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[TEST] Halo 4 sur XBOX 360

Déjà vendue à plus de 45 millions d’exemplaires à travers le monde, la saga la plus célèbre du jeu-vidéo fait son retour sur XBOX 360. Il aura suffit d’un nouveau studio de développement (343 Industries) pour mettre en marche une toute nouvelle trilogie Halo ! Rassurez-vous, la cohérence et l’héritage de l’univers ont été soigneusement préservés malgré le monde mystérieux conçu pour l’occasion. ;)

Halo 4

Scénario : L’histoire se passe se passe en 2557 et débute là où celle de Halo 3 nous avait laissés ! Master Chief est resté en stase cryogénique plus de 4 ans à bord de ce qu’il reste de l’épave du Forward Unto Dawn. A l’approche d’une planète étrange, Cortana, sa partenaire IA de toujours, le sort de son sommeil pour affronter une nouvelle menace…

Halo 4

Graphismes : Digne d’un blockbuster américain, Halo 4 impressionne par la qualité de sa réalisation. Le moteur graphique exprime tout son potentiel et permet de profiter de gigantesques niveaux très détaillés qui sont sublimés par des effets de lumière de toute beauté. Vous traverserez la carcasse de la frégate UNSC Forward Unto Dawn, visiterez la planète Requiem, passerez par la tour des Prométhéens et même une ballade en vaisseau sera de la partie. Les textures sont profondes, les décors à couper le souffle et la modélisation des personnages, à commencer par les méchants Prométhéens, vraiment sublimes. Quant aux cinématiques, elles assurent et vous scotchent sur votre canapé ! Une vraie claque !

Halo 4

Jouabilité : Fidèle à la série, Halo 4 se classe dans la catégorie des « FPS ouverts » facile à prendre en main ! Le gameplay du titre de 343 Industries est fluide, nerveux dans les affrontements et s’appuie sur quelques changements. L’IA a totalement été revue et l’une des nouveautés frappantes est la différence de comportement entre les Promethéens et les Covenants. Ainsi, les premiers préfèrent agir en équipe et il n’est pas rare qu’un groupe tente de concentrer les tirs du Major pendant qu’un autre essaie d’attaquer sournoisement par-derrière. De leur côté, les seconds optent pour l’attaque de front, mais de manière bien plus organisée que précédemment. Dans cet opus, Master Chief a gagné en fluidité (malgré son incontournable combinaison) et les combats en intensité. Un arsenal toujours aussi impressionnant, ainsi que des véhicules taillés pour la guerre en milieu découvert, vous attendent tout au long de votre aventure rythmée par les tirs ennemis et les explosions !

Halo 4

Durée de Vie : Comptez une petite huitaine d’heures pour terminer la campagne en solo (enlever une heure de jeu si vous jouez en coopération avec des amis de bon niveau). Le titre propose quelques nouveautés très intéressantes dont le mode « Spartan Ops » qui permettra de revivre à la manière d’un feuilleton hebdomadaire les pérégrinations de la section qui voyageait à bord de l’UNSC Infinity. Le premier pack est gratuit (saison 1) et se voit suivit de très nombreux épisodes aux fils des semaines qui permettront d’étoffer la trame de l’histoire et de rallonger la durée de vie du jeu. Le  mode multijoueur permet de prendre part à une ribambelle de modes de compétition différents. Des modes qui pour la plupart n’ont plus de secret pour nous du fait qu’ils soient présents depuis les premiers épisodes. Ainsi on retrouve le classique deathmatch en équipe en 4 contre 4 ou en 8 contre 8, le mode territoire en 6 contre 6, le mode capture du drapeau en 6 contre 6, le fameux mode roi de la colline en 5 contre 5… mais d’un autre côté on découvre des nouveaux venus tels que le « mode parasite » qui est une amélioration du mode infection sauf que dans notre cas, les infectés ne prennent plus la forme d’élites mais carrément de parasites. Enfin, pour terminer, 343 Industries a pensé aux joueurs qui n’ont pas de connexion en ligne en mettant à disponibilité un mode multi en écran splitté. Jouable jusqu’à 4, il est entièrement paramétrable et on retrouve une grande partie des modes de jeu disponibles en ligne. Voilà de quoi satisfaire le maximum de monde. ;)

Halo 4

Bande Son : 343 Industries a vu les choses en grand et Halo 4 propose comme ses aînés une bande sonore d’excellente qualité. S’ajoute à cela les compositions musicales typiques de la série qui sont toujours aussi agréables à écouter. Le son des armes de l’UNSC a gagné en réalisme et l’exotisme des armes aliens fait mouche, ce qui donne au final quelque chose de plus crédible et percutant.

