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[TEST] Hell Yeah! La Fureur du Lapin Mort sur le Xbox Live Arcade
Lorsque les français d’Arkedo se lancent dans la création d’une nouvelle licence, ils ne font pas dans la demi-mesure. Les couleurs pétantes de Hell Yeah! La Fureur du Lapin Mort n’ont en effet d’égal que le côté complètement déjanté du titre, à mi-chemin entre action et plates-formes. Histoire de découvrir comme il se doit cet OVNI des services de téléchargement du XBOX Live Arcade, je vous propose le test maintenant ! 
Scénario : Vous incarnez un lapin démoniaque nommé Ash, Prince des Enfers et craint de tous… sauf de votre pire ennemi, Fat Rabbit. Ce dernier vient de poster sur Hellternet des photos compromettantes, ce qui vous met sérieusement en rogne ! Vous voulez l’envoyer brûler en Enfer et vous occuper de lui, afin d’assouvir une vengeance aussi bouillante que votre caractère. Vous partez à sa recherche, équipé de votre fidèle foreuse (ainsi que d’autres armes personnalisables), et explorez le vaste monde de Hell Yeah! Dans les profondeurs des abysses, personne n’entendra crier les victimes que vous massacrerez à la chaîne avec votre chignole, en exterminant sans relâche les hordes de créatures moches et malpolies à la solde de Fat Rabbit. N’ayez pas de remords, ces affreux méritent leur sort ! Après tout, c’est vous contre l’Enfer tout entier ! 
Graphismes : Hell Yeah! est un régal pour les yeux. La direction artistique charme la rétine, avec l’utilisation d’une belle 2D colorée donnant un cachet catoon fantasmagorique très imaginatif au titre. On sent que les développeurs ont passés beaucoup de temps à peaufiner cet aspect, souhaitant offrir au joueur des niveaux très différents les uns des autres, et un maximum d’options de personnalisation pour le personnage principal. Difficile d’imaginer qu’il s’agit d’un jeu principalement développé sur XNA, l’outil de développement gratuit de Microsoft !
Jouabilité : Hell Yeah! prend la forme d’un jeu d’action et de plates-formes assez classique tout en offrant des phases de jeu variées ! Quel que soit le niveau, Ash se déplacera de deux manières distinctes imposées par le jeu selon la zone traversée : à pied, ou aux commandes d’une scie circulaire. Dans le premier cas, notre « Lapin Mort » sera extrêmement vulnérable et ne pourra pas directement attaquer ses ennemis, il ne pourra compter que sur son saut simple ou son saut mural et utiliser les éléments du décor à son avantage pour éliminer les menaces. Dans le second cas, avec sa scie fonctionnant comme un jetpack, il pourra s’élever jusqu’à une certaine hauteur, mais aussi creuser dans certaines roches friables afin d’ouvrir de nouveaux chemins. Son véhicule lui permettra non seulement d’écraser aisément les petits monstres évoluant autour de lui, mais aussi d’utiliser les armes en sa possession. Dans les deux cas l’inertie particulière de notre héros demande quelques minutes d’adaptation, mais on parvient vite à explorer les niveaux parfois tortueux sans réel problème. Au fur et à mesure de votre progression, vous amasserez de l’argent qui vous permettra d’acheter de nouvelles armes et de nouvelles tenues, ou d’améliorer l’équipement déjà en votre possession. Côté arsenal l’offre est variée avec un pistolet, un fusil à pompe, une mitraillette, un lance-roquettes, des grenades, un lance-missiles, et même un lance-eau-bénite !
Durée de Vie : Comptez une bonne dizaine d’heures pour faire le tour du jeu, à raison d’une heure en moyenne par niveau. Malheureusement, la rejouabilité est quasi nulle même si quelques missions annexes sont présentes pour gonfler un peu la durée de vie du jeu. Les plus motivés pourront quant à eux parcourir à nouveau les différents mondes afin de choper des skins pour la scie circulaire et autres accessoires pour Ash…
Bande Son : L’environnement sonore accompagne parfaitement ce feu d’artifice visuel. Hell Yeah! est rythmé d’une bande-son au top majoritairement rock s’adaptant à chaque niveau pour entrer en adéquation avec les environnements proposés, et c’est pas plus mal. Les bruitages sont un peu moins frappants, mais variés et bien crades comme il faut.
