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[ARRIVAGE] Dead Space 3 sur XBOX 360 mais pas que…
Hier matin, j’ai eu l’immense plaisir de recevoir de la part d’Electronic Arts : Dead Space 3 sur XBOX 360, le dernier survival-horror spatial développé par Visceral Games ! Dans l’enveloppe, se trouvait également un artbook monstrueux intitulé : The Art of Dead Space ! 
Dead Space 3 est un survival-horror. Epaulé par le sergent John Carver, jouable par une deuxième personne en mode coopératif, Isaac Clarke reprend du service après le crash de son vaisseau sur Tau Volantis, une planète de glace. A la recherche d’Ellie, l’aventure propose d’affronter de nouveaux Nécromorphes et pour la première fois des humains dans une aventure aux limites de l’horreur… 
Avec plus de 300 images, The Art of Dead Space est un magnifique livre de près de 200 pages consacré à la série Dead Space !
[TEST] Fist of the North Star : Ken’s Rage 2 sur XBOX 360
Rendu célèbre par son « Atatatatatatatatatah ! Tu ne le sais pas encore,… Mais tu es déjà mort ! », Ken le Survivant (re)débarque sur XBOX 360 en ce beau mois de février. Afin de célébrer dignement le 30ème anniversaire du manga, Hisashi Ko inuma, nous propose une suite au premier volet sorti en novembre 2010 ! Voici donc mes impressions manette en mains pour ce Fist of the North Star : Ken’s Rage 2…
Scénario : Fist of the North Star : Ken’s Rage 2 est un beat’em all adapté du manga Ken le Survivant. Au travers de combats incluant un nombre impressionnant d’ennemis, le joueur revit l’intégralité des aventures de l’héritier du Hokuto Shinken.
Petite piqûre de rappel : L’histoire se déroule dans un futur relativement proche sur une terre ravagée par la guerre nucléaire qui a eu pour conséquence l’évaporation de la plupart des océans et la destruction d’une grande partie de la végétation. Dans cet univers post-apocalyptique, les survivants sont soit d’humbles villageois essayant de survivre, soit des bandits vicieux regroupés en gangs qui s’adonnent aux pillages et à la persécution de ces villageois. Cependant, un artiste martial nommé Kenshiro (Ken), un homme reconnaissable aux sept cicatrices qu’il porte sur le torse, est choisi pour devenir le successeur du légendaire art assassin le « Hokuto Shinken » (l’art divin de l’Étoile du Nord). Au début de l’aventure, Kenshiro ne cherche pas réellement à aider les villageois, mais au fur et à mesure que son étoile le guide, il se révèle comme étant le sauveur tant attendu par une population au bord du désespoir. Accompagné dans son périple par deux jeunes enfants nommés Bart et Lynn, Ken affrontera un grand nombre de gangs, allant même jusqu’à affronter ses frères adoptifs, eux aussi disciples de l’art du « Hokuto Shinken ». Ken se mesurera aussi à certains maitres de l’école « Nanto Seiken »…
Graphismes : Dès les premières minutes de jeu, j’ai eu l’impression de voir le moteur du premier opus tourner… En effet, on retrouve les niveaux à couloirs déjà présents dans Fist of the North Star : Ken’s Rage, là où on aurait pu souhaiter bénéficier d’un peu plus d’espaces ouverts… Chaque chapitre du jeu vous obligera à traverser de petites zones de combat dont l’ambiance post-apocalyptique ne masque en rien la pauvreté graphique, même si celle ci a globalement été revue à la hausse depuis son prédécesseur. Les personnages ont des traits plus fins, plus réalistes, plus fidèles à l’esprit du manga (notamment grâce aux litres de sang versés). On a toujours droit à des persos de grande taille, ce qui rend les combats de masse plus impressionnants. À savoir que là où le premier volet ne faisait que survoler les événements les plus importants, cet opus entre beaucoup plus dans le détail grace à une narration effectuée à la fois par le biais de cinématiques de qualité et d’images fixes façon bande dessinée, ce qui est un très bon point.
