir là où tout a commencé, dans la ville de Tristam, et enquêter sur les rumeurs parlant d’une étoile tombée du ciel. Car c’est là le présage de la fin des temps…
Graphismes : Diablo 3 est vraiment splendide ! Un vrai plaisir pour nos petits yeux ! Les environnements des quatre actes qui composent l’aventure de vos héros sont vastes, colorés, riches, variés et donnent l’impression d’avoir été peints à la main. Les cinématiques sont surprenantes et les planches « crayonnées » qui ponctuent certains événements de l’intrigue apportent une touche unique. Lors des combats, c’est un feu d’artifice de couleurs étincelantes qui fera vibrer votre écran de Tv…, et ce, avec une fluidité vraiment très appréciable. Aucun doute, on est bien devant une production Blizzard !
Jouabilité : Vous êtes l’un des derniers défenseurs de l’humanité et avant de commencer à jouer, il vous faudra choisir un personnage, que vous ferez évoluer, parmi les cinq classes disponible. Barbare (vagabond au tempérament sauvage, ne reculant jamais devant un combat au corps à corps), chasseur de démons (guerrier infatigable qui exécute ses cibles grâce à son excellent arsenal d’armes de combat à distance), moine (guerrier saint qui canalise les puissances divines par la seule force de sa volonté), féticheur (guerrier spirituel qui invoque les âmes des morts ou des créatures rampantes afin de les soumettre à sa volonté) ou sorcier (lanceur de sorts renégats qui utilisent son corps comme vaisseau pour canaliser les énergies des arcanes, délaissant les voies studieuses empruntées par les autres adeptes de la magie). Une fois cette étape passée, vous entrerez dans le vif du sujet et comme dans tout bon Hack and Slash qui se respecte, vous devrez réduire en poussière des hordes de morts-vivants et autres démons qui hantent ce monde impitoyable (mouhahahahaha…) ! Mais, mais, mais,… Ne vous inquiétez pas ! La prise en main à la manette se fait sans mal et le gameplay du jeu conviendra aussi bien aux joueurs confirmés qu’aux débutants ! L’œil constamment pointé sur la barre de dégâts, vous allez vous frayer un chemin à travers les légions de l’enfer en jonglant avec l’inventaire, les aptitudes, le portail et les six pouvoirs spéciaux (qui trouveront facilement leur place sur le pad).
Durée de Vie : Il vous faudra une bonne dizaine d’heures de jeu en « normal » pour voir le bout de l’aventure en ligne droite (sachant que le jeu dispose de quatre niveaux de difficulté)… Mais en choisissant cette option, vous passerez à côté de nombreux donjons secondaires, d’événements et de défis annexes pouvant jalonner votre parcours. D’ailleurs quand on y réfléchit bien, il est assez difficile d’estimer la durée de vie du jeu, car dans Diablo 3, le contenu est plutôt conséquent, et on peut choisir de tout explorer,… ou pas… Cela dépendra beaucoup des joueurs qui combattront à vos côtés… Mais quoi qu’il en soit, le titre d’Activision Blizzard est clairement conçu pour être joué en coop’ avec des potes ! En effet, les parties multi-joueurs autorisent jusqu’à quatre héros sur la même console et/ou en ligne. En bref, des heures et des heures de jeu en perspective.
Bande Son : Les thèmes musicaux sont efficaces et l’ambiance globale très immersive ! Côté doublage, bah… Ils sont en français ! Oui, en français et vraiment très convainquant !
Conclusion : Gameplay jouissif, classes variées, univers immersif, durée de vie inestimable, difficultés finement dosées et mode multi-joueur disponible en ligne et hors ligne sur un même écran ! En résumé, n’attendez plus et venez signer un pacte avec El Diablo !
