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[TEST] Farming Simulator 22 – Premium Edition sur Xbox Series X
Je possède à la maison l’ensemble des « Farming Simulator » sorti depuis la version de 2013 sur Xbox360 !… Et il m’aura fallu attendre que l’opus 22 (sorti en novembre 2021) débarque pour que je puisse enfin me mettre au vert et me lancer dans cette expérience agricole ô combien renommée ! Il faut un début à tout me direz vous…
Aujourd’hui, le millésime 2022 nous revient donc dans une Premium Edition sur Xbox Series X ! Cette édition comprend le jeu Farming Simulator 22, six cartes, sept DLC officiels et les extensions Platinum & Premium. De quoi prolonger la durée de vie du soft déjà énormissime !
Nous allons donc découvrir via ces quelques lignes ce que nous réserve cette édition ultra méga complète du titre de GIANTS Software manette en main ! Laissez moi juste 30 secondes le temps d’enfiler une nouvelle fois mes bottes en caoutchouc et mon bonnet,… et je suis à vous !
Scénario : Dans Farming Simulator 22 – Premium Edition vous incarnerez un agriculteur moderne et devrez gérer et faire évoluer votre exploitation agricole de manière approfondie afin de créer la ferme de vos rêves ! Vous pourrez faire pousser des carottes, des betteraves rouges ou encore des panais autour d’un village isolé dans la nouvelle région de Zielonka, cultiver du raisin en France, vous adonner à la production d’olives en Méditerranée, élever un troupeau de vaches laitières, ou encore faire pousser d’immenses champs de maïs et blé dans l’Ouest américain.
Les possibilités en types d’exploitations sont énormissimes et croyez moi la vie de fermier c’est pas de tout repos !
Graphismes : Franchement on s’y croirait ! Je ne pensais vraiment pas être autant bluffé par la qualité visuelle du titre de GIANTS Software ! Peu importe les saisons qui passent, chaque période de l’année à son lot de détails, de changements, de défis et c’est un véritable régal pour les yeux ! Les conditions météo sont de la partie et offrent un excellent moyen de rajouter encore plus d’immersion au jeu ! La végétation et les différents champs sont impressionnants de réalisme et les animaux modélisés à la perfection !
Cette Edition Premium de Farming Simulator 22, propose donc six grandes cartes pour y exercer nos talents de fermier dont un tout nouvel environnement situé en Europe centrale, inspiré de pays tels que la République tchèque et la Pologne avec ses parcelles de terrain toute en longueur !
Et autant vous dire que le dépaysement est total ! Chaque environnement possède sa propre ambiance et sa propre architecture, ce qui amène un certain charme à l’ensemble du jeu !
Toutefois, on aurait aimé retrouver des véhicules ou du matériel agricole un peu moins… propre et brillant ! En effet, on a l’impression ici que tout est neuf et sorti directement d’usine ! Ce qui donne l’impression que le métier de paysan n’est pas salissant ! Où sont les tracteurs sales, les roues remplies de boues et autres outils bouffés par la rouille ? Surement dans le prochain opus ! 
Jouabilité : Pour tous les nouveaux fermiers qui n’auraient pas encore mis les mains sur l’opus de base, il faut savoir que vous débuterez votre nouvelle vie d’agriculteur en sélectionnant votre niveau de difficulté et choisirez ensuite la carte sur laquelle vous commencerez à jouer. Viendra ensuite la création de votre fermier, que vous pourrez bien évidemment personnaliser de la tête au pied… Sans rentrer forcement dans les clichés, mais plutôt pour m’immerger complètement dans cette aventure, j’ai pour ma part opté pour le béret, les gants, les chaussures de sécurité ainsi que la tenue de travaille (Valtra)… On est tout de même ici pour bosser, non ?
Vient enfin le moment de faire le tour du propriétaire ! Je vous conseille fortement, si vous êtes néophyte du genre, de commencer par la visite guider afin d’y apprendre les rudiments du jeu. Ce tuto, très complet, vous présentera les différents éléments de votre exploitation ainsi que différents points intéressants se trouvant sur votre carte. Vous constaterez très vite qu’il est impossible d’être partout à la fois et qu’il faudra obligatoirement embaucher du personnel pour vous aider dans ce métier ô combien difficile ! Les différents menus qui s’affichent sur notre écran nous sont expliqués très clairement et permettent d’avoir une idée global de ce qui nous attend une fois les directives terminées !
Farming Simulator 22 se joue en vue subjective (à la première personne) et est très agréable à la manette. Notez tout de même une physique plus ou moins étrange lorsque l’on conduit des véhicules qui sont censés peser plusieurs tonnes… un virage pris trop serré et vous aurez vite fait de faire plusieurs tonneaux… Hormis cela, la maniabilité du titre est très bonne et bien optimisée.