Jouabilité : Alors, alors,… Premier constat, on retrouve un gameplay assez proche du premier volet, mise à part que les sauts ont été remplacés par une fonction esquive (beaucoup plus pratique d’ailleurs) venant puiser dans la jauge d’énergie ! Nous avons alors la possibilité d’enchaîner plusieurs combos et éviter des attaques en un clin d’œil en appuyant le moment voulu. La prise en main est du coup, plutôt simple, beaucoup plus nerveuse et bien plus intense que l’opus précédent. Un bouton permet de donner un coup léger, l’autre plus fort, tandis que le dernier déclenche une super attaque Atatatatatatatatatah ! En combinant le tout, notre héros peut exécuter diverses techniques qui éliminent tout un tas de crapules en un rien de temps. Dans cette nouvelle production, il faudra aligner des parchemins récupérés aléatoirement sur les cinq slots disponibles, et essayer de réaliser des lignes verticales avec les symboles (défense, force, et technique) pour complémenter la montée en niveau classique afin de faire évoluer l’Héritier de la Grande Ourse et ses alliés… À vous de faire le bon choix afin de finir une étape sans la moindre égratignure…
Durée de Vie : Comptez au minimum une dizaine d’heures pour venir à bout du « mode Légende », qui couvre la totalité du manga ! Fist of the North Star : Ken’s Rage 2 propose également un « mode Rêve » assez conséquent, qui permet de découvrir les scénarios d’une vingtaine de personnages secondaires (dont certains méchants), mais aussi de jouer en co-op à deux en local, ou encore en multi par équipes de 4 joueurs qui s’affrontent dans de sanglants deathmatchs. De quoi passer de longues heures devant votre écran.
Bande Son : Ken, survivant de l’enfer ♪♫ Ken, souvent croise le fer ♪♫ Ken, dans le chaos des esprits ♪♫ Ken, contre les fous les bandits ♪♫♪♫… (Bernard Denimal sors de ce corps !) Hum, hum,… trêve de plaisanteries,… Le doublage nippon (ni mauvais) est très appréciable et les divers cris de nos héros très convaincants ! Quant aux musiques, elles se répètent sans cesse et sont quasiment identiques au premier volet, ce qui donne par moment l’envie de déchirer sa chemise et de crier Atatatatatatatatatah !
Conclusion : Au premier Atatatatatatatatatah qui résonne, la nostalgie opère à plein régime. Que ce soit au niveau des doublages, des bruitages, des cinématiques, de l’histoire et de l’ultraviolence non censurée, on se retrouve immergé en plein manga et pour les vrais fans de l’Héritier de la Grande Ourse, c’est tout simplement jouissif ! Du coup, on pardonne volontiers les quelques imperfections du titre ! Et comme dirait l’autre, tu ne le sais pas encore mais tu es déjà MORT !
[TEST] Way of the Samurai 4 sur PS3
Notre petite PS3 enrichie son catalogue d’un nouveau jeu centré sur le Japon avec le 4ème volet de Way of the Samurai. Cette vieille série d’aventure/action qui a débuté en 2002 sur PS2 est toujours développée par Koch Media. Les fans de l’archipel peuvent-ils se jeter sur ce titre ? C’est ici que le test commence…
Scénario : L’action de Way of the Samurai 4 prend place au cours la seconde moitié du XIXe siècle, vers la fin de la période Edo. Depuis des centaines d’années, le Japon est resté isolé du reste du monde, coupé des influences extérieures. Pour la première fois depuis des siècles, le pays ouvre ses frontières aux étrangers. Le nouveau paysage culturel qui en découle offre d’innombrables opportunités pour les ambitieux, et les joueurs commencent la partie en incarnant un samouraï sans maître, qui cherche à se faire un nom.
