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[BREAKING NEWS] Le 27 avril 2013, le Sang des Innocents a Coulé !

À l’occasion de la sortie de Dead Island Riptide, les zombies ont envahi le quartier Châtelet à Paris et ensanglanté la Fontaine des Innocents ! ^^)

[TEST] Dead Space 3 sur XBOX 360

Après deux épisodes qui posaient les bases d’une série solide, Electronic Arts et Visceral Games remettent le couvert avec un Dead Space 3, qui débarque avec la ferme intention d’être l’épisode du renouveau. ;)

Dead Space 3

Scénario : Isaac Clarke revient accompagné de l’énigmatique John Carver pour arrêter définitivement les nécromorphes. Ensemble, ils doivent explorer la planète de glace « Tau Volantis » à la recherche du secret qui mettra un terme à l’épidémie, en affrontant ses avalanches, chutes de glace et son climat inhospitalier. Face aux ennemis les plus mortels et aux éléments déchaînés, le tandem doit coopérer pour sauver l’humanité d’une apocalypse imminente.

Dead Space 3

Graphismes : Dead Space 3 est dans la lignée des deux précédents opus et Visceral Games  confirme sa maîtrise en nous livrant une œuvre encore une fois particulièrement travaillée ! Et autant vous le dire tout de suite, IL EN MET PLEIN LA VUE ! Les environnements extérieurs, spatiaux et montagneux sont somptueux, immenses, vastes et offrent un dépaysement total. Les décors intérieurs aux murs maculés de sang ou de matières organiques et sols jonchés de cadavres, s’avèrent bien glauques voire carrément malsains… Même si l’ambiance visuelle a tendance à se répéter, notamment à cause des couloirs des vaisseaux, elle n’en reste pas moins bourrée de petites surprises ! Le bestiaire est toujours autant soigné, et nous livre de nouvelles variantes bien inspirées. Si les anciens nécromorphes sont toujours de la partie, c’est un régal d’en découvrir de nouveaux, plus effrayants encore et terriblement bien animés. Les boss ne sont pas en reste et crèvent aussi l’écran !

Dead Space 3

Jouabilité : Dead Space 3 reprend l’essentiel des ingrédients ayant fait le succès de la franchise. Le gameplay reste toujours fondé sur le principe de couloirs et respecte l’habituel schéma de se diriger d’un point à un autre, ou faire des aller-retours, avec sur notre passage quelques nécromorphes à démembrer et à massacrer. Nous retrouvons ainsi notre bon vieux Isaac Clarke, quelque peu assouplie par un système de couverture et des roulades possibles en appuyant deux fois sur le bouton LB. Ces quelques apports sont justifiés par la présence d’ennemis humains. Relativement ponctuels, ils donnent lieu à des phases façon TPS ! Pour défourailler tout ce beau monde, de nombreuses armes sont à votre disposition ! Il vous faudra les fabriquer et les améliorer et pour cela, vous devrez trouver des pièces et des matières premières ! Elles permettent également d’upgrader la combinaison ou de créer des munitions et des soins. Pour les trouver, vous pourrez utiliser des robots-charognards. Entre les séances d’extermination de monstres et vos passages à la déchetterie, les développeurs se sont dits que ce serait une bonne idée de rajouter quelques mini-jeux et des séquences d’escalade ! ;) 

Dead Space 3

Durée de Vie : En fonction de la difficulté choisie (facile, normal ou difficile), comptez entre dix et vingt heures pour voir le bout de cette magnifique et horrifique aventure ! Dead Space 3 propose pour la première fois des quêtes annexes, ce qui rallonge la durée de vie. Alors que le second opus avait tenté l’aventure du multijoueur en ligne sous forme de confrontation, Dead Space 3 joue la carte de la coopération à deux joueurs. Cette campagne jouable à deux a le mérite d’introduire un nouveau personnage, des intrigues, des quêtes secondaires et des énigmes inédites donnant un réel but au multijoueur. Vous pourrez donc choisir d’incarner John Carver, déjà présent dans le solo, et qui, sous son apparence de brute sans cœur, est psychologiquement au bout du rouleau. Ainsi, ce dernier aura régulièrement des hallucinations, obligeant Isaac à lutter tout seul contre ces satanés Necromorphes. De belles heures de jeu supplémentaires, dont il serait dommage de se priver. La possibilité de recommencer avec une nouvelle « partie + » est toujours de mise, et ravira ceux qui souhaitent explorer l’univers à fond pour trouver tous les objets à collecter. Les plus accrocs pourront débloquer le mode « Survie totale », dans lequel vous serez obligés de fabriquer vous même vos ressources et enfin, pour les sadomaso, les développeurs ont prévu un « mode fou furieux », où la moindre mort vous fera recommencer… du début ! Oo

