Tag Archives: EMYLIA

[CRITIQUE] La Véritable Histoire de Blanche-Neige

Ce film n’est pas un conte de fée, je répète, ce film n’est pas un conte de fée… Dans La Véritable Histoire De Blanche-Neige, vous retrouvez une Blanche Neige des temps modernes dans une version sombre et maléfique du conte de Grimm… Le film de David DeCoteau est disponible depuis le 16 octobre en DVD chez Emylia. Et voici ce que j’en pense !  ^^)

Synopsis : Blanche est une adolescente rebelle et perturbée. Sa belle-mère propose alors de l’envoyer dans un camp disciplinaire et c’est ainsi que la jeune fille se retrouve littéralement kidnappée pendant son sommeil. Au beau milieu de la forêt et en compagnie de sept autres jeunes, le camp devient le théâtre d’une série de meurtres auxquels la belle-mère de Blanche ne semble pas étrangère…

Ce que j’en pense : Malgré un speech original avec cette volonté de transposer le conte de Grimm à notre époque, le film se perd en chemin malmené par une mise en scène catastophique qui relève plus du téléfilm que du long-métrage. Point de suspense ou de scènes chocs. Pour un film qui se veut horrifique, cette pomme rouge n’est pas très juteuse. On aurait aimé voir un peu plus de sang versé pour un conte plus macabre. Une curiosité à voir pour les amateurs de conte de fées moderne même si on est très loin des studios hollywoodiens.

[ARRIVAGE] Dead Season et Une Epine d’Amour

Ce matin, Emylia à eu la gentillesse de me faire parvenir Dead Season et Une Epine d’Amour en DVD ! Ces deux films sortiront au début de ce mois juin ! ;)

Une Epine d’Amour raconte les déboires et les problèmes familiaux d’une fille Lysa, la trentaine fatiguée, droguée, de son ami d’enfance Jack, un dealer et de Chris, un être cher à Lysa, policier dans le Marseille du début des années 2000, où beaucoup de personnes se droguent encore, à l’abri des regards dans les vieux quartiers de Marseille. Il est inspiré d’une histoire vraie, d’un récit biographique d’une amie d’enfance au scénariste et d’un sujet malheureusement devenu intemporel.

Dans Dead Season cela fait plus d’un an que l’Epidémie s’est déclarée. Notre société s’est effondrée et le monde a sombré dans le chaos, transformant les humains en cadavres zombiesques. Elvis et Twitter les deux derniers êtres vivants décident d’unir leurs forces pour fuir les Etats-Unis vers une île lointaine des Caraïbes. Sur cette île, ils trouvent une nouvelle communauté qui resiste tant bien que mal à une armée de zombies, ils vont devoir se plier à leurs règles et s’unir pour tenter de survivre.

[CRITIQUE] Alyce

Accrochez-vous à votre canapé, le réalisateur Jay Lee (Zombie Strippers) est de retour dans vos salons. Sorti depuis le 4 avril, Alyce navigue entre thriller et Drug movie,…

Synopsis : Alyce, une jeune femme introvertie, essaie de consoler son amie Caroll, qui vient de découvrir que son petit ami la trompe. Les filles s’enivrent et prennent de la drogue. Intoxiquées et étourdies, elles commencent à jouer autour du toit de l’immeuble d’Alyce, mais Caroll est complètement ivre et trébuche sur le parapet et chute depuis le sixième étage. Depuis cet accident, Alyce se réfugie dans la drogue, l’abus de médicaments, le sexe jusqu’à en perdre sa santé mentale… Les nuits d’Alyce sont hantées par la culpabilité dans un monde merveilleux de cauchemars, de brutalité, de sexe, de drogues et de violence.

Ce que j’en pense : Sur fond d’orgie de sexe, de drogue et de violence, l’esprit d’Alyce élimine tous ceux qui entravent sa route. Distribuée par Emylia, ce film est une excellente surprise et un très bon moment de cinéma ! 8)

Ma note : 17/20

[CRITIQUE] Little Deaths

Film indépendant britannique, Little Deaths est né de l’envie de trois réalisateurs (Sean Hogan, Andrew Parkinson et Simon Rumley) de réaliser un film à sketches qui mélangent l’horreur la plus grotesque à une conscience sociale des plus oppressantes…

Synopsis : Little Deaths est une étude fascinante des manipulations émotionnelles et des différentes formes d’addiction, de la drogue à la dépendance affective. Mélange artistique d’idées transgressives et de visuels minimaux et réalistes des films indépendants britanniques, chaque segment est une assertion esthétique unique qui se nourrit et s’abreuve cependant de sa cohorte, pour former un tout d’une impressionnante cohésion.
Le captivant « House and Home » de Hogan ouvre le film avec éclat, racontant l’histoire d’un couple de la haute classe britannique qui leurre des gens dans leur domicile afin de les humilier et de les abuser. Dans le segment d’Andrew Parkinson « Mutant Tool », les expérimentations déviantes d’un médecin recueillant le sperme d’un homme au sexe démesuré enchaîné dans sa cave pour en faire des pilules de drogue. L’héroïne, une ancienne prostituée tentant de combattre son addiction à la coke, fera les frais du traitement expérimental du fameux docteur. Dans « Bitch » de Simon Rumley, une administratrice de bureau exploitée règle ses problèmes en abusant son partenaire émotionnellement à travers une routine sexuelle dégradante.

Ce que j’en pense :  Au menu des 3 histoires : tortures érotiques de jeunes femmes kidnappées par un couple bien sous-tous rapports, trafic de sperme mutant crée par les Nazis durant la seconde guerre mondiale et revanche d’un sadomasochiste sur sa maîtresse. Fort de sa touche britannique Little deaths ne laissera pas le spectateur de marbre chaque segment le touchant à sa manière. Aussi dérangeant qu’original Little deaths mérite qu’on s’y attarde surtout pour son premier segment très surprenant. 

Ma note : 17/20

[ARRIVAGE] Daylight, Game War et Little Deaths en Blu-Ray

Arrivage 100 % Blu-Ray en ce samedi matin frisquet mais ensoleillé ! En effet le studio Emylia vient de me faire parvenir : Daylight, Game War et Little Deaths ! 8)

design downloaded from free wordpress templates | free Hd wallpapers | free website templates download