À noter que les esprits malades de chez Arkedo nous font cadeau de la bande originale de leur jeu déjanté qui se télécharge à cette adresse ! 
Conclusion : Hell Yeah! La Fureur du Lapin Mort a tout pour plaire. Un style cartoon très réussi, un héros charismatique, une ambiance sonore festive, un gameplay assez varié et le tout pour un prix modeste ! Merci Arkedo pour ce jeu sympathique et déjanté que je vous recommande vivement d’essayer !
[TEST] LittleBigPlanet sur PS VITA
Le très meugnon petit Sackboy et ses milliers de mondes différents à inventer et à partager est disponible pour le plus grand plaisir des apprentis créateurs sur la petite console de Sony ! Mais… Qu’on se le dise,… LittleBigPlanet sur PS VITA n’est pas un bête portage, mais bien une vraie suite ! Installez-vous confortablement devant votre écran car le test c’est maintenant ! 
Scénario : L’histoire de ce LittleBigPlanet prend place dans le monde de Carnavalia, une planète aux allures de fête foraine itinérante, où il faisait bon vivre autrefois ! Le « Marionnettiste » qui faisait la pluie et le beau temps, émerveillant petits et grands de ses animations, prit ses cliques et ses claques, triste et en colère, faute d’un spectacle n’ayant pas fait l’unanimité de son public ! Après de très longs mois d’absence, ce dernier refait surface, mais il n’est plus du tout le même… Il va se venger et transformer chaque être jovial de Carnivalia en « toutvides », des êtres sans cervelle qui détruisent et ravagent le monde ! Les habitants de Carnavalia ont perdu l’espoir que tout s’arrange jusqu’à l’arrivé d’un petit Sackboy, courageux de rétablir l’équilibre de ce monde où la joie et la bonne humeur règnait jadis !
Graphismes : Cet opus PS VITA est M A G N I F I Q U E ! Le style graphique de LittleBigPlanet, à mi-chemin entre décors réalistes, cartoon et papier mâché, est vraiment unique et colle merveilleusement bien à son concept, depuis la sortie du premier épisode, en octobre 2008. Dès les premiers niveaux on tombe sous le charme et les huit régions à traverser, (Jardin, Savane, Mariage, Canyon, Métropole, Île, Temple et Nature) sont un vrai régal pour les yeux. Quant aux cinématiques… dois-je vraiment vous dire qu’elles sont elles aussi superbes à regarder ? De plus, LittleBigPlanet offre des possibilités quasi infinies permettant de donner naissance à un personnage créé de vos propres mains et ainsi le faire évoluer dans un univers entièrement personnalisé.
Jouabilité : Le plaisir que procure LittleBigPlanet n’est pas seulement visuel. Sackboy peu courir, sauter, nager, s’accrocher, pousser et tirer des objets, balancer son grappin, bouger les bras, sourire, faire la tête et j’en passe et des meilleurs… Vous l’aurez compris, on retrouve la même touche niveau gameplay que sur les épisodes PS3, mais,… mais,… mais,…. grâce aux nouveautés tactiles et gyroscopiques qui s’implantent parfaitement dans le jeu, vous pourrez déplacer des éléments présent dans le décors avec l’écran avant, faire ressortir des éléments via le pavé arrière, guider des projectiles d’une simple pression du doigt ou tout simplement déplacer et faire tourner des roues pour progresser dans l’aventure… Avec l’APN vous pourrez prendre des photos de tout ce qui vous entoure, utiliser ces images pour déguiser Sackboy ou pour donner à votre niveau l’apparence que vous souhaitez. L’immersion est totale et apporte un réel plus en termes de gameplay et d’interactivité ! Une performance impressionante de ce côté là !