Durée de Vie : Vous allez en passer des heures et des heures sur ce titre si vous vous laissez embarquer dans cette aventure ! Vous commencerez en bas de l’échelle avec une première mission qui donne le ton et qui consistera à gouter aux joies de la moissonneuse batteuse afin de récolter le blé de votre premier champ ! Et autant vous dire que la magie opère dès les premiers instants ! On se prend très vite au jeu et on a qu’une seule envie c’est de plonger tête devant dans l’exploitation d’une agriculture intensive, un élevage d’animaux ou encore une sylviculture diversifiée en passant par la viticulture et l’oléiculture ! (Il n’y a pas trop de mot en « ure » là ?)
Pour cela, plusieurs fonctionnalités vous seront présentées afin d’optimiser au maximum vos revenus et votre production. Grâce à cela, vous pourrez renouveler votre matos via la boutique intégrée au jeu ou investir dans de nouveaux terrains et bâtiments. Comme évoqué plus haut, pour vous faciliter la tâche et la réalisation de certains travaux, il vous sera possible d’employer du personnel. De quoi devenir un vrai patron !
Mais tout n’est pas rose et facile dans FS22… En effet, le cycle saisonnier sera présent pour vous corser la tâche et il faudra vous adapter au changement de saison (surtout quand viendra l’hiver)… De quoi bien approfondir votre expérience agricole ! Il faut savoir également que vous pourrez gérer votre exploitation de façon coopérative en multijoueur ! Il y a tellement à faire que je ne vais pas vous mentir, au moment où j’écris ces quelques lignes je n’ai pas encore testé cette option… Sachant qu’ici le crossplay est de la partie et les PC et consoles PS4, PS5 et Xbox pourront ensemble. Ce qui facilitera grandement la recherche de partie…
Parlons un peu chiffre et accrochez vous bien à votre fourche car ici, c’est pas moins de 400 véhicules et outils (provenant de plus de 100 marques agricoles) qui ont été numérisés dans le jeu pour être le plus authentique possible !
A noter que la durée de vie du jeu de base était déjà énormissime, et que cette Premium Edition vous offrira une incroyable diversité d’environnements, de machines et de possibilités en intégrant les DLC Antonio Carraro, Kubota, Vermeer, Göweil, Hay & Forage, Horsch AgroVation et Oxbo ! Elle intègre également les contenus de la nouvelle extension « Premium », ainsi que ceux de l’édition « Platinum », liés à l’industrie forestière ! La folie !!
Bande Son : Ici aussi, le boulot réalisé sur la bande sonore est dingue ! L’immersion est totale et franchement il ne manque plus que les odeurs pour parfaire le tout ! Je n’imagine même pas le travail que ça a dû demandé pour enregistrer tous ses sons et autres bruitages ! Franchement chapeau (ou plutôt béret) !
Conclusion : Je suis complètement conquis par cette Edition Premium ultra complète de ce Farming Simulator 22 ! Les aficionados de la série seront comblés par tant d’ajouts (plus de 150 marques et plus de 400 machines) et de possibilités en types d’exploitations ! Pour les autres, le titre de GIANTS Software se révèle être (à ne pas en douter) la meilleure expérience agricole virtuelle à ce jour ! Le gameplay est accessible, la bande son parfaite, et la qualité visuelle complètement incroyable de réalisme ! Un reproche ? Ouiii il est hyper chronophage !! 
[TEST] Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name sur XBOX
C’est toujours très compliqué pour moi de me forcer à ne pas regarder un seul trailer ou même une seule preview à chaque annonce d’un nouveau titre du Ryu ga Gotoku Studio pour en garder l’entière surprise ! Et forcement ce Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name sur Xbox Series X en fait évidemment parti ! Pour les 2 ou 3 personnes qui ne suivraient pas, ce nouvel opus de la série Yakuza (que nous appellerons ici spin-off), relate les aventures de Kazuma Kiryu et se déroule entre la fin des événements de Yakuza 6: The Song of Life et le prochain Like A Dragon: Infinite Wealth qui sortira fin janvier 2024 !
Nous allons donc voir un peu dans les quelques lignes ci dessous, si le titre de Ryu ga Gotoku Studio et de Sega a encore une fois satisfait toutes mes attentes ? 
Scénario : Dans Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name (pfiouu mais qu’il est long ce titre…) vous incarnerez Kazuma Kiryu, un ancien yakuza légendaire qui a dû simuler sa propre mort et renoncer à son nom pour protéger les siens. Laissé pour mort au yeux du monde, il vit caché depuis deux ans, sous le nom de Joryu, au sein d’un temple appartenant au clan Daidoji.
