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[TEST] Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance sur 3DS
Pour fêter le dixième anniversaire de leur fructueuse collaboration, Disney Interactive et Square Enix unissent à nouveau leur force avec Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance. En exclusivité sur Nintendo 3DS. 
Scénario : Dans Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance, vous rejoindrez deux héros, Sora et Riku qui seront mis à l’épreuve par le Roi Mickey et le sorcier Yen Sid. Une terrible menace pèse sur le monde et les héros vont devoir passer l’épreuve de la Maîtrise pour prouver leur valeur et faire face aux difficultés qui les attendent. Pour ce faire, ils devront parcourir le domaine des rêves plus connu sous le nom de Mondes endormis et faire face aux dévoreurs de rêves et ainsi délivrer ces royaumes du joug de l’envahisseur.
Graphismes : Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance n’est pas seulement l’un des meilleurs action-RPG de la 3DS, c’est aussi l’un des plus beaux ! La 3DS montre encore une fois qu’elle en a dans le ventre ! Les graphismes sont très détaillés, très colorés et aucun ralentissement ne vient perturber la progression parfois très vive des personnages. La 3D vient en outre apporter une belle profondeur aux environnements même si, face au dynamisme de l’action, on n’hésitera pas à le désactiver.
Jouabilité : Action/RPG, cet opus de Kingdom Hearts reprend dans les grandes lignes le gameplay des épisodes précédents sur DS et PSP, à savoir un peu d’aventure noyée dans beaucoup d’action, en enchaînant les attaques de base et les coups spéciaux. Une histoire qui vous amène à incarner à tour de rôle Sora et Riku et chose étonnante, vous n’avez pas forcément votre mot à dire quand au moment où vous changez de personnage. Si vous pouvez provoquer le passage de l’un à l’autre volontairement, le jeu vous impose régulièrement d’alterner entre les deux, même si vous êtes en plein combat face à un boss gigantesque. Une drôle d’idée qui oblige le joueur à faire évoluer Sora et Riku de façon simultanée, en sachant que les deux sont amenés à parcourir exactement les mêmes niveaux l’un après l’autre. Vous avez dit répétitif ? Pour nous faire oublier tout ça, Dream Drop Distance a tout de même le mérite d’intégrer une nouveauté majeure dans le gameplay de la série : le Flowmotion. Derrière ce nom barbare se cache la possibilité de sauter de paroi en paroi ou de foncer comme un boulet de canon sur ses ennemis en exécutant des combos ultimes. Déroutant au premier abord, le système permet d’effectuer des enchaînements dévastateurs après un petit temps d’adaptation. Une façon intelligente de varier l’action au sein de niveaux déjà connus pour la plupart des amateurs de la série (Traverse Town, Fantasia…). Dernier élément sympathique : la possibilité de créer ses avale-rêves et d’en collectionner plusieurs façon Pokémon afin de vous aider pendant les combats en fusionnant avec eux.
Durée de Vie : Il faudra compter 20-25h pour boucler Kingdom Hearts : Dream Drop Distance en ligne droite, mais ça serait passer à côté de beaucoup d’aspects du jeu. Par exemple, les « combats effrénés » qui viennent remplacer ceux du Colisée. La différence, c’est que ce sont les esprits qui combattent dans des tournois où le but du jeu est simplement de poser une carte dont la valeur est plus élevée que celle de l’adversaire. Différents tournois se débloquent au fur et à mesure. A noter que ce mini-jeu est accessible en mode multijoueur à 2 en réseau local. Et puis il y aussi les options « Street Pass » qui permettent d’échanger des esprits ou de les envoyer affronter ceux d’autres joueurs pour récupérer des bonus pour chouchouter ses créatures. Mais nul doute que les fans seront sans doute plus intéressés par compléter la liste des trophées et ainsi accéder à la traditionnelle vidéo secrète censée introduire l’épisode suivant.
