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[TEST] Way of the Samurai 4 sur PS3
Notre petite PS3 enrichie son catalogue d’un nouveau jeu centré sur le Japon avec le 4ème volet de Way of the Samurai. Cette vieille série d’aventure/action qui a débuté en 2002 sur PS2 est toujours développée par Koch Media. Les fans de l’archipel peuvent-ils se jeter sur ce titre ? C’est ici que le test commence…
Scénario : L’action de Way of the Samurai 4 prend place au cours la seconde moitié du XIXe siècle, vers la fin de la période Edo. Depuis des centaines d’années, le Japon est resté isolé du reste du monde, coupé des influences extérieures. Pour la première fois depuis des siècles, le pays ouvre ses frontières aux étrangers. Le nouveau paysage culturel qui en découle offre d’innombrables opportunités pour les ambitieux, et les joueurs commencent la partie en incarnant un samouraï sans maître, qui cherche à se faire un nom.
Graphismes : L’ambiance du japon féodal de ce Way of the Samurai 4 est artistiquement bien retranscrite : l’architecture des villages, des maisons et de n’importe quel décor est ainsi joliment mis en valeur. La modélisation des personnages est sans faille et finement détaillée. Du côté des animations c’est aussi du bon travail même si on remarque quelques bugs de temps en temps. À noter que le jeu est marqué par une forte présence d’aliasing et de clipping assez incompréhensible…
Jouabilité : Les habitués de la série retrouveront leur jeu d’aventure/action préféré presque inchangé. Pour commencer, le joueur commence par créer son personnage. Il faudra d’abord choisir son aspect physique, avant de se retrouver pris au cœur de la lutte pour le pouvoir que se livrent les trois factions rivales : les forces pro-gouvernementales du Shogunat, les nationalistes isolationnistes et les puissances étrangères, fortement influencées par la marine britannique. L’intrigue se déroule sur cinq jours et le temps s’écoule très lentement. Vous devrez ainsi construire votre propre emploi du temps. En accomplissant des tâches diverses et variées pour les dirigeants des factions, vous pourrez faire progresser votre cause. Les mini-jeux disponibles sont multiples : pêche, infiltration, drague, torture,… Bien évidemment, le gros du gameplay réside dans les combats et différents styles sont disponibles selon l’arme employée (sabre à lame inversée, mains nues et deux armes) et se renforcent au fur et à mesure de leur utilisation. Les combats reposent toujours sur l’anticipation des mouvements des adversaires mais cette fois une jauge de « harvest spring » permet de booster temporairement les capacités du héros au prix d’un épuisement qui le rend très vulnérable quand l’effet prend fin. La série revient donc aux combats techniques du premier épisode. 
Durée de Vie : Comptez environ une dizaine d’heures de jeu pour arriver à la fin. Heureusement pour nous, le jeu proposant de nombreux choix, il est possible de recommencer plusieurs fois l’aventure tout en conservant les acquis de la partie précédente, à condition de posséder la motivation pour tout recommencer…
Bande Son : Way of the Samurai 4 n’a pas été traduit en français. Les dialogues s’écoutent en japonais dans le texte et l’on dispose de sous-titres anglais. Malgré cela, lesdits sous-titres disparaissent parfois si vite qu’on ne parvient pas à tout lire. Même chose si vous réfléchissez trop longtemps pour faire un choix de dialogue, la conversation s’annule et il faut tout reprendre depuis le début. Une lourdeur dont on se serait bien passé… Pour finir, la musique et les bruitages se révèlent un peu répétitifs et agaçants à la longue.
Conclusion : Way of the Samurai 4 est un jeu d’aventure/action incontournable pour tous les amoureux du Japon et de ses histoires mêlant absurde et sérieux. L’ambiance générale est artistiquement bien retranscrite, la durée de vie surprend… 
et il est vraiment dommage que les sous-titres ne soient disponibles qu’en anglais. Si les voix japonaises sont excellentes, beaucoup risque de bouder le titre à cause d’une traduction uniquement en anglais… À ne pas mettre entre toutes les mains !