Mais au cours d’une simple mission pour sa faction, notre héros se fait démasquer et se retrouve plongé dans un conflit face à un mystérieux personnage… C’est ici donc que commence l’histoire …
Graphismes : Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name, nous transporte à Osaka, et plus précisément dans les quartiers fictifs de Sotenbori et de Shofukucho ! Et autant vous le dire tout de suite, ça en jette plein les mirettes ! C’est pas compliqué, on a envie de visiter chaque petit recoin de la carte ! En effet, c’est un réel plaisir de découvrir ces quartiers aux rues vivantes, aussi bien de jour que de nuit. Sachant que tout est présent pour nous immerger dans cet univers si particulier qui regorge d’enseignes lumineuses, de commerces, de bars, de restaurants, de salles de jeux, de bars à hôtesses (plus vraies que nature, et c’est peu de le dire lol), ainsi que du Château (sorte de parc d’attractions brillants de mille feux et réservé exclusivement aux riches) et bien d’autres choses encore que je vous laisse, bien évidemment, le soin de découvrir par vous même…
Les animations, quant à elles, sont vraiment bien réalisées et la fluidité du jeu est très plaisante… et je vous parle même pas des effets spéciaux en veux tu en voilà lors des combats qui vous en mettront plein les yeux ! Bref, la réalisation du nouveau bébé de Ryū ga Gotoku Studio est particulièrement soignée et vous offrira un véritable dépaysement. Humm,… laissez vous séduire par l’ambiance locale, les rues bondées de monde et sentez moi ce doux parfum de Takoyaki qui flotte dans les airs… D’ailleurs, il n’est pas rare entre deux missions (si la racaille locale vous laisse un tant soit peu tranquille) de se laisser porter par le plaisir de se promener en ville, de s’arrêter pour écouter les conversations des habitants (ou de les regarder vaquer à leurs occupations) et de prendre des photos ici et là ! Un vrai régal !
Jouabilité : La prise en main est immédiate ! Le tutoriel est très bien intégré au jeu et permet de se faire une bonne idée de ce qui nous attend dès les premières missions. Vous remarquerez très très vite, que les rues sont infestées de gangsters (et c’est peu de le dire) qui seront prêts à tout pour vous faire la peau ! Mais,… notre célèbre Dragon de Dojima est le roi de la baston et malheur à tout ceux qui essaieraient de se confronter à lui !
En effet, notre héro a acquit au fil du temps et de ses aventures, un style de combat reposant sur 2 techniques. En appuyant simplement sur la croix directionnelle (haut ou bas) cela vous permettra de choisir votre style de combat : Yakuza ou Agent ! Le premier repose sur des coups de poings et de pieds brutaux (à la manière des bastons de rues) et sur l’utilisation d’objets de l’environnements (panneaux, vélos,…) comme armes improvisées, tandis que le second propose un style rapide, mortel inspiré de différents arts martiaux à travers le monde et est plutôt destiné aux combats à distance, en incorporant l’utilisation de gadgets high tech tels que des drones, la bombe cigarette, la montre lasso électrifiée ou encore les godasses supersoniques pour éliminer rapidement les groupes d’ennemis. Farfelu mais efficace ! 
Ici, vos enchainements de coups rempliront peu à peu une jauge de ferveur, ce qui permettra de déclencher des mouvements spéciaux, digne des meilleurs scènes de Kung-Fu de Bruce Lee, afin de mettre la misère à vos adversaires. Mais ne croyez pas qu’il faille foncer dans le tas pour défourailler tout ce qui bouge… car vous devrez vous méfier de certains ennemis qui pourraient vous blesser gravement, notamment avec une arme létale, ce qui aurait pour effet de raccourcir peu à peu votre barre de vie dans le temps.
Vous débloquerez au fil de votre aventure un bon paquet de nouvelles aptitudes moyennant de nombreux ¥ ET quelques points essentiels qu’il faudra débloquer en effectuant différentes missions et des activités pour le réseau Akame ! Sujet que nous aborderons dans la section « durée de vie » un peu plus bas !
Durée de Vie : Comptez une bonne trentaine d’heures de jeu pour terminer l’aventure et l’intégralité des missions secondaires en mode « normal » ! Alors, si le scénario principal est rempli de rebondissements, de révélations mais également de trahisons et de situations parfois cocasses, il n’en reste pas moins que l’ensemble des missions secondaires que le réseau Akame vous confiera sont toutes aussi intéressantes et constamment soupoudrées d’humour ! Il est d’ailleurs nécessaire de les effectuer, car elles vous procureront de nombreux points, essentiels pour débloquer des aptitudes et autres objets importants dans la boutique de l’organisation !
Puis franchement, il serait vraiment dommage de passer à côté de tout ce que nous offre ce Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name ! Car oui, une fois pris au piège de cette ambiance si merveilleuse, il est très difficile d’en décrocher…
S’ajoute à cela, le Colisée, l’attraction principale du château, une sorte de gigantesque lieu de perdition flottant au large de Sotenbori seulement atteignable à l’aide d’un hélicoptère ! ici vous y disputerez de nombreux combats clandestins dans une cage, seul ou en équipe, où tout est permis au nom de la grandeur et de l’argent. Il est donc important de recruter (lors de missions annexes) et de se faire accompagner par de valeureux guerriers qui pourront rejoindre votre team ! Il se pourrait même que quelques têtes connues, provenant tout droit des univers du Ryu ga Gotoku Studio, se joignent à la fête ! Vous aurez même la possibilité de contrôler chacun d’eux si vous le souhaitez ! ici s’opère une gestion de votre équipe où il ne faudra pas négliger le repos et les relations ! C’est même primordiale si vous souhaitez monter dans les classements et faire couler l’argent à flot ! Argent que vous pourrez dépenser en compagnie de charmantes hôtesses (plus vraies que nature me direz vous,… effectivement ici il s’agit de véritables actrices), pour faire du shopping, pour boire jusqu’à plus soif et finir complètement ivre ou encore dans de luxueux restaurants ou dans des salles de jeux ! Bref il y a de quoi s’occuper quant on à de l’argent !!