Bande Son : Comme d’habitude, Yoko Shimomura a su ressortir les thèmes marquants et créer de nouvelles compositions sympathiques qui aideront le joueur à plonger dans les univers Disney. Cependant, les voix anglaises sont moyennement convaincantes et il est dommage de ne pas avoir profité de cet opus pour réintégrer les voix françaises réussies des précédents épisodes.
Conclusion : Au final, Kingdom Hearts Dream Drop Distance se révèle être un excellent jeu en proposant du contenu varié, le tout couplé avec une musique entrainante et des graphismes somptueux. Une fois encore, le mélange des univers de Disney et Square Enix fait merveille. Ambiance impressionnante, effets 3D réussis, prise en main optimale et surtout, durée de vie à rallonges, le nouveau Kingdom Hearts sur Nintendo 3DS, tient vraiment toutes ses promesses. 
[ARRIVAGE] Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance sur 3DS
Ce matin j’ai eu l’immense chance de recevoir de la part de tonton Nintendo : Kingdom Hearts 3D : Dream Drop Distance, créée tout particulièrement pour la Nintendo 3DS ! Le titre de Square Enix regorge de nouveaux mondes et d’éléments de gameplay entièrement inédits ! De quoi surprendre et réjouir les fans de « Kingdom Hearts » comme les néophytes !
Square Enix et Disney collaborent à nouveau pour nous présenter un nouvel épisode de la saga épique et très appréciée des action RPG qui caractérisent le style particulier qui leur est propre, mais cette fois-ci en 3D spectaculaire.
Kingdom Hearts 3D sur Nintendo 3DS propose une histoire pleine de surprises où vous retrouverez vos personnages Disney favoris dans des univers impressionnants à explorer et des éléments de gameplay inédits qui pimentent l’aventure. Les très appréciés Mickey, Dingo et Donald ou encore Pinocchio et Claude, le bossu de Notre Dame sont présents dans ce jeu. Les fans inconditionnels et les nouveaux venus ne seront pas déçus par l’aventure hors du commun que leur réserve Kingdom Hearts 3D.
Vous rejoindrez deux héros, Sora et Riku qui seront mis à l’épreuve par le Roi Mickey et le sorcier Yen Sid. Une terrible menace pèse sur le monde et les héros vont devoir passer l’épreuve de la Maîtrise pour prouver leur valeur et faire face aux difficultés qui les attendent. Pour ce faire, ils devront parcourir le domaine des rêves plus connu sous le nom de Mondes endormis et faire face aux dévoreurs de rêves et ainsi délivrer ces royaumes du joug de l’envahisseur.
Le gameplay propose un habile mélange d’action pure et de combats à l’épée combinés à la profondeur d’un grand RPG. Explorez l’univers en 3D et déchaînez des combos dévastateurs grâce à la redoutable Keyblade, faites tomber des murs pour déchaîner des attaques dévastatrices et tourbillonnez autour de gros ennemis si vite qu’ils ne verront plus que des étoiles autour d’eux.
Le jeu apporte une profondeur inédite au gameplay grâce aux bienveillants Mangeurs de rêves qu’on connait aussi sous le nom d’Esprits. Vous pouvez les recruter, les dresser à l’aide de l’écran tactile et jouer avec eux dans le monde réel grâce aux objectifs extérieurs de la Nintendo 3DS. En créant un lien solide avec eux, les Esprits viendront vous prêter main forte au combat, en combinant leur forces aux vôtres pour réaliser toutes sortes de mouvements spéciaux.
En ajoutant une généreuse pincée de magie Disney à un monde de rêve envoutant on obtient Kingdom Hearts 3D, une exclusivité Nintendo 3DS.
Pour de plus amples informations sur le jeu, veuillez consulter http://www.kingdomhearts3dgame.com
[TEST] Army Corps of Hell sur PS VITA
Army Corps of Hell, le titre de Square Enix sur PS VITA, est une toute nouvelle licence mêlant action et stratégie pour une aventure au cœur des enfers… 
Scénario : Army Corps of Hell est un jeu d’action démoniaque. Dans la peau du roi des Enfers, le joueur doit terrasser ses nombreux ennemis en dirigeant une petite armée de gobelins. Trois types de serviteurs aux caractéristiques différentes sont disponibles et on peut fabriquer son propre équipement pour améliorer leurs performances !