[TEST] Persona 4 : The Golden sur PS VITA
Encensé par la critique, le RPG Persona 4 nous revient sur PS Vita dans une toute nouvelle version intitulé : The Golden ! Simple portage ou refonte complète du soft ? Voyons cela…
Scénario : Dans Persona 4 : The Golden, le joueur incarne un lycéen parti vivre chez son oncle, dans la petite ville rurale d’Inaba, qui est en ce moment secouée par des événements inquiétants : un meurtre survient chaque nuit de brouillard. Les victimes sont retrouvées perchées sur les antennes de télévision de la ville. La police est totalement dépassée par ces événements…
Graphismes : La PS Vita fait honneur à Persona 4 : The Golden et propose un rendu tout simplement superbe ! Nous avons droit à des graphismes de haute qualité mettant en valeur l’écran OLED de la portable. Les couleurs sont vives et les textures sont détaillées. Atlus a énormément travaillé les effets de lumière, présents sur l’environnement pour rendre le tout superbe. Il n’y a aucun ralentissement quant à l’animation des personnages, que ce soit dans les phases d’exploration ou de combats, c’est fluide et agréable à l’œil. Les scènes cinématiques sont de toute beauté, l’encodage vidéo est de bonne facture nous offrant une qualité digne des animés japonais.
Jouabilité : Le gameplay de Persona 4 : The Golden est assez semblable à la version PS2 ! Le jeu de mêle simulation de vie et combat. Le titre d’Atlus est un jeu basé sur la gestion du temps, le joueur vit une année scolaire entière à suivre comme tout autre étudiant. Les journées sont découpées en plusieurs périodes (matin, midi, après-midi…), durant lesquelles le dialogue est de rigueur… Après l’école, on peut se promener en ville, faire des achats, sortir avec des amis ou encore de choisir d’aller explorer le monde de la télévision. Le dimanche ou durant les vacances, le joueur est libre toute la journée. En dialoguant avec d’autres étudiants et en adhérant à des clubs, vous aurez l’occasion de renforcer vos liens sociaux avec de plus en plus de gens, ce qui aura un impact direct sur l’efficacité de votre groupe en combat. Le joueur est également amené à explorer des donjons où les couloirs sont générés de manière aléatoire et où l’histoire progresse par pallier franchi. On y rencontre toutes sortes de monstres, où la clé de la victoire réside principalement dans l’exploitation des faiblesses élémentales des ennemis. Les sorts magiques et attaques spéciales se déclenchent à l’aide d’invocations, les Personas, qui évoluent en même temps que les héros. Avec consommation de Spirit Points et parfois d’Health Points. A noter que, comme de coutume, le héros est le seul à pouvoir user de plusieurs Personas en combat. Il lui est même possible de les fusionner pour en obtenir de plus puissantes, à la condition que son propre Level le permette. 
Durée de Vie : Persona 4 : The Golden est un jeu prenant qui vous occupera plus d’une centaine d’heures. Chaque partie est en elle-même addictive, que ce soit dans le déroulement de vos journées de simple lycéen, ou dans l’exploration des donjons…
Bande Son : Textes et voix sont en anglais,… malheureusement (ou pas?)… Quant aux musiques, on retrouve l’excellente OST de l’original agrémentée de quelques nouvelles pistes dans un style Electro/Rock/J-Pop.
Conclusion : Persona 4 : The Golden est non seulement un portage de qualité mais un excellent titre. Cette version PS Vita remplit le pari risqué de renouveler l’expérience sans dénaturer l’œuvre originale et sans y perdre au change ! Totalement addictif, drôle et rythmé, le titre d’Atlus comblera tous les fans de J-RPG en leur offrant une aventure à la durée de vie phénoménale. Seul frein à son achat, et non des moindres pour les anglophobes, il est intégralement en anglais. Si cela ne vous effraient pas, un seul conseil : FONCEZ ! 