[TEST] Disney Epic Mickey : Le retour des Héros sur XBOX 360
Après une première incursion uniquement sur Wii il y a deux ans, la série Epic Mickey revient en force sur pas moins de quatre supports différents. Après avoir testé la version 3DS (Power of Illusion), intéressons nous à la version XBOX 360 intitulé pour l’occasion : Le retour des Héros ! Prêt ? Alors, armez-vous de votre plus beau pinceau et allons aider nos deux héros… 
Scénario : Epic Mickey : Le Retour des Héros est un jeu de plates-formes et d’aventure. Il nous entraîne pour la seconde fois dans le monde de la désolation où les toons vont encore une fois requérir l’aide de Mickey pour sauver leur univers en péril dû à un terrible tremblement de terre qui a causé d’innombrables dégâts ! Mean Street a été coupée en deux, de nombreux bâtiments détruits, et tous les écrans qui permettent de passer d’un univers à l’autre sont en panne. Il va falloir réparer tout ça, et remplir au passage de nombreuses quêtes annexes. Le lapin Oswald, dont la présence rend le titre jouable à deux en coopération, est cette fois associé à Mickey pour y parvenir.
Graphismes : Disney Epic Mickey sur Wii était une véritable réussite graphique quoique légèrement gâchée par des problèmes de caméra. Sur le plan technique et visuel, Le retour des héros est encore plus beau et dépasse le premier opus par son passage sur consoles HD ! Le jeu propose à la fois des passages en 3D qui correspondent à des phases de combats mais aussi des passages en 2D correspondant à des phases de plates-formes. Que ce soit l’un ou l’autre, l’ensemble est très satisfaisant ! Le titre offre une belle variété d’environnements et une brochette de personnages « oubliés » que l’on est ravi de retrouver à un moment ou un autre dans le jeu. On apprécie également le nombre de références et les nombreux clins d’oeil tout au long de l’aventure.
Jouabilité : Ce Retour des Héros alterne avec brio séquences de pure plateforme, combats et casse-têtes. Que ce soit dans des environnements 3D ou au contraire lors de phases 2D, la plateforme est plus que jamais au cœur du jeu avec de nombreux environnements à explorer en évitant toute sorte de pièges. Oswald, contrôlé par l’IA ou par un joueur humain est présent aux côtés de Mickey durant toute l’aventure. Ce personnage possède ses propres accessoires indispensables à la progression : une télécommande pour électrocuter certains ennemis et réparer des mécanismes, un bras à lancer pour atteindre des objets éloignés et ses oreilles servent à planer au dessus du vide. Quant à Mickey, il dispose d’une attaque circulaire pour combattre ses ennemis et détruire les objets en plus de son fameux pinceau qui envoie de la peinture bleue pour faire apparaitre certains éléments du décor effacés ! Grâce au dissolvant vert, la souris peut effacer quelques morceaux d’environnement et la plupart des ennemis. Alterner entre les deux fonctions est d’ailleurs indispensable pour résoudre la plupart des puzzles qui fourmillent dans le jeu. À noter que les traditionnels doubles sauts, plateformes volantes ect… présent dans la plupart des jeux de plates-formes répondent à l’appel.
Durée de Vie : L’aventure principale se révèle être un peu courte (8 heures à tout casser) pour ceux qui n’accordent aucune importance aux éléments à collecter et qui ne trouveront donc aucun intérêt à continuer après la fin, dans l’optique de ramasser tous les pin’s, délivrer tous les personnages ou encore de prendre toutes les photos possibles. De petits objectifs secondaires qui en occuperont certains de longues heures durant et qui laisseront les autres totalement de marbre… J’insiste vraiment sur le fait que le jeu a réellement été conçu pour être joué en coopération et qu’il serait vraiment dommage de s’aventurer en solo dans le monde de la désolation.
