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[TEST] Double Dragon : Neon sur le Xbox Live Arcade
Les vieux gamers amateurs de baston retro perdus au milieu des méandres de la nouvelle génération peuvent se réjouir car le studio américain WayForward Technologies ressort du placard la license Double Dragon dans une toute nouvelle aventure (intitulée Neon) du hit de bornes d’arcade pour le compte de Majesco ! Nous allons voir dans ce test, si les deux frères Billy et Jimmy maîtrisent toujours autant les bourre-pifs et les coups de latte dans les valseuses. 
Scénario : Les frères jumeaux Billy et Jimmy partent à la rescousse de la belle Marion, leur amour commun (c’est pas très catholique tout ça…), kidnappée par des voyous méchants pas beaux en pleine rue. Euh… ? C’est tout ? Oui car le scénario tient sur un post-it ! Ah ok … Non, sans déconner, vous vous attendiez à quelque chose de ce côté-là ?
Graphismes : Ambiance ultra kitsch oblige, l’enrobage fluorescent très années 80 en Haute Définition fait plaisir à voir. Le design des personnages est assez réussi et les environnements que vous allez traverser empruntent des chemins inattendus, allant du quartier chinois au vaisseau spatial en passant par le laboratoire secret ou la forêt de mort-vivants.
Jouabilité : La jouabilité d’antan fait encore recette et les contrôles répondent au doigt et à l’oeil ! On donne des coups de lattes et des patates en tapotant sur 2 boutons, choppe l’adversaire quand celui-ci est dans les vapes, on lance également des objets/armes et on court/esquive avec les gâchettes. Durant votre partie vous ramasserez des cassettes audio et chacune de celle-ci correspond à un attribut/pouvoir spécial. Il y a 10 cassettes différentes de pouvoirs offensifs et 10 autres de pouvoirs défensifs pouvant être enrichi via des achats en magasin ou grâce à votre ami forgeron.
Durée de Vie : Grâce (à cause ?) aux continus infinis, vous ferez le tour des dix niveaux de Double Dragon : Neon en seulement quelques petites heures (en mode normal). S’il est fortement recommandé de jouer avec un ami en co-op, le potentiel de rejouabilité reste malgré tout relativement faible. D’ailleurs, on regrettera l’absence d’un multijoueur en ligne…
Bande Son : Pas de doublages en français (grrrr), mais… mais… mais… on retrouve des musiques inspirées de thèmes des années 80 et des bruitages arcades typiques des beat’em all sortis durant cette même période, dans une ambiance sonore complètement folle ! Notez que si vous vous sentez l’âme d’un mélomane et que vous êtes restez dans les années 80, il vous suffit de cliquer ici pour récupérer la B.O. de Double Dragon : Neon gratuitement. 
Conclusion : Double Dragon sorti en 1987 sur borne d’arcade, a marqué toute une génération de joueurs par son gameplay simple, son scénario digne des plus grands films d’action (bon ça va, on peut déconner, non?…) et sa difficulté croissante. Aujourd’hui nous sommes face à un reboot, qui rend hommage à la série d’une très belle façon. 
[TEST] Dust : An Elysian Tail sur le Xbox Live Arcade