En bref, difficile de décrocher tant il y a de choses à découvrir les amis ! Et si vous aimez les karaokés ou encore les bornes d’arcade, vous risquez de passer de long moment dans le Club Sega afin d’exploser les scores de Sega Racing Classic 2, Fighting Vipers 2 (pour ne citer qu’eux) et vous pourrez même faire du Pocket Circuit ! Mais attention, nous ne sommes pas face à un petit mini jeu à la mords moi le nœud (expression du début du XXe siècle), non non… ici le Pocket Circuit, est un jeu dans un jeu ! La folie !!
Bande Son : L’immersion et le dépaysement sont totales ! Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name est complètement traduit en français au niveau des textes ! … Bref pour le reste c’est du tout bon, musiques, bruitages… l’ambiance urbaine est parfaite même si on aurait aimé que « l’intégralité » des dialogues soit doublé et non remplacé par des lignes de textes (c’est juste histoire de chipoter un peu hein!) !
Conclusion : Bon vous l’aurez compris,… Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name est une totale réussite et je compte bien réaliser les 1000 G tant le jeu est prenant ! Sa réalisation parfaite, son ambiance immersive à souhait, sa durée de vie plus qu’honorable, son scénario principal rempli de rebondissements, de révélations mais également de trahisons et de situations parfois cocasses, le tout constamment soupoudré d’humour font de ce titre une vraie pépite à consommer sans modération ! Le vrai seul reproche que je lui ferai c’est qu’il ne soit soit pas sorti en édition physique ! 
Et si vous êtes comme moi un grand fan des univers du studio Ryū ga Gotoku, vous ne resterez pas insensible aux nombreux clin d’œil et aux différentes interventions de protagonistes qui vous seront forcement pas méconnus ! 
[TEST] Sonic Superstars sur Xbox Series X
Sonic Superstars est la toute nouvelle aventure de notre petit hérisson bleu préféré (en même temps vous en connaissez d’autre ?) sur Xbox Series X ! Et ce nouvel opus parlera forcement aux nostalgiques (tel que moi) en nous proposant de revenir aux sources de la saga avec un titre en scrolling 2D !
Nous allons donc voir dans les quelques lignes ci dessous si cet opus de Sega n’échappe pas à la règle en nous proposant de profiter d’une action effrénée (en compagnie de nos amis en utilisant la coopération à quatre) et sans temps mort… ! Yeah !
Scénario : L’infâme, que dis-je, l’ignoble Dr. Eggman ainsi que ses sbires sont de retour mais cette fois ci dans les contrées de Northstar Islands. La crapule moustachue a dans l’idée de capturer les animaux pour en fait d’imposants Badniks (qui sont de base de gentilles petites bestioles tel que des lapins, des poules, des cochons, … transformés et enfermés à l’intérieur de leur corps robotique pour en faire de redoutable machine de guerre). Et pour mettre en place son plan machiavélique, le bougre se fait accompagner de Fang (un être sournois et rusé) et d’une mystérieuse ennemie en armure (que l’on ne nommera pas pour éviter le spoil). Bien évidemment, c’est là que vous entrez en jeu en incarnant Sonic, Tails, Knuckles ou Amy pour essayer de déjouer encore une fois ce plan diabolique dans cette nouvelle aventure qui ne sera pas de tout repos !
Graphismes : Dans Sonic Superstars vous n’aurez, pour la plupart du temps, pas trop l’occasion d’admirer les sublimes paysages tout en couleur qu’offre le titre… Le but étant d’enchaîner et de terminer les niveaux le plus rapidement possible (surtout en contre la montre). Néanmoins l’univers à l’esprit old school de cet opus est très agréable à l’œil, il regorge de milles détails et est coloré à souhait. Nous nous retrouvons dans l’esprit de la licence et dans l’ambiance qu’un Sonic peut offrir.
L’animation, quant à elle, est au top et d’une fluidité à toute épreuve (je m’éclate toujours autant à prendre les boucles à toute berzingue) !
Jouabilité : On ne change pas une équipe qui gagne, notre hérisson bleu court, glisse et roule à toute vitesse, puis saute et attaque quand cela est nécessaire. Faire preuve de dextérité sera la clef de la réussite ! Toutefois, si vous décidez de récupérer tous les items (anneaux, médailles, émeraudes,…) de chaque niveau vous n’aurez pas d’autre choix que de ralentir la cadence !