Bande Son : Epic Mickey : Le Retour des Héros s’appuie sur une bande son de qualité, avec des compositions dignes des meilleurs cartoons et surtout des doublages très convaincants. Mickey, Oswald et les personnages secondaires s’expriment avec conviction et en français ! De l’excellent travail !
Conclusion : Epic Mickey : Le Retour des Héros est une réussite artistique sur le plan technique, visuel et audio. La prise en main est bonne que ce soit au niveau de la plate-forme, de l’action ou de l’aventure. J’insiste encore et encore sur le fait que le jeu a réellement été conçu pour être joué en coopération ! Malgré une durée de vie qui entache de peinture un peu (poin, poin, poin, poinnnnn…), le titre de Junction Point sera un compagnon de choix sous les sapins de Noël cette année !
[BANDE ANNONCE] IRON MAN 3
IRON MAN 3 est interprété par Robert Downey Jr., Gwyneth Paltrow, Don Cheadle, Guy Pearce, Rebecca Hall, Stephanie Szostak, James Badge Dale, avec également Jon Favreau et Ben Kingsley. Le film est réalisé par Shane Black sur un scénario de Drew Pearce et Shane Black, d’après le super-héros emblématique de Marvel, Iron Man, apparu pour la première fois dans le n° 39 de “Tales of Suspense” en 1963, et qui a eu son propre comic book à partir de mai 1968 avec le 1er numéro de “The Invincible Iron Man”. Dans le film Marvel IRON MAN 3, l’univers de Tony Stark/Iron Man est réduit en cendres par un ennemi aussi redoutable que cruel. Il va devoir faire appel à son ingéniosité et son instinct pour protéger ses proches, tout en cherchant à détruire les forces de son adversaire… Le film sera sur les écrans américains le 3 mai 2013, et sera distribué par Walt Disney Studios Motion Pictures.
Synopsis : Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?
[TEST] Dishonored sur XBOX 360
J’annonce ! Si vous ne deviez acheter qu’un seul jeu cette année, arrangez-vous pour que ce soit Dishonored, le dernier bébé de Arkane Studios et de Bethesda Softworks ! Pourquoi ?! C’est simple… C’est le jeu de l’année 2012 ! Voilà ça, c’est fait !… Maintenant passons au test !
Scénario : Dishonored est un jeu d’action immersif en vue subjective où vous incarnez l’ancien garde du corps de l’Impératrice, injustement accusé du meurtre de celle-ci. Mû par la vengeance, vous devenez un assassin de premier ordre, dont on ne connaît que le masque inquiétant que vous ne quittez jamais. Dans cet univers infesté par la peste, où le gouvernement maintient son oppression grâce à d’étranges technologies, la vérité sur votre trahison est aussi trouble que les eaux qui entourent la ville. Les choix que vous faites détermineront l’avenir du monde, mais quoi qu’il puisse arriver, vous pouvez tirer un trait sur votre ancienne vie…
Graphismes : Dishonored possède un charme fou ! Visuellement magnifique, le titre d’Arkane Studios fait énormément penser à une peinture inachevée. Le monde créé par l’équipe de Harvey Smith mélange à merveille Angleterre victorienne, univers Steampunk, industrialisation rétro-futuriste à outrance et magie. Le résultat, c’est Dunwall, une immense capitale insulaire dévaster par la peste au design très fortement inspiré d’un Londres du 19ème siècle. Pour peupler son univers sombre, le jeu offre une galerie de personnages expressifs, aux visages marqués par les années et tous dotés d’animations réussies. On doit d’ailleurs la Motion Capture à Quantic Dream. Malgré l’épidémie de peste qui sévit, les rues de Dunwall sont loin d’être vides. Les gardes vaquent à leurs occupations, les rats attendent leur prochaine victime, et les malades errent tels des zombies attendant leur proie. Un bonheur visuel mes amis !