Durée de Vie : Le « mode histoire » se compose d’une cinquantaine de niveaux à travers huit régions très différentes des unes des autres, ne laissant jamais la monotonie vous gagner ! En ligne droite, ce mode est relativement court, comptez 5 à 6 heures, mais cette durée peut vite être doublée si vous voulez terminer le jeu à 100% et ainsi tout débloquer. Pour prolonger le plaisir s’ajoute plusieurs minis-jeux à jouer entre amis tel que le Tetris inversé dans lequel le but va être de construire la plus grande tour,… ! Mais si le solo mérite à lui seul l’achat du titre, les habitués le savent très bien il ne s’agit là que de la face visible de l’iceberg (héhé) ! En effet, la réelle force de la série réside dans la partie communautaire online, où chacun peut créer et partager ses propres niveaux, ainsi que ses mini-jeux pour la zone arcade. Attendez vous donc à des heures et des heures de jeu en perspective…
Bande Son : Précisons d’emblée que le jeu est intégralement en français, textes comme dialogues ! Les développeurs du titre nous offrent une excellente bande-originale composée de fanfares tsiganes, de bruitages inquiétants et drôle à la fois en passant par de la musique electro des années 80 inspirée par le cinéma ! LittleBigPlanet sur PS VITA est une symphonie conté par Michel Elias qui se laisse écouter du début à la fin ! Rien à redire, c’est du tout bon !
Conclusion : Ce LittleBigPlanet est une très jolie réussite pour la PS Vita qu’il faut posséder ABSOLUMENT ! Achetez-le les yeux fermés, le jeu en vaut la chandelle ! Allez hop, moi, j’y retourne…
[TEST] New Super Mario Bros. 2 sur 3DS
Vous l’attendiez avec impatience ? Normal, ce n’est pas la petite production du coin qui débarque dans votre Nintendo 3DS. Mario est de retour dans le jeu New Super Mario Bros 2, troisième volet de la saga « New Super Mario Bros ». Le titre vient juste de sortir chez nous, mais est-il le meilleur jeu de plate-formes actuel ? Pour le savoir, lisez attentivement le test qui va suivre.
Scénario : Alors que Mario et Luigi s’envolent dans les airs pour récupérer quelques pièces d’or, la princesse Peach se fait une nouvelle fois enlever par la marmaille de Bowser…
Graphismes : Même si les thèmes des niveaux sont semblables aux anciens opus, ils ont au moins le mérite d’être variés. Ici, ce qu’il est intéressant de savoir, c’est ce que vaut le rendu en 3D. Une fois le switch au maximum, un effet de flou apparaît au fond des décors, cachant alors quelques détails graphiques. Pourquoi avoir incrusté cet effet particulier ? Pour intensifier le premier plan du jeu, tout simplement, donnant ainsi un tout petit effet de profondeur dans votre machine. Certains parcours vous en mettront plein la vue ! Les contours sont propres, les textures adéquates, c’est beau et coloré, que demander de plus ?
Jouabilité : Le jeu est très intuitif et facile à prendre en main ! Nintendo sur ce registre semble imbattable. Seuls 2 petits boutons sont mis à contribution pour courir ou accélérer. Triple-saut, charge au sol, glissade, tous les mouvements caractéristiques du personnage sont au rendez-vous et s’exécutent sans le moindre mal, que ce soit au stick ou avec la croix directionnelle. Le jeu est d’une grande souplesse, capable de proposer des challenges aussi bien aux mordus de la difficulté qu’aux débutants du genre.
Durée de Vie : New Super Mario Bros. 2 propose la traditionnelle architecture de mondes divisés en pastilles de niveaux, chacun ouvrant une route vers une autre partie du monde. Un donjon intermédiaire est implanté au milieu de la carte, tandis que le gros château Koopa et son boss vous attend à la fin de chaque monde. Au terme du sixième, il vous suffira d’envoyer bouler Bowser pour libérer la princesse et voir le générique de fin : environ 6 heures. Il y aura bien deux mondes plus ou moins cachés à parcourir en sus, ce qui élève notre durée de vie principale entre 7 et 9 heures. Tout ça n’est pas bien lourd, mais les Mario n’ont jamais brillé pour leur durée de vie exceptionnelle.