Durant vos péripéties, il faudra trouver les nombreuses zones bonus, plus ou moins cachées dans les niveaux, afin de retrouver les 7 émeraudes du chaos qui vous permettront de débloquer divers pouvoirs très intéressants ! Vous pourrez en effet, vous transformez en boulet de canons afin de vous propulser dans les airs et atteindre diverses plateformes (de base inaccessibles), faire apparaitre une armée de clones surgissant de nul part et prenant part au combat en déglinguant tout sur leur passage ou encore vous liquéfier pour remonter des chutes d’eau,… ! Mais pour cela, encore faut-il remporter les mini jeux proposés avant que le chronomètre ne tombe à zéro. Ce qui n’est pas forcement évident il faut bien le reconnaitre !
Dans Sonic Superstars, vous aurez la possibilité de vous amuser avec Knuckles, Tails ou encore Amy avant de démarrer un nouveau niveau… mais rien ne vaut pour les puristes tel que moi de jouer avec le petit Sonic afin de profiter d’une expérience 100% old school ! héhé ! A savoir que (mais vous le savez déjà si vous êtes un habitué de la saga, n’est ce pas? ) chacun de ses ami(e)s possède ses propres techniques et pouvoirs pour traverser les Northstar Islands, ce qui rajoute une autre façon de terminer les différents Levels !
Côté difficulté, Sonic Superstars, reste accessible à tous, même si certains boss donneront du fil à retordre aux plus jeunes ! Mais rassurez vous, rien de vraiment insurmontable une fois les mécaniques comprises !
Durée de Vie : La campagne principale de ce Sonic Superstars se découpe en 11 zones où il vous faudra à peine six heures pour en venir à bout ! Ceux qui souhaiteront décrocher le 100 % devront compter un peu moins du double soit environ une dizaine d’heures de jeu pour revenir sur les nombreux niveaux afin d’y découvrir tous les secrets ! Cela peut paraitre peu pour certains, mais il est préférable de nos jours d’avoir un jeu bien fini, rythmé et sans temps mort qu’un titre long et répétitif où l’ennuie se fait ressentir très vite… Sachant que le jeu est vendu à seulement 45 euros sur amazon au moment où j’écris ces quelques lignes !
Il faut également savoir que la campagne de ce Sonic Superstars peut être intégralement jouée en coopération à 4 joueurs en local (exclusivement) ! Ce qui permet de bons moments entre ami(e)s et de franches engueulades rigolades ! Le tout parait parfois confus car il est compliqué de faire avancer chacun au même rythme. Fort heureusement il est toujours possible de rattraper le reste de la bande par la pression d’un bouton ! L’idéal aurait été de scinder l’écran en 4, mais bon…
S’ajoute au mode histoire, le mode contre la montre ainsi que le mode combat qui propose de vous tirer la bourre, en ligne (à ou en local (à 4), dans une multitude de courses et de niveaux sélectionnés aléatoirement où il faudra marquer des points à l’issue de chaque round pour vous hisser à la tête du classement !!
- Course : Arrivez avant les autres joueurs !
- Combat électrique : Tirez sur vos adversaires avec des balles et marquez des points lorsque vous touchez quelqu’un. En revanche, vous subissez des dégâts lorsque vous êtes touché.
- Chasse aux étoiles : Collectez des étoiles dans un temps imparti. Attention, vous perdrez des étoiles en subissant des dégâts.
- Survie : Evitez les boulets de canon et faites le nécessaire pour rester le plus longtemps possible sur la piste ! L’échafaudage s’écroulera s’il est frappé par un boulet ou si vous restez immobile trop longtemps. Vous serez éliminé en tombant hors des limites de l’écran.
Bande Son : Les musiques entraînantes et les différents bruitages font le job et raviveront forcement beaucoup de souvenirs aux plus anciens ! Rien à redire au niveau des dialogues puisqu’ici il n’y en tout simplement… pas ! Et ça tombe bien car je ne peux pas m’encadrer la voix FR de Sonic… (désolé c’est au dessus de mes forces…).
Conclusion : Sonic Superstars est magnifique esthétiquement parlant, fluide et met encore une fois notre dextérité à dure épreuve. C’est un vrai plaisir de retrouver notre petit hérisson bleu à chaque nouvel épisode et ce depuis le tout premier sorti sur Master System. Certes la durée de vie peut paraître faible mais au vue du prix qu’il est vendu, cela est tout à fait pardonnable !
[TEST] Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged sur Xbox Series X
Vroummmmmm…. Hot Wheels Unleashed déboule à toute berzingue dans un tout nouvel opus intitulé TurboCharged sur Xbox Series X avec la ferme intention de nous faire tourner la tête dans des circuits complètements FOUUUUUUS en défiant toutes les lois de l’apesanteur… Nous allons donc voir ceci… Mais attention ! Il est fortement conseillé de bien vous accrocher à votre canapé pendant toute la durée de ce test ! 3, 2, 1… Gooooo !!!!
Scénario : Si si, je vous assure, il y en a bien un ! Bon après « Scénario » c’est un bien grand mot,… Le but ici, sera d’affronter cinq boss qui sèment la terreur en ville ! Pour cela vous devrez enchainer de très nombreuses courses et des défis afin de leur montrer qui est le patron ! Pensez vous pouvoir y arriver les ami(e)s ?