[DECOUVERTE] Mass Effect Trilogy sur XBOX 360
Avec plus de 300 récompenses, la franchise Mass Effect s’impose comme la saga la plus primée de l’histoire des jeux vidéo. Le développeur BioWare, du groupe Electronic Arts, a eu la super idée de nous pondre Mass Effect : Trilogy, une compilation des trois jeux Mass Effect acclamés par la critique et pour la première fois réunis dans un seule et même coffret.
Le sort de la galaxie est entre vos mains, comment allez-vous choisir de vous battre pour elle ?
Mass Effect, sorti en 2007, est le premier jeu de la série créé initialement comme une exclusivité sur XBOX 360 et fut plus tard portée sur PC. Le titre de Bioware se déroule en 2183 dans notre propre galaxie (la Voie Lactée) et relate la quête du Commandant Shepard, pour empêcher le « Spectre » renégat Saren Arterius de mener une armée de Geth (des machines ayant acquis une forme d’intelligence collective primaire) à la conquête de la galaxie. Durant sa poursuite de Saren, Shepard recrute plusieurs compagnons de différentes espèces dans son équipe et découvre progressivement les véritables motivations de Saren et ce qui se trame réellement. Shepard découvrira notamment la mystérieuse race des Moissonneurs (Reapers). Mass Effect premier du nom a reçu un excellent accueil critique à travers la presse spécialisée et a reçu, entre autres, le prix du meilleur jeu de rôle à l’E3 éditions 2006 et 2007 et a reçu l’Interactive Achievement Awards du meilleur jeu de rôle en 2008.
Mass Effect 2, sorti en 2010, se déroule deux ans après le premier opus, en 2185. Le Commandant Shepard est forcé d’adhérer à une organisation secrète pro-humaine, pour lutter contre une cause commune, qui est la disparition de colonies humaines à travers la galaxie. Il se révélera très vite que ce sont les Récolteurs, utilisés par les Moissonneurs, qui organisent ces enlèvements de colonie. Shepard va devoir se lancer dans une « mission suicide », ou il devra sélectionner une équipe compétente de soldats, assassins, mercenaires, et spécialistes en tout genre. Une fois encore, Mass Effect 2 a reçu une critique hautement positive, tout comme le premier épisode de la série, et il a été élu meilleur RPG de l’année 2010 par les Video Games Awards.
Mass Effect 3, sorti en 2012, est l’épisode qui conclu les aventures de Shepard. Le jeu relate son combat final contre les Moissonneurs. Ces derniers après leur deux défaites précédentes encaissées, décident d’attaquer eux-mêmes la Terre, pour annihiler la race humaine. Les Moissonneurs font des millions de morts lors de la première semaine de l’attaque sur la planète. Shepard devra constituer une alliance galactique afin de détruire les Moissonneurs et de sauver la Terre.
La série Mass Effect possède une particularité, qui est la continuité entre les opus. Ainsi grâce au choix par le joueur d’actions de type conciliation, pragmatique ou neutre, les histoires seront légèrement différentes, par exemple le fait que ce soit Udina ou Anderson qui est nommé au Conseil par le joueur ou encore le fait ou non de laisser la vie sauve à un personnage secondaire. Et ainsi si vous commencez l’opus suivant à partir d’une ancienne sauvegarde (commencer ME2 avec une sauvegarde de ME1 par exemple), vous conserverez les traits physiques de votre personnage mais aussi les conséquences de vos choix.
Depuis quelques années, Mass Effect est devenu l’une des meilleures séries produites tous supports confondus ! Avec cette trilogie, Bioware permettra à ceux qui sont passés à côté de la série de rattraper leur retard et parfaire leur culture vidéoludique. Disponible en magasin depuis le 8 novembre 2012 au prix de 69,99 euros (maximum), Mass Effect Trilogy est un véritable immanquable qui vous occupera pendant de longues, très longues, très très longues, très très très longues heures. Foncez sans plus tarder, vous ne le regretterez pas ! Et prions pour que la licence perdure.