Graphismes : L’ambiance du japon féodal de ce Way of the Samurai 4 est artistiquement bien retranscrite : l’architecture des villages, des maisons et de n’importe quel décor est ainsi joliment mis en valeur. La modélisation des personnages est sans faille et finement détaillée. Du côté des animations c’est aussi du bon travail même si on remarque quelques bugs de temps en temps. À noter que le jeu est marqué par une forte présence d’aliasing et de clipping assez incompréhensible…
Jouabilité : Les habitués de la série retrouveront leur jeu d’aventure/action préféré presque inchangé. Pour commencer, le joueur commence par créer son personnage. Il faudra d’abord choisir son aspect physique, avant de se retrouver pris au cœur de la lutte pour le pouvoir que se livrent les trois factions rivales : les forces pro-gouvernementales du Shogunat, les nationalistes isolationnistes et les puissances étrangères, fortement influencées par la marine britannique. L’intrigue se déroule sur cinq jours et le temps s’écoule très lentement. Vous devrez ainsi construire votre propre emploi du temps. En accomplissant des tâches diverses et variées pour les dirigeants des factions, vous pourrez faire progresser votre cause. Les mini-jeux disponibles sont multiples : pêche, infiltration, drague, torture,… Bien évidemment, le gros du gameplay réside dans les combats et différents styles sont disponibles selon l’arme employée (sabre à lame inversée, mains nues et deux armes) et se renforcent au fur et à mesure de leur utilisation. Les combats reposent toujours sur l’anticipation des mouvements des adversaires mais cette fois une jauge de « harvest spring » permet de booster temporairement les capacités du héros au prix d’un épuisement qui le rend très vulnérable quand l’effet prend fin. La série revient donc aux combats techniques du premier épisode.
Durée de Vie : Comptez environ une dizaine d’heures de jeu pour arriver à la fin. Heureusement pour nous, le jeu proposant de nombreux choix, il est possible de recommencer plusieurs fois l’aventure tout en conservant les acquis de la partie précédente, à condition de posséder la motivation pour tout recommencer…
Bande Son : Way of the Samurai 4 n’a pas été traduit en français. Les dialogues s’écoutent en japonais dans le texte et l’on dispose de sous-titres anglais. Malgré cela, lesdits sous-titres disparaissent parfois si vite qu’on ne parvient pas à tout lire. Même chose si vous réfléchissez trop longtemps pour faire un choix de dialogue, la conversation s’annule et il faut tout reprendre depuis le début. Une lourdeur dont on se serait bien passé… Pour finir, la musique et les bruitages se révèlent un peu répétitifs et agaçants à la longue.
Conclusion : Way of the Samurai 4 est un jeu d’aventure/action incontournable pour tous les amoureux du Japon et de ses histoires mêlant absurde et sérieux. L’ambiance générale est artistiquement bien retranscrite, la durée de vie surprend… 
et il est vraiment dommage que les sous-titres ne soient disponibles qu’en anglais. Si les voix japonaises sont excellentes, beaucoup risque de bouder le titre à cause d’une traduction uniquement en anglais… À ne pas mettre entre toutes les mains !
[TEST] Darksiders 2 sur Wii U
Excellente surprise de l’année 2010, Darksiders attendait désespérément de voir sa suite pointer le bout de son nez. Quelques mois après sa sortie sur PC, PS3 et XBOX 360, Darksiders 2 débarque sur Wii U. Ce portage et son GamePad apportent-ils leur lot de nouveautés ? Réponse dans le test qui suit…
Scénario : Suivez les exploits de DEATH, l’un des Cavaliers de l’Apocalypse, au cours d’une aventure qui se déroule en parallèle des événements du premier Darksiders. Ce voyage épique propulse DEATH à travers les royaumes des ténèbres et de la lumière, alors qu’il tente de sauver son frère WAR, accusé d’avoir provoqué l’Armageddon et entraîné l’éradication de l’humanité…
Graphismes : Visuellement, Darksiders 2 est une merveille. Le studio nous emmène dans quatre mondes fantastiques. Les zones que l’on arpente librement sur le dos de DESPAIR (la monture de DEATH) offrent des perspectives spectaculaires et des paysages somptueux. Les statues y sont gigantesques, les tours immenses, les forteresses massives, les créatures titanesques… et chaque lieu offre sa propre ambiance, chaque monde possède une atmosphère distincte. Un travail d’autant plus impressionnant que le mariage entre ces architectures hallucinées et la structure des donjons (évidemment bourrés de recoins secrets) se révèle irréprochable !