Halo 4

Conclusion : Halo 4 lance le nouveau cycle avec brio, reprenant et modernisant tout ce qui avait fait la réputation du premier épisode. Les fans de la série seront aux anges et les amateurs de FPS et de jeux à grand spectacle resteront sans voix devant les architectures spectaculaires proposées en permanence par le titre de 343 Industries ! L’un des hits de la fin d’année 2012 qui confirme le statut exceptionnel de cette licence ! Vivement le prochain ! :D

[TEST] Fable : The Journey sur XBOX 360

Après Fable : Heroes, faites maintenant place à Fable : The Journey, le nouveau titre de Lionhead, exclusif à Kinect ! Reste maintenant à savoir si il est vraiment judicieux de transformer cette série célèbre pour ses nombreux choix en un rail shooter… ? ;)

Scénario : Fable : The Journey vous replonge dans l’univers de Fable dans une expérience 100% Kinect en offrant aux joueurs une aventure linéaire, dans laquelle l’attention a été portée sur la narration, sur l’immersion et sur les émotions. L’histoire tourne autour du jeune rêveur Gabriel, l’un de ces marchands itinérants que l’on voit souvent en Albion. Séparé de sa caravane, il croise le chemin de la célèbre Thérésa et, malheureusement pour lui, voit ses souhaits d’aventures se concrétiser…

Graphismes : Le niveau de réalisation de ce « Fable » est en droite ligne de ce que sait faire Lionhead. En fait, la force du jeu tient à la dimension artistique de son univers, à sa cohérence et à son aspect de livre d’illustrations interactif. Les environnements sont somptueux, variés et respectent le style unique de la série. On retiendra en particulier l’effort apporté aux effets de matière comme la boue dans le crin de la jument, qui offre un rendu véritablement impressionnant. Comme d’habitude avec ce studio, les ambiances sont très marquées, enchanteresses quand elles doivent l’être, plus inquiétantes quand c’est nécessaire, une vraie leçon de savoir faire. Naturellement l’animation des personnages et des monstres est à l’avenant. On pourra toujours dire que c’est plus facile d’obtenir un très beau rendu dans un jeu de type « rail shooter », mais encore faut-il le faire. ;)

Jouabilité : Jouable en vue subjective, Fable : The Journey se contrôle et se joue assis (précisons-le) d’un bout à l’autre avec Kinect. Et,… Étonnement, le titre s’en sort plutôt bien. Sans être toujours précis, les contrôles demeurent intuitifs et réactifs. Côté gameplay, on alterne constamment entre deux phases principales. L’une vous met sur la route aux commandes de votre chariot tiré par votre cheval. Histoire de rendre ces balades linéaires un peu plus passionnantes, les développeurs intègrent divers éléments comme slalomer entre des obstacles, ramasser des orbes à des vitesses spécifiques, fuir le danger dans des cavalcades effrénées (ok, ok, je m’enflamme là!) ou même repousser des ennemis. Ponctuellement, des aires de repos permettent de soigner, nourrir et abreuver Seren (votre cheval) avant de repartir. Les secondes phases se déroulent à pied dans ce que l’on peut qualifier de  rail shooter. Votre perso acquiert tout au long de l’aventure divers sorts à améliorer : bouclier, lasso, salve d’éclairs, boule de feu ou lance de lumière. Entre la consommation de mana, l’efficacité selon les adversaires (Hobbes, Balverines, Hommes creux…) qui se parent parfois de protections à faire sauter et quelques puzzles, on sent la volonté d’offrir une action variée même si la répétitivité fait inévitablement son apparition.

Durée de Vie : L’intérêt de Fable : The Journey ne se trouve pas dans un challenge, qui, par ailleurs, est presque inexistant, mais dans le simple plaisir de la découverte, d’admirer de superbes paysages, et de passer d’une ambiance à une autre. On se surprendra d’ailleurs à parfois avancer au trot, juste parce que se promener sous les branches d’arbres majestueux est agréable, et qu’il n’y a donc aucune raison de se presser. Un concept pareil est finalement d’une originalité qui peut laisser perplexe l’amateur de frissons, et pourtant ce serait dommage de négliger le plaisir de juste parcourir ce monde pendant une dizaine d’heures. ;)

Bande Son : L’ambiance sonore est remarquable, puisque le doublage en français a été très soigné, avec des dialogues bien traduits et bien joués. La musique divine fait rêver et nous place au cœur de l’action. 