Dead Space 3

Bande Son : L’ambiance sonore est particulièrement soignée et participe grandement à l’immersion (vous allez flipper,… croyez moi ! Mouhahahaha) ! Les dialogues en VF sont également très convaincants ! ;)

Dead Space 3

Conclusion : Le titre de Visceral Games est porté par une bande-son impressionnante, des graphismes de toute beauté et d’un gameplay aussi simple qu’efficace ! Les combats sont vifs et l’ambiance flippante à souhait. Quant au scénario, il profite de cette incursion sur Tau Volantis pour se renouveler… Bravo et merci encore car Dead Space 3 est une valeur sûre pour tout fan de survival-horror8)

[ARRIVAGE] Dead Space 3 sur XBOX 360 mais pas que…

Hier matin, j’ai eu l’immense plaisir de recevoir de la part d’Electronic Arts : Dead Space 3 sur XBOX 360, le dernier survival-horror spatial développé par Visceral Games ! Dans l’enveloppe, se trouvait également un artbook monstrueux intitulé : The Art of Dead Space ! 8)

Dead Space 3

Dead Space 3 est un survival-horror. Epaulé par le sergent John Carver, jouable par une deuxième personne en mode coopératif, Isaac Clarke reprend du service après le crash de son vaisseau sur Tau Volantis, une planète de glace. A la recherche d’Ellie, l’aventure propose d’affronter de nouveaux Nécromorphes et pour la première fois des humains dans une aventure aux limites de l’horreur… ;)

Avec plus de 300 images, The Art of Dead Space est un magnifique livre de près de 200 pages consacré à la série Dead Space ! 8)

[TEST] Alan Wake’s American Nightmare sur le Xbox Live Arcade

Développé par Remedy pour le compte de Microsoft, Alan Wake’s American Nightmare est un stand alone uniquement disponible sur le Xbox Live Arcade ! Deux ans se sont quasiment écoulés entre le premier opus et cette nouvelle aventure de l’écrivain maudit ! Il ne s’agit pas d’un second volet à part entière, loin de là, mais plutôt d’une version 1.5 (qui a dit DLC masqué ?) ! oO

Scénario : Dans ce tout nouvel opus, Alan Wake affronte le héraut des ténèbres, le malfaisant M. Grincement ! Lancez-vous dans une lutte sans merci contre votre clone assassin pour regagner votre vie… et réécrire la réalité ! Mais ce cauchemar n’est pas votre seul défi car en mode Arcade, où l’action ne manque pas, vous devrez maîtriser le combat à la torche pour résister jusqu’à l’aube et battre vos amis aux classements. Saurez-vous survivre jusqu’à l’aurore ? ^^)

Graphismes : Les graphismes sont très soignés ! Certaines cinématiques sont littéralement à couper le souffle. Il y a clairement eu une amélioration des effets visuels par rapport au premier opus, on peut s’en rendre compte notamment lorsque l’on défouraille les possédés. Le noir se veut encore plus sombre et votre lampe torche, malgré une évolution significative de votre arsenal, sera une fois encore votre meilleure alliée.

Jouabilité : Le gameplay à légèrement évolué par rapport au premier opus ! Ne vous y trompez pas, on n’est pas face à un gros TPS bien bourrin, Alan Wake American Nightmare reste un titre basé sur une ambiance pesante, même si légèrement moins flippante qu’Alan Wake premier du nom. Pourquoi ? Déjà parce que notre héros est nettement plus équipé que précédemment : Uzi, mitrailleuse et tutti quanti… La jauge de vie évolue également, elle est à présent coupée en trois parties, qui remonte après un combat. Vous pourrez aussi la recharger en vous plaçant sous une lampe (qui sert d’abri également). Inconvénient majeur, les lampes finissent toujours par s’éteindre lorsque l’on reste trop longtemps en dessous. Autre petit changement également lorsque notre héros court il se fatigue nettement moins vite, ce qui est utile vu le nombre d’ennemis qui vous course parfois.