Graphismes : Hyper coloré et visuellement très agréable, Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged offre des environnements plaisants sur une centaine de circuits renversants. Ce qui est génial ici, c’est qu’on nous donne l’impression d’être face à des créations de circuits d’enfants (et d’adultes aussi non mais !) dans des milieux réels tels qu’un terrain de mini-golf, une salle de jeu en plein milieu des flippers et des bornes d’arcade, un musée de la préhistoire, une station service placée sur une aire de repos ou encore dans un garage ou dans un magnifique petit jardin… C’est vraiment très plaisant de voir nos petits bolides se faufiler dans des parcours entre les chaises, les tables et bien d’autres éléments de grandeurs réelles. Certaines pistes sont folles, avec des successions de loopings, de sauts en veux tu en voilà ou encore des sorties de circuits où la moindre erreur vous fera perdre un temps fou ! Mais ce qui impressionne le plus c’est que le titre de Milestone se distingue surtout par une sensation de vitesse impressionnante !
Si vous êtes, comme moi, un grand fan des jouets Hot Wheels et que vous collectionnez ces petits bolides depuis très longtemps, vous reconnaitrez sans mal les voitures qui ont fait l’histoire de la licence comme la célèbre DeLorean ou encore Kitt de K2000, pour ne citer qu’elles ! Bien évidemment il y en a des dizaines d’autres toute aussi bien modélisées les unes que les autres ! Il y en a pour tous les goûts ! ^^
Ici, les animations ne sont pas en reste et proposent, lors de la campagne, des cut-scenes façon planche de bande-dessinées dynamiques renforçant ainsi l’immersion !
Jouabilité : Comptez 15 secondes chrono pour prendre en main ce Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged. La gâchette droite pour accélérer, la gauche pour freiner et drifter, la touche A pour utiliser le boost (qu’il faudra bien penser à garder lors des loopings car si vous êtes trop lent, la gravité aura raison de vous) et la touche Y pour effectuer des sauts (et même des doubles sauts pour être précis)… Sans oublier le Dash latéral qu’il faudra utiliser avec la touche X ou B au bon moment pour percuter vos adversaires et les projeter hors du circuit… Mouhahahahaha (rire diabolique) !
Un gameplay si facile et pourtant si impitoyable ! Le moindre écart ou le moindre obstacle que vous toucherez vous fera potentiellement perdre tout espoir de terminer à la première place du podium ! En effet, sur certains circuits, vous rencontrerez des barricades et autres pièges diaboliques qu’il faudra déjouer… A savoir également que l’herbe ou le sable affecteront la maniabilité de vos bolides … Cela rajoute un peu de piment aux courses et pourra avoir la lourde sentence de vous faire passer de la première à la dernière place en un rien de temps ! C’est le jeu ma pauvre Lucette !
Contrairement au premier opus de la série, le titre de Milestone vous permet ici d’améliorer les performances de vos véhicules. Il faudra pour cela, débloquer de nouvelles capacités et ainsi équiper vos bolides avec des atouts spécifiques que l’on débloque via des mini arbres de compétences. Chaque bolide possède son propre niveau de rareté, ses propres caractéristiques et sera personnalisable avec l’éditeur de livrée !
Durée de Vie : Il est vraiment très difficile de lâcher la manette une fois que l’on démarre une partie de Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged… Les courses sont FUN, rapides et sans prise de tête ! Le titre de Milestone est riche en contenu (notamment avec son accès à plus de 130 véhicules de différents types et avec l’ajout de motos et de Monster Trucks qui n’était pas disponible dans le 1er opus) et vous occupera de très très nombreuses heures ! En effet, rien qu’avec le mode campagne, il y a de quoi s’éclater en explorant la carte et en enchainant les nombreux défis proposés dans une multitude de courses rapides, de contre-la-montre, de captures de points de contrôle, de drifts, d’éliminations sans oublier les cinq courses de boss où vous devrez détruire toutes les cibles sur votre parcours afin de l’éliminer avant la fin d’un compte à rebours redoutable.
Au fil de votre progression, vous récupérerez de l’argent pour acheter des véhicules dans la boutique, des jetons de spin qui vous permettront de faire tourner la grande roue afin d’espérer remporter un gros lot, des kits d’améliorations et des points de compétences afin d’améliorer vos carrioles et des arrières plans pour customiser votre carte de visite.
Si le multi local promet des courses animées avec un ami en écran partagé, le jeu permet également de vous affronter sur le mode en ligne en cross-play aves des joueurs PC ou PlayStation, soit sur les pistes de Milestone, soit sur celles créées par la communauté grâce à l’éditeur de circuit très complet ! Il faut savoir que ce sont les mêmes outils que les développeurs du titre ont utilisé pour la création de ce Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged ! Au départ, très peu de pièces seront à votre disposition mais vous en débloquerez au fur et à mesure de votre avancée dans le mode campagne. De quoi laisser parler votre imagination et de passer énormément de temps à créer et à partager vos créations avec le reste du monde ! A ne pas douter que le mode photo in-game vous occupera un bon moment également ! ^^
Bande Son : La bande originale de Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged contribue très fortement à la réussite de l’ensemble du titre. La bande son est tout simplement géniale et est en concordance avec l’ambiance du jeu qui nous immerge complètement dans nos courses folles ! De la bonne musique funky cool dans nos esgourdes qui colle bien avec ce style de jeu !