Conclusion : Fable : The Journey est un formidable appel à l’aventure. La progression est équilibrée et la réalisation est véritablement impressionnante. Textures de qualité, univers coloré, modélisations au top, effets spéciaux de toute beauté et voix en français dans une  ambiance remarquable… Sans aucun doute l’un des meilleurs jeux Kinect depuis la sortie de l’accessoire de Microsoft. Et pour une fois qu’il ne s’agit pas d’un jeu de danse ou  de yoga… ;)

[ARRIVAGE] Fable : The Journey sur XBOX 360

Ce matin, j’ai eu le plaisir de recevoir Fable : The Journey sur XBOX 360 de la part de Microsoft ! 8)

Fable : The Journey est un jeu d’aventure et d’action sur Xbox 360 qui requiert le périphérique Kinect. On y participe au voyage de Gabriel, un jeune héros malgré lui censé sauver le monde d’Albion. Le joueur, pouvant rester assis, lance des sorts lors des phases de combat et mène son cheval et sa carriole lors des nombreuses séquences de voyage. ;)

[TEST] Mark of the Ninja sur le Xbox Live Arcade

Les petits gars de Klei Entertainment sont de retour avec Mark of the Ninja,uniquement disponible sur le Xbox Live Arcade. Le jeu reprend le style graphique si particulier de la série Shank mais propose un gameplay radicalement opposé aux combats du héros mexicano ! ;)

Scénario : Dans Mark of the Ninja, vous incarnez un ninja élu d’un clan autrefois renommé et tombé en désuétude à cause de ce monde moderne où technologies et armes à feu ont pris le pas sur cet art ancestral qu’est le ninjutsu. Vous, successeur du maître actuel avez été choisi pour porter la « Marque », un tatouage conférant quelques habilités et capacités supplémentaires afin de protéger le clan d’une menace qui trouble vos traditions. Ce tatouage vous prendra en échange de votre lucidité, puisqu’il rend généralement ceux qui le portent fous et aveuglés par de nombreuses hallucinations et le seul moyen d’en réchapper reste la mort. C’est durant une attaque de votre domaine par des soldats paramilitaires que vous ferez vos premiers pas en tant que ninja…

Graphismes : Mark of the Ninja est un régal pour les yeux ! A l’image des deux épisodes de Shank, le titre arbore une réalisation comico-cartoon-esque qui prouve une fois encore que les développeurs de Klei Entertainment ont un goût des plus remarquables lorsqu’il s’agit d’habiller leur soft. Avec ses décors tout en jeux d’ombres chinoises et de contre-jour, ses animations splendides et son atmosphère sombre et stressante, ce jeu est de toute beauté !

Jouabilité : La prise en main est intuitive et notre héros bénéficie d’une large palette d’accessoires et de gadgets qu’il faudra utiliser à bon escient afin de progresser sans alerter les gardes dispersés dans les divers niveaux du jeu. Du kunaï aux étoiles ninja, en passant par les bombes fumigènes, tout est bon pour éviter la confrontation directe avec vos ennemis qui, si elle ne signifie pas obligatoirement votre mort, se révèle être une voie bien plus compliquée pour avancer. Chaque salle peut être appréhendée de diverses façons, que l’on privilégie l’attaque de front, le contournement via l’un des nombreux conduits d’aération ou tout simplement la patience, profitant des rondes des ennemis pour mieux les surprendre.
Du côté des armes, quand il n’use pas de l’un de ses nombreux gadgets, notre ninja peut faire gouter la lame de « l’épée du clan » à ses ennemis. Ainsi, dès que le joueur approche d’un ennemi sans se faire repérer, il ne lui reste plus qu’à presser le bouton X afin de dégainer son arme. Il suffit alors d’effectuer correctement la petite séquence de boutons qui s’affiche à l’écran afin de tuer sa cible en silence. Dans le cas contraire, votre potentiel victime alertera ses éventuels comparses qui rodent aux alentours, au risque de vous faire repérer. A ce sujet, chaque bruit, qu’il s’agisse d’un cri, d’une envolée de corbeaux ou même d’un bruit de pas, est symbolisé par des cercles qui nous renseignent sur son intensité sonore. Une bonne idée qui permet de visualiser votre capacité à alerter vos ennemis, lorsque vous courez par exemple. A l’inverse, il est possible de situer une cible qui marche dans la pénombre grâce aux bruits de ses pas. Le tout amène de la justesse au gameplay et permet au joueur de doser ses actions, qu’elles soient offensives ou défensives.