Graphismes : Techniquement, le jeu est loin de faire honneur à la PS VITA ! Les niveaux sont désertiques, les textures quelconques, les ennemis grossièrement modélisés et les effets spéciaux pratiquement absents. La seule prouesse vient des dizaines de gobelins que la console est capable d’afficher à la fois. Pour le reste, on se rapproche plus d’une démonstration technique épurée d’affichage surchargé que d’un jeu peaufiné pour flatter la rétine.
Jouabilité : Bien que simpliste, le gameplay apporte une certaine fraîcheur. Vous êtes donc un démon souhaitant régner sur l’enfer et vous contrôlez pour cela une armée de gobelins auxquels vous donnez l’ordre d’attaquer l’ennemi. Le tout ce fait très simplement, on sélectionne le type de gobelins à envoyer au casse-pipe suivant leur classe à l’aide des touches rond, triangle et carré, on vise, puis on lance l’attaque à l’aide de la gâchette droite. Quelques subtilités viennent toutefois s’ajouter et apporter plus de profondeur au gameplay.
Tout d’abord, vos fidèles serviteurs seront donc répartis dans plusieurs classes, ayant chacune leurs atouts et étant plus ou moins adaptées selon l’ennemi que vous affrontez. Les guerriers sont par exemple idéals pour tuer un ennemi rapidement mais sont vite dépassés lorsque les adversaires sont nombreux, contrairement au magiciens, ayant un taux de dégâts moins élevé mais se montrant très efficaces pour attaquer plusieurs cibles à la fois. Outre cet aspect, l’amélioration de l’équipement de vos alliés renforce le côté stratégique du soft puisque certaines armes se montreront plus efficaces contre certains types de monstres, tandis que des armures augmenteront votre résistance aux attaques élémentaires. Ces améliorations ne seront pas de trop, notamment contre les nombreux boss qui peuplent les abysses et qui constituent une bonne partie de l’intérêt et du challenge qu’offre le titre.
Durée de Vie : Army Corps of Hell et ses 10/15 heures se situe dans la fourchette haute. D’autant que le système de scoring et les trophées peuvent donner envie d’y retourner ! Ajoutez à cela un mode multijoueur « ad hoc » à partager avec trois amis et vous obtiendrez un jeu assez long, à défaut d’être riche et complexe.
Bande Son : Oubliez les musiques envoûtantes des Final Fantasy, Square Enix débarque dans la place avec du metal bien bourrin, qui selon vos goûts musicaux, vous fera remuer la tête ou vous filera une horrible migraine. 
Conclusion : Army Corpse of Hell propose un bon challenge et une ambiance déjantée au possible ! Dépecer des hordes de créatures démoniaques sur du metal, tout en admirant les projections de sang, il faut reconnaitre que ça défoule. Le jeu de Square Enix peut agacer autant qu’il peut plaire sur de courtes sessions, bien aidé par la durée de ses niveaux, oscillant entre 5 et 25 minutes (parfait dans le RER). Les amateurs de stratégie apprécieront la planification des batailles, même s’il n’y a pas tant de choix cruciaux que cela à faire. Ainsi, il est difficile de condamner totalement le titre, tout comme il est impossible de l’ériger au rang d’incontournable. Dommage que les capacités de la console soient sous-exploitées car le jeu en aurait tiré grandement avantage.
[TRAILER] Hitman Absolution
Voici en avant première le trailer de Hitman Absolution, le jeu d’infiltration/action de Square Enix attendu pour la fin de l’année 2012.
La chambre d’un motel miteux permet à l’Agent 47 de soigner ses blessures. Son ancien employeur, l’Agence ICA, envoie sur ses traces une équipe létale spécialisée dans le nettoyage extraordinaire, les « Saints ». L’ICA veut se débarrasser de l’Agent 47, mais c’est plus facile à dire qu’à faire…
[TEST] Final Fantasy XIII-2 sur XBOX 360
Après un FF XIII très critiqué par les fans et la presse, Square-Enix nous sort une suite direct dans ce nouvel épisode intitulé Final Fantasy XIII-2. Reste à savoir si cet épisode est bien celui de la réconciliation… ou pas ! Verdict … ?