Durée de Vie : Le mode Histoire d’American Nightmare est plutôt court (comptez 5 heures pour le terminer), mais heureusement, un mode survie fait son apparition, grandement inspiré d’un certain mode « horde » qui vous met aux prises de vagues incessantes de possédés de plus en plus féroces, dans des environnements inédits. Hélas, ce mode est toujours « solo » et on aurait vraiment aimé une petite dose de multijoueur, qui aurait pu augmenter la rejouabilité du titre.

Bande Son : Parler du jeu sans évoquer sa bande-son lui ferait du tord, tant cette dernière est tout simplement superbe. Les morceaux d’ambiance sont très bons, tout comme le titre phare, rock et très agréable. Il y a là un côté vraiment à part, qui donne au jeu une sorte de marque de fabrique assez rare dans ce genre de productions. À noter que contrairement au premier, le jeu n’est pas doublé en français,…

Conclusion : Alan wake’s American nightmare rend hommage au premier opus et offre aux joueurs un divertissement horrifique et tendu de qualité. Graphiquement convaincant et abouti il met en place une atmosphère et un univers unique. Le scénario est riche et assez complexe pour nous tenir en haleine. L’ajout d’un mode arcade en plus du solo traditionnel profite grandement à la durée de vie et fera à n’en pas douter des heureux même si on aurait vraiment aimé une petite dose de multijoueur ! Si vous avez apprécié le premier épisode ou d’autres jeux du genre,… foncez ! ;)

Ma note : 17/20

[TEST] Resident Evil : Revelations sur 3DS

Annoncé depuis l’E3 2010, Resident Evil : Revelations arrive enfin sur 3DS. Après le très décevant Mercenaries, Capcom nous promettait un retour aux sources de la série, du suspens, de l’angoisse, de l’horreur et du sang… Alors promesse tenue ? ;)

Scénario : L’agent spécial Jill Valentine du B.S.A.A. a perdu contact avec Chris et sa partenaire Jessica. En suivant les coordonnées trouvées, Jill et Parker, son partenaire, sont envoyés dans un obscur navire pour les retrouver. C’est alors qu’elle découvre que ce navire est infesté de zombies et autres créatures mutantes. Elle devra faire preuve de courage pour pouvoir s’échapper vivante du navire avec son partenaire et découvrir la lourde vérité sur Chris…

Graphismes : Une chose est sûre, Resident Evil : Revelations, est esthétiquement très réussi. Le moteur MT Framework mobile développé en interne par Capcom, se montre très performant. C’est probablement le jeu le plus réussi techniquement que la 3DS ait pu nous proposer jusqu’ici. L’effet 3D est même vraiment agréable par moment, notamment lors des cinématiques, et pourrait convaincre nombre de réfractaires à l’option. Comme dans tout bon Resident Evil, le jeu reprend énormément de codes de la série, à commencer par une grande quantité de cinématiques absolument sublimes.  

Jouabilité : Le gameplay se rapproche de celui Resident Evil 4. La caméra reste au niveau de l’épaule du héros, qui peut toujours switcher entre son couteau et une arme à feu, et courir pour échapper aux méchants pas beaux qui le poursuivent. Il est important de préciser que je n’ai pas eu la possibilité d’essayer le jeu avec le Circle Pad Pro et il est très possible qu’il assouplisse la maniabilité du soft. 

Durée de Vie : La campagne se termine en une dizaine d’heures si vous optez dès le départ pour le mode Normal ! A cela vient se greffer un mode commando jouable en solo ou en coopération 2 joueurs en ligne ou avec deux consoles de quoi booster la durée de vie du soft. ;)

Bande Son : En plus de proposer un doublage français (une première dans la série) très bon, Resident Evil : Revelations parvient à offrir une ambiance sonore oppressante des plus soignées. L’étroitesse des lieux est propice à vous faire sursauter au moindre embranchement, où se cache potentiellement un monstre. Les bruitages comme les musiques sont parfaitement dans le ton et confèrent une vraie dimension angoissante et stressante au titre si on prend la peine d’y jouer en utilisant un casque.

Conclusion : Resident Evil est enfin de retour ! Les graphismes 3D de la console portable de Nintendo rendent réellement hommage à ce petit bijou de Capcom. Le titre assure l’essentiel et procure de bonnes sensations. Sans être réellement aussi angoissant que l’on aurait voulu, il offre une aventure fort agréable, avec un scénario bien écrit, une réalisation exemplaire, un rythme bien tenu et une durée de vie conséquente ! Bref, Revelations s’impose facilement comme LE titre de ce début d’année sur 3DS, et comme un épisode que tout fan qui se respecte se doit de posséder.

Ma note : 18/20

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