Jouabilité : Le gameplay de Dishonored est un de ses plus grands atouts. Il offre une maniabilité irréprochable et une expérience de jeu basée sur les combats ou l’infiltration. Vous pouvez privilégier l’ombre et le silence pour éliminer vos ennemis ou, bien au contraire, foncer tête baissée, l’arme au poing, pour semer la mort et le chaos. Attaque au corps à corps en vue subjective, tir ou utilisation de pouvoirs, à vous de choisir votre stratégie et de définir votre style de jeu. D’autant que l’univers du jeu s’adapte à vos actions et modifie les missions en conséquence. L’une des originalités du titre de Bethesda repose bien évidemment sur son expérience de jeu qui mélange avec intelligence le tir classique et les pouvoirs surnaturels. Vous pouvez ainsi vous téléporter, arrêter le temps, orchestrer des exécutions surnaturelles… Voire posséder des créatures vivantes.
Durée de Vie : Comptez environ une vingtaine d’heures pour tous ceux qui accepteront de rentrer dans cette ambiance inoubliable ! À savoir qu’une approche sanguinaire fera grandement chuter le temps de jeu et le risque d’avoir un goût amer se fera sentir lorsque viendra le temps du dernier acte. Chaque quartier se divise en zones et on peut multiplier les allers-retours pour aider certaines personnes ou simplement trouver les nombreux items disséminés un peu partout. De l’argent et des objets précieux pour améliorer son équipement, des runes pour développer ses pouvoirs, des charmes renforçant les aptitudes, de la nourriture, des munitions, des fioles… il y a une dimension exploration et une exploitation de la verticalité qui se révèlent vraiment plaisantes. Une fois Dishonored terminé, on n’a qu’une seule envie : recommencer pour tester une nouvelle approche et de nouvelles techniques… Difficile d’en dire plus, sans gâcher le plaisir de tester par soi-même les possibilités du jeu et de découvrir que l’idée particulièrement tordue que l’on vient d’avoir fonctionne parfaitement. Enfin, l’absence d’un mode multijoueur ne se fait pas ressentir tant la rejouabilité fait figure de référence.
Bande Son : L’ambiance de Dishonored est lourde et l’atmosphère agressive. La musique est quasi inexistante et seule une légère mélodie viendra accompagner de temps à autre le bruit des vagues, des rats et des sabres qui s’entrechoquent. Les voix françaises des protagonnistes sont d’excellentes qualité, malgré leur côté un peu cliché !
Conclusion : Comme annoncé dans l’introduction du test, Dishonored réussit un sans faute, se mettant haut la main au niveau des attentes qu’il a suscitées tout au long de son développement. Ce jeu est une merveille de gameplay et de plaisir de la découverte dans une ambiance extraordinaire ! C’est un véritable régal que de se plonger dans les méandres de Dunwall et de redécouvrir chaque niveau selon la manière dont on choisit de l’aborder. Merci à Arkane Studios et à l’éditeur Bethesda Softworks pour cette aventure inoubliable ! Je n’avais pas autant kiffé un jeu depuis Bioshock !
[ARRIVAGE] Dishonored sur XBOX 360
C’est aujourd’hui que Dishonored s’installe officiellement dans les bacs, et pour cette occasion Bethesda Softworks m’a fait parvenir un exemplaire presse de ce jeu qui s’annonce déjà comme un incontournable !
Dishonored est un jeu d’action immersif en vue subjective où vous incarnez l’ancien garde du corps de l’Impératrice, injustement accusé du meurtre de celle-ci. Mû par la vengeance, vous devenez un assassin de premier ordre, dont on ne connaît que le masque inquiétant que vous ne quittez jamais. Dans cet univers infesté par la peste, où le gouvernement maintient son oppression grâce à d’étranges technologies, la vérité sur votre trahison est aussi trouble que les eaux qui entourent la ville. Les choix que vous faites détermineront l’avenir du monde, mais quoi qu’il puisse arriver, vous pouvez tirer un trait sur votre ancienne vie.