Scénario : Trois ans après les événements de Final Fantasy XIII, la vie de Serah re-bascule. Celle qui fut l’enjeu du premier opus devient l’héroïne d’une aventure spatio-temporelle pour retrouver la trace de son aînée, Lightning, sacrifiée pour la bonne cause dans Final Fantasy XIII mais pas forcément disparue. Cette dernière, en lutte féroce dans le Valhallah, envoie le jeune Noel, autochtone vivant 700 ans dans le futur, pour prêter main forte à Serah.
Ensemble, ils vont parcourir le temps dans ce Final Fantasy XIII-2, réécrire l’Histoire et peut-être faire coup double : retrouver Lightning et changer le futur, car Noel a vu la fin du monde… 
Graphismes : FF XIII-2 est visuellement magnifique ! Les cinématiques sont un pur régal pour les yeux avec une mise en scène toujours aussi dynamique qui donne un côté épique aux affrontements. Et que dire de la direction artistique qui mélange subtilement le contexte futuriste et traditionnel de l’univers du jeu. La modélisation des personnages (surtout des visages) est sublime, avec un souci du détail au pixel près. Même constat pour les environnements qui sont également très détaillés, et surtout renouvelés à chaque changement d’époque. Dommage que les lieux visités ne soient pas plus nombreux…
Jouabilité : Niveau gameplay, les bases sont les mêmes que dans FF XIII. Par l’intermédiaire de rôles de type soigneur, combattant ou encore magicien, vous créerez au préalable des stratégies d’équipes que vous pourrez adopter en cours de combat. Les combats sont fluides et donne cette impression de percussion où il faut constamment être au taquet pour changer de tactique au bon moment. La première nouveauté, c’est l’apparition des QTE qui ont pour but de dynamiser l’action des combats lors des Boss du jeu, rendant les combats plus accessibles, mais aussi plus spectaculaire. La seconde est la possibilité de capturer les créatures du jeu et d’en faire vos alliés ! Chaque bestiole ainsi domptée possèdera un rôle (ravageur, soigneur, attaquant, défenseur, tacticien ou saboteur), des compétences acquises dans un cristarium qui leur est propre et assistera nos deux héros durant leur périple ! Chacune des créatures disponibles peut évoluer en dévorant des items. Leurs points de vie, puissances d’attaque et magies ainsi que les compétences utilisées au combat se développeront, faisant de votre troisième larron un animal de compagnie dont vous aimerez prendre soin. Il vous faudra parcourir les lieux et époques et combattre en masse afin de récupérer les plus puissants parmi les 160 qui jonchent le jeu !
Durée de Vie : La durée de vie est un peu faible pour un jeu de rôle ! Comptez 25 heures pour boucler la trame principale, mais les joueurs désireux de compléter le soft intégralement peuvent facilement doubler, voire tripler cette durée !
Bande Son : Trois compositeurs : Masashi Hamauzu, Naoshi Mizuta et Mitsuto Suzuki ont travaillé ensemble pour ce jeu ce qui donne une bande son variée. Il y a pour tout les goûts et pour toutes les ambiances. Déstabilisant peut être mais travaillé et original sûrement. Pour info, les voix anglaises sont imposées sur la version française du jeu.
Conclusion : Il faut avouer que Square Enix a fait du bon boulot et remplit son contrat avec brio sur cet épisode en tenant compte des nombreuses remarques des joueurs. Si FFXIII vous a rebuté par son aspect « couloirs infinis » ou son système de stratégies, laissez une chance à FFXIII-2 de faire ses preuves car vous risquez de passer à côté d’un scénario intéressant, d’une aventure riche en situations et qui a su remanier pas mal de choix impopulaires de son grand frère…
Ma note : 18/20