Jouabilité : DEATH est beaucoup plus nerveux que son frère, et du coup cela se ressent quelque peu sur le gameplay. Il grimpe, court sur les murs, et offre pas mal de phases de plate-forme qui n’étaient pas forcément présentes dans le premier opus. Plus mince, plus rapide, les phases de combats sont aussi plus intéressantes. Tout d’abord, sachez que DEATH peut porter deux armes à la fois en plus de son arme à feu. La double Faux de base est son arme principale. Le second slot d’arme disponible, permet d’accueillir : marteau, griffe, hache… Puissance et lenteur, ou encore rapidité et longue portée, les choix sont nombreux et changeront très souvent à mesure que vous progresserez. Les phases de beat’em all sont classiques mais bien fournies au bout de quelques heures de jeu et de niveaux franchis. DEATH esquive comme personne et, s’il n’a pas la puissance de son frère WAR, comble avec un panel bien plus fourni de pouvoirs et armes différentes. Les combats, plus nerveux que dans le premier opus, offrent de nouvelles possibilités et les phases de plateforme s’enchaînent sans chute de rythme. Il est maintenant possible d’enchainer ses adversaires en l’air, d’esquiver les coups de n’importe quel coté… À noter que DESPAIR (la monture de DEATH), est disponible dès le début de l’aventure et que l’on obtiendra également son revolver (Redemption), très rapidement, ce qui permet de varier les enchainements de coups. L’écran tactile du GamePad vient doubler certaines fonctions, toujours accessibles avec les commandes classiques, telles que la gestion de l’inventaire, la navigation sur la carte, l’attribution des pouvoirs ou les déplacements sous l’eau… À savoir que le jeu est jouable également au Pro Controller. Pour finir, il est bien évidemment possible de jouer uniquement sur sa mablette pendant que madame regarde Julie Lescaut à la Tv !
Durée de Vie : La quête principale de DEATH devrait déjà vous occuper une trentaine d’heures auxquelles s’ajoutent les quêtes secondaires, le mode arène et l’éventuel New Game+ pour les perfectionnistes. Une aventure extrêmement longue avec des quêtes annexes, des donjons cachés,… À savoir que que THQ a eu la bonne idée d’inclure dans cette version Wii U, tous les DLC sortis jusqu’à présent, ce qui rajoute environ 5 heures de durée de vie supplémentaire.
Bande Son : Les bruitages sont variés et percutants mais n’en restent pas moins le point le moins impressionnant de l’ambiance sonore. En effet, il est difficile de reprocher quoi que ce soit aux doublages en français, parfaitement joués avec des voix collant à merveille à chaque personnage. Mieux, les musiques sonnent toujours juste avec des compositions irréprochables, tantôt calmes pour accompagner vos chevauchées, et tantôt plus dynamiques pour rendre plus épiques le moindre affrontement.
Conclusion : En soignant aussi bien le fond que la forme, Vigil Games et THQ nous offrent un pur chef-d’oeuvre d’action/aventure. Darksiders 2 fait naître moult sentiments tout en mélangeant les influences : Prince of Persia, God of War, Zelda, Portal,… À posséder absolument !
[TEST] Skylanders Giants sur XBOX 360
Après avoir cartonné grâce à Skylanders : Spyro’s Adventures l’année dernière, Activision remet le couvert avec un second épisode nommé Skylanders Giants ! Avec de nouvelles figurines à collectionner et un nouveau jeu, la recette est elle toujours aussi efficace pour se tailler une place de choix sous le sapin ?