Pour élargir la durée de vie, New Super Mario Bros. 2 va propose la possibilité de jouer à deux. Le mode de jeu est assez appréciable, permet à la fois la coopération et l’affrontement en simultané, et promet quelques fous rires. Le petit souci, c’est que le jeu impose l’écran partagé malgré l’obligation d’avoir chacun sa console. L’attention est alors focalisée sur le joueur hébergeant la partie, lequel conditionne l’avancée de l’équipe, l’autre joueur n’étant qu’un sous-fifre contraint à suivre un rythme imposé par son coéquipier !
Un compteur commun à tous vos profils de jeu (trois maximum) cumule les pièces que vous ramassez au fil des parties, en vous promettant une surprise une fois le million atteint. Le défi n’est pas impossible mais va réclamer du temps, même en considérant toutes les opportunités de ramassage qui s’offre à vous. Outre les traditionnelles pièces jetées dans le niveau, nombre d’options vous donneront la possibilité de décupler votre pécule. Citons par exemple le cube à pièce qui vous octroie une pièce à chacun de vos déplacements, les anneaux dorées qui feront jaillir des pièces d’un peu partout, la fleur en or qui donne à Mario le pouvoir de transformer de nombreux éléments du jeu en pièces, etc…
Même avec tout ça, le million est une limite lointaine, tenez-vous le pour dit ! Pour encore accroître le compteur, le jeu débloquera assez rapidement le mode « Pièces en folie » qui vous propose de parcourir trois niveaux choisis aléatoirement, en un temps très limité, pour y ramasser le plus de pièces.
Le jeu garde vos scores et les partage par Street Pass. Ce sera avant tout un attrait pour les scorers, et les joueurs plus intéressés par l’exploration/plates-formes n’y trouveront qu’un intérêt assez limité (quoique les timings sont parfois suffisamment serrés pour se donner quelques sueurs).
Évidemment, un tel déluge de pièces va nécessairement induire un grand nombre de vies collectées, puisque toutes les cent pièces, comme d’habitude, c’est le One Up. Et comme le jeu n’est pas spécialement très difficile, en moins d’une heure le chiffre de la dizaine sera déjà un souvenir. Le comptoir prévoit même un nombre de vie à trois chiffres, ce qui met un terme à nos espérances : malheureusement, NSMB2 sera très arrangeant avec sa difficulté. Il fait d’ailleurs comme les précédents épisodes : si vous chutez plusieurs fois au même endroit, on vous propose un moyen de finir plus rapidement et plus facilement. Les joueurs occasionnels y trouveront leurs comptes, les gamers râleront comme à leur habitude.
Bande Son : On reconnaît la plupart des thèmes classiques de Mario, mais ils sont tous entièrement refaits et certains donnent même l’impression d’être chantés par des choeurs.
Conclusion : New Super Mario Bros. 2 est un jeu de plateforme génial et indispensable. Mais si vous avez la version DS vous allez avoir une impression de déjà vue, avec certes quelques originalités et nouveautés mais sans plus. A vous de voir si vous en redemandez encore ou vous espériez autre chose. Difficile malgré tout de zapper ce jeu au gameplay parfait que tout joueur doit avoir dans sa collection !
[ARRIVAGE] New Super Mario Bros. 2 sur 3DS
En relevant mon courrier hier soir, j’ai découvert avec un immense bonheur, un paquet en provenance directe de chez Nintendo, que je remercie au passage. À l’intérieur se trouvait New Super Mario Bros. 2 sur 3DS ! Le packaging est assez original, puisque le blanc habituel des boîtes de jeu 3DS laisse ici la place à un jaune OR. Pour ce qui est du jeu en lui-même, j’ai simplement parcouru quelques mondes, histoire de me faire une idée et de voir à quoi il ressemblait. Ma première impression est, je ne vous le cache pas, EXCELLENTE ! On retrouve tout ce qui fait la force des Mario et je vous en dirai plus très rapidement, ici même, dès que j’aurai parcouru le jeu en long et en large. En tout cas, je m’y mets dès ce week-end. It’s me, Mario !