Conclusion : Techniquement et esthétiquement sans faille, accessible à tous et terriblement jouissif (quand on gagne bien évidemment ^^), Hot Wheels Unleashed 2 – TurboCharged s’impose tout naturellement comme un des jeux les plus FUN de cette année ! On s’amuse comme des petits fous dans des parcours originaux et parfois spectaculaires ! Sur ce j’y retourne, j’ai quelques circuits à terminer et à partager avec la communauté. ^^
[TEST] LORDS OF THE FALLEN SUR XBOX SERIES X
Si vous me suivez sur mes différents réseaux sociaux vous connaissez alors tout mon amour pour les « souls-like », et donc, tout naturellement, Lords of the Fallen est un des titres que j’attendais le plus cette année !
Assez critiqué lors de sa sortie en 2014, Lords of the Fallen nous revient sous le même titre en faisant table rase du passé ! Nous allons donc voir dans les quelques lignes ci-dessous, si le titre de CI Games et de HexWorks se montre à la hauteur de ce qui s’apparente à un reboot !
Scénario : Lords of the Fallen vous emmène sur les terres dévastées de Mournstead, mille ans après l’exorcisme ayant banni le dieu démon Adyr… Et comme vous le savez, le mal ne meurt jamais vraiment… La corruption, se propageant à une vitesse folle, annonce son retour prochain et c’est à vous d’incarner et d’endosser le rôle du Croisé Noir, un être chargé d’anéantir les sbires d’Adyr et de le bannir à nouveau.
Pour mener à bien cette mission ô combien difficile, vous devrez compter sur votre maîtrise de la puissance aussi surnaturelle qu’inouïe de votre mystérieuse lampe, qui vous permettra de passer d’Axion, le monde brutal des vivants, à Umbral, le royaume cauchemardesque des morts…
Graphismes : L’univers Heroic Fantasy du titre est parfaitement maitrisé !
Lords of the Fallen est vraiment superbe esthétiquement parlant, et vous risquez de prendre des petites claques dans la tronche face à certains environnements que vous traverserez, que se soit dans le monde des vivants ou encore dans le monde des morts (ce qui permet entre autre une sorte de double exploration du titre et en temps réel les ami(e)s) !
Le tout s’articule autour de monuments imposants qui vous feront tourner la tête et de paysages de désolation où la mort et le chaos règnent en maitre sur ces terres désolées ! Il n’est d’ailleurs pas rare, lors des moments d’accalmis, de s’arrêter quelques instants pour admirer (et prendre quelques photos par la même occasion) les différents paysages de ces deux mondes interconnectés ! Le titre de de CI Games et de HexWorks repose essentiellement sur une ambiance et une atmosphère pesante tout au long de votre aventure, et force est de constater que le rendu global est tout particulièrement réussi notamment grâce à des effets d’ombres, d’effets météorologiques (pluie, orage,…) et de jeux de lumières absolument magnifiques qui s’allient parfaitement aux divers effets spéciaux qui sont tout simplement merveilleux (projections de particules, impact visuel des coups portés,…).
Le bestiaire est quant à lui plutôt bien diversifié et les boss vraiment colossaux et complètement Badass ! Du grand art !
En bref, Lords of the Fallen vous garantit un dépaysement total !
Jouabilité : Comme énoncé plus haut, Lords of the Fallen se présente comme un « souls-like », ce qui en fait un titre qui peut paraitre difficile au premier abord ! Difficile mais pas impossible car une fois les mécaniques comprises, il en devient un jeu plus accessible ! Croyez moi, il serait vraiment, mais alors vraiment dommage de s’arrêter à la première difficulté rencontrée !
Avant de débuter votre aventure, vous passerez par la case création de personnage et pourrez ainsi le façonner avec de nombreuses possibilités esthétiques. Il faudra choisir ensuite une classe parmi les 9 proposées que vous devrez bien évidemment développer en fonction de votre style de jeu, en améliorant (comme dans tout bon action RPG qui se respecte) ses statistiques, son arsenal, son armure et ses sorts au fil de votre aventure ! Suite à ça, vous serez directement plongé au cœur de l’action avec un tutoriel vraiment bien foutu. Il est d’ailleurs primordiale de bien suivre les instructions car dès les premiers combats vous comprendrez que le timing pour parer les attaques ennemis s’avère être aussi important que les coups que vous porterez. En cas d’échec, vous perdrez des précieux points d’âmes qu’il sera fort heureusement possible de récupérer sur le lieu de votre mort… Ceux ci servent à améliorer vos capacités au niveau des vestiges (les feux de camp) …
Il faut également savoir qu’en cas de coup dur, vous aurez toujours la possibilité de vous faire aider par un ami ou d’un autre croisé (via la coopération) lors de vos missions et plus particulièrement lors de certains combats de boss vraiment ardus ! Ce qui n’est pas négligeable sur quelques passages bien galère à passer !