Scénario : Les Giants sont les premiers habitants des Skylands. Réputés pour leur taille gigantesque, ils ont eux aussi été bannis sur Terre, où ils sont restés ensevelis pendant des milliers d’années. A présent, ils doivent venir en aide aux Skylanders dans leur bataille contre les forces du mal. Skylanders Giants se base donc sur les fondamentaux révolutionnaires du premier opus, mêlant le réel et les royaumes virtuels grâce à une gamme innovante de figurines intelligentes qui prennent vie comme par magie dans le monde merveilleux de Skylands. Ce nouveau chapitre de la licence inclut toute une variété de nouveaux personnages, de nouveaux défis, une nouvelle aventure au scénario palpitant ainsi qu’une compatibilité accrue entre consoles de salon, consoles portables, appareils mobiles et web.
Graphismes : Les graphismes ont très peu évolué par rapport au précédent opus et dépit d’une réalisation technique datée, les couleurs chatoyantes raviront les mirettes des plus petits. De même pour les animations propres à tous les personnages et des niveaux variés. Si les graphismes manquent donc d’un peu de relief, ce n’est pas le cas en revanche des figurines plastiques.
Jouabilité : On décèle ci et là quelques petits changements dans les éléments de gameplay, comme la gestion des effets ajoutés lors d’un coup critique, la boutique d’objets, ou le jeu de cartes Skystone mais dans l’ensemble, les mécanismes de jeu ont peu changé par rapport au précédent volet. On pose une figurine sur le portail, et la magie opère, puisqu’elle apparaît instantanément sur l’écran. A tout moment on peut la remplacer par une autre, et hop, l’échange se fait aussi entre les versions virtuelles. Le principe toujours aussi efficace sur les enfants (bon,… ok,… sur les grands aussi). Ce n’est pas le seul but : les figurines gardent en mémoire leur nom et leurs caractéristiques, et pourront être utilisées sur une autre console (Wii, PS3 ou 3DS). Le jeu est parfaitement optimisé pour être utilisé avec la manette de la XBOX 360. En même temps, rien de bien difficile vu le nombre d’actions qui est plutôt limité. La bonne nouvelle est que vos anciens personnages Skylanders, issus du premier jeu, sont compatibles. Vous pourrez donc les utiliser…
Durée de Vie : Skylanders Giants vous occupera, en ligne droite, une bonne dizaine d’heures. Le titre de Toys for Bob est toutefois bourré de contenu pour peu que l’on désire obtenir tous les trésors cachés. Partir en quête des chapeaux, des pièces de bateau, des tablettes, des saphirs ailés ou encore des coffres au trésor permet de passer quelques heures supplémentaires sur le titre. En multijoueurs, il est possible de jouer à deux en coopération, et on retrouve un mode Combat en arène plutôt efficace. On notera aussi la présence du jeu de plateau « Skystones », utilisant des cartes, et relativement aisé à jouer. Il s’agit en fait d’une sorte de Morpion où deux joueurs s’affrontent avec des pierres plus ou moins puissantes. Le gagnant est celui qui, à la fin de la partie, a réussi à poser le plus de pierres / cartes sur le plateau. Mais même si le joueur n’est intéressé que par l’histoire, il ne sera pas déçu puisque celle-ci se laisse parcourir agréablement…
Bande Son : Le doublage en français est d’excellente qualité et bourré d’humour. Quant aux musiques, c’est de la même veine ! Console éteinte, elles restent dans la tête et continuent d’être chantonné ! 
Conclusion : Tout comme son prédécesseur, le concept de Skylanders Giants est vraiment bien pensé même si les achats répétés des figurines peuvent représenter un budget conséquent pour les parents. Et même si le titre de Toys for Bob ressemble davantage à une extension qu’à un titre à part entière, le mélange jouet-jeu vidéo fait toujours merveille ! Quoi qu’il en soit, les petits (et les grands) apprécieront et c’est tout ce dont on attendait de ce soft.