New Super Mario Bros. 2 reprend le système de jeu de New Super Mario Bros. sorti sur Nintendo DS. L’or a une grande importance sur le gameplay du jeu. En effet, pour finir le jeu, il sera nécessaire de collecter un million de pièces. Pour cela, de nombreux nouveaux objets sont disponibles afin d’arriver à cet objectif. Côté boss, le jeu marque le retour de Reznor, qui apparaissait déjà dans Super Mario World. Il marque aussi l’apparition de nouveaux personnages en squelette, comme la plante piranha ou le goomba. Un mode « Coin Rush » est également de la partie, dans lequel il faut parcourir des séries de 3 niveaux en ramassant le plus de pièces d’or possible. Les scores obtenus peuvent alors être comparé grâce à la fonction « StreetPass ».
[TEST] Freakyforms Deluxe sur 3DS
Digne successeur de Freakyforms, jeu du catalogue de l’eShop de Nintendo, Freakyforms Deluxe débarque sur 3DS dans une version boite !
Scénario : Freakyforms Deluxe est un jeu créatif. Le titre permet au joueur de créer ses propres personnages, appelés « Formix », mais également de modeler l’univers dans lequel se dérouleront leurs aventures. Le but du jeu consiste à explorer un monde qui prend vie progressivement grâce au joueur, qui peut donc relooker un peu tout et n’importe quoi dans le décor. Cet aspect créatif est assez plaisant, mais il y a également de la plate-forme dans Freakyforms. Une fois la créature enfantée, elle est propulsée dans un monde fait de blocs, de ravins, de plates-formes mobiles…
Graphismes : Freakyforms Deluxe pioche dans un registre enfantin en adoptant des formes simples qui ressemblent beaucoup aux dessins des plus jeunes. La richesse des modifications fait passer le challenge graphique au second plan.
Jouabilité : Tout commence par le modelage d’une créature appelée « Formix » que vous mettez au monde en assemblant diverses formes, des yeux, une bouche, etc…, combinées aux couleurs de vos choix. Viennent ensuite la désignation du nom, d’un tic de langage et du type de voix. L’outil de création est complet, plutôt simple d’utilisation. Il permet de créer tout et n’importe quoi, allant de la créature ressemblant vaguement à quelque chose de plus ou moins réaliste à l’horreur la plus totale. Une fois la planche à dessin maîtrisée et vos « Formix » animés, il est temps d’explorer un monde à scrolling horizontal regorgeant de plates-formes.
Niveau maniabilité, tout se fait au stylet et on peut ainsi se retrouver avec des déplacements beaucoup trop lents, ou opter pour des bonds que l’on effectue en tirant son personnage comme un élastique. Oui c’est plus rapide, mais c’est également moins précis, ce qui peut faire stresser un max quand le chrono est contre nous dans la réalisation d’une mission.
Durée de Vie : Freakyforms Deluxe propose des heures et des heures de divertissement créatif et parce que c’est encore plus drôle à plusieurs, le mode multijoueur vous permet, pour la première fois, de créer des « Formix » avec les autres utilisateurs de Nintendo 3DS. Vous pourrez même les partager via la fonction StreetPass ou les QR Codes présents dans le jeu. Vous pouvez aussi voir les « Formix » prendre vie devant vos yeux grâce à la carte de réalité augmentée. Difficile de faire plus complet.
Bande Son : Dès l’écran titre, le ton est donné : une chansonnette gaie qui rappelle les parcs d’attraction saupoudrée de fausses notes orchestrées avec justesse pour donner un style très bon enfant. Une franche réussite, même si la bande son tourne un peu en boucle au bout d’un moment.
Conclusion : Destiné aux plus jeunes, Freakyforms Deluxe est l’exemple parfait du bon jeu créatif capable de vous scotcher à l’écran avec trois fois rien. Le titre possède un univers coloré, enfantin et déjanté ! Le fait d’imaginer et de créer des personnages à l’infini tous plus loufoques les uns que les autres grâce à un éditeur qui ne requiert aucun talent artistique est vraiment très amusant !