Durée de Vie : Comptez entre six et huit heures pour arrivé au bout des 12 niveaux de Mark of the Ninja. Il est néanmoins possible de rejouer tous les niveaux individuellement pour partir à la recherche des portes « Défis », récolter les parchemins cachés, et remplir des objectifs « Sceau » que vous auriez manqué durant votre premier passage. Il est également possible de débloquer de nouvelles tenues de ninja, aux priorités différentes de l’originale et qui vous forceront parfois à changer votre façon de jouer.  ;)

Bande Son : Dans Mark of the Ninja, on passe la majeure partie de son temps dans une ambiance silencieuse voir quasi absolu, saupoudré de quelques sursauts accompagnant certains évènements clefs. Quant aux doublages anglais ils sont très correct !

Conclusion : Mark of the Ninja est une petite pépite vidéo ludique et aussi étonnant que celà puisse paraitre, le titre de Klei Entertainment ne coûte 1200 MsP et se télécharge en une pression de bouton, pour peu que vous possédiez une XBOX 360. ;)

[TEST] Dust : An Elysian Tail sur le Xbox Live Arcade

Dust : An Elysian Tail est un beat’em all mâtiné de jeu de rôle disponible sur le Xbox Live Arcade. Le soft est le grand gagnant du Microsoft Dream.Build.Play Challenge de 2009 dont le grand prix était un contrat de diffusion sur le XBLA. C’est donc trois ans après avoir reçu ce trophée que le jeu arrive enfin dans nos XBOX 360 pour y être proposé à 1200 MsP. 8)

Scénario : Dust raconte l’histoire d’un ancien assassin ayant perdu la mémoire et de ses fidèles compagnons, Fidget une sorte de renard roux volant peureux et son épée enchantée mystique, Ahrah. A son réveil, notre héros se fait nommer Dust par les deux autres et se voit confier la quête de partir à la recherche de son sombre passé. Ainsi il va arpenter différentes régions du monde de Falana en aidant les plus démunis et en dézinguant des centaines de monstres sur son passage.

Graphismes : D’un point de vue technique, le titre est une pure merveille. Dust évolue dans un univers très coloré et féérique entièrement en 2D de très somptueuse facture et pousse même le vice d’animer avec une grande fluidité le moindre détail à l’écran en fonction de vos actions.  

Jouabilité : Dust est avant tout un beat’em all en 2D, il s’agit donc de buter du méchant à tour de bras. Le protagoniste principal dispose d’un panel de coups limité mais que l’on peut combiner sans la moindre difficulté. Très vite, on parvient à créer des enchainements ultra dynamiques, au sol comme en l’air, preuve de l’accessibilité époustouflante du soft. Le titre incite le joueur à faire exploser le compteur de combos, qui dépasse facilement les 1000 hits quand on maitrise le système. En alternant entre les assauts à l’épée, les attaques magiques de Fidget et la capacité baptisée « Tornade », on crée des chorégraphies épatantes qui détonent à travers tout l’écran. RPG oblige, chaque ennemi vaincu vous alloue un peu d’expérience. Lorsque vous franchissez un pallier de niveau, il est possible d’améliorer l’une de vos caractéristiques. Jauge de vie, attaque, défense et magie,… à vous de choisir dans quoi vous spécialiser. Des équipements disponibles chez le marchand viennent également booster vos statistiques. Ces derniers peuvent aussi être forgés directement depuis votre inventaire à partir du moment où vous avez ramassés le plan de construction et les matières premières nécessaires sur les monstres abattus. Par contre, il est regrettable que le héros n’acquière pas plus de coups tout au long de l’épopée… ;)

Durée de Vie : Comptez une bonne dizaine d’heures pour terminer un titre plutôt facile pour lequel il faudra considérer commencer en difficile afin d’avoir un minimum de challenge. Quelques défis vous seront proposés histoire de booster un peu la durée de vie, mais surtout la complétion des niveaux à 100 % demandera quelques heures de plus, entre les coffres cachés, les amis à trouver, les quêtes annexes ou un peu de leveling. Mais malgré cela, on y reviendra jamais sans rechigner tant l’ambiance du soft envoûte le joueur…

Bande Son : L’ambiance sonore et le doublage original sont de très bonne qualité. Tantôt discrète, tantôt épique, la musique souligne exactement l’action que l’on est en train de vivre à l’écran. 

Conclusion : Dust : An Elysian Tail est LE jeu de ce Summer of Arcade 2012 qui restera gravé dans les mémoires ! Les personnages sont attachants, l’histoire est touchante, la réalisation est magnifique et le gameplay est addictif. À 1200 MsP, ce jeu est un véritable chef-d’oeuvre qui mérite vraiment toute votre attention ! 8)

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