Pour revenir un peu sur le gameplay, notre héro peut posséder et s’équiper d’un arsenal divers et variés (épée, hache, bouclier, ect,… vous connaissez la musique) ! Il peut courir, esquiver les coups qu’on lui porte à l’aide d’une roulade ou parer les attaques ennemis avec un bon timing… Il faudra tout de même surveiller le poids de vos équipements que vous transporterez afin de ne pas alourdir inutilement Gargamel (oui c’est comme ça que s’appelle mon perso) !
Ici, le titre de CI Games et de HexWorks se démarque de ses ainés par le fait de pouvoir passer du monde des vivants (Axiom) à celui des morts (Umbral) ! En effet, vous pourrez facilement vous rendre dans l’Umbral grâce à votre lanterne ou en mourant… tout simplement ! En revanche pour revenir parmi les vivants vous devrez trouver un feu de camp ou récupérer l’âme d’une sorte de cadavre figé dans la roche éparpillé sur la carte… Mais attention, car si vous trainez trop dans ce royaume cauchemardesque vous risquez d’attirer de puissants démons (même si le jeu en vaut la chandelle, car votre bonus de récupération d’âme peut passer du 1x au 3x) et qu’au bout d’un certain temps c’est la mort elle même qui viendra vous combattre !
La gestion de la lanterne est vraiment un élément intéressant, car cela favorise l’exploration des deux mondes en permettant de trouver bon nombre de passages secrets, de routes dissimulées ou encore de magnifiques trésors …
Durée de Vie : Contrairement à un Elden Ring (pour ne citer que lui) Lords of the Fallen se rapproche plus d’un Dark Soul de part son monde semi-ouvert interconnecté avec bons nombres des raccourcis à déverrouiller pour vous faciliter la vie ! Ici, on nous force à l’exploration qui sera bien évidemment toujours récompensée !
Il faudra tout de même compter une bonne trentaine d’heures de jeu pour venir à bout de cette aventure, les completistes y passeront surement le double ! Lа рréѕеnсе du mоdе Nеw Gаmе+ еt dе рluѕіеurѕ fіnѕ роѕѕіblеѕ liées aux factions feront gonfler un peu plus la durée de vie et le plaisir de retourner sur le titre !
Comme mentionné plus haut, Lords of the Fallen, vous donne également accès à un mode coopération en ligne soit avec un amis, soit avec un autre croisé qui aurait répondu à votre appel à l’aide pour venir à bout des ennemis les plus coriaces. Une option vraiment sympa qui vous permettra de tirer votre épingle du jeu lors de certains combats qui pourraient s’avérer être frustrants !
Pour terminer, vous pourrez envahir le monde d’autres joueurs afin de freiner leur progression à la manière d’un Souls. Pour ma part, ce n’est pas quelque chose qui m’attire dans ce genre de titre (sauf pour débloquer le succès qui lui es attribué) !
Bande Son : Alors si vous êtes un grand fan des univers Heroic/Dark Fantasy, tout est là pour vous immerger complètement dans cette fantastique aventure !
L’ambiance sonore est parfaite et contribue au charme global que dégage ce Lords of the Fallen ! Les effets sonores ainsi que les différents bruitages sont incroyables et les thèmes musicaux (je croise les doigts pour que la bande sonore sorte en version physique !! Cd ou vinyle peu importe !*) font leur travail avec beaucoup de talent… Du grand art tout simplement !
*Edit : La sortie de la bande originale officielle de Lords of the Fallen, en partenariat avec Laced Records est disponible dès à présent sur les plateformes de streaming. Le lancement de cet album de 36 titres précède la précommande et la sortie prochaine d’un coffret triple LP en édition limitée. La bande originale, écrite par les compositeurs primés Cris Velasco (Bloodborne, Resident Evill VII : Biohazard) et Knut Avenstroup Haugen (Lords of the Fallen 2014, Conon Exiles), a été enregistrée avec le Budapest Scoring Orchestra and Choir (80 musiciens), la soprano Eurielle, la contralto Jess Dandy et le violoncelliste principal du London Symphony Orchestra, David Cohen. <3
Conclusion : Bon, on ne va pas y aller par quatre chemin, vous l’avez parfaitement compris en lisant ces quelques lignes ! Lords of the Fallen est un excellent titre ! Complet, exigeant, passionnant et doté d’une direction artistique incroyable, le titre de CI Games et de HexWorks a en effet satisfait toutes mes attentes ! Il est vrai qu’il pourra parfois mettre vos nerfs à dures épreuves mais chaque combat gagné et passage surmonté offrira un véritable sentiment d’accomplissement seul ou avec un(e) ami(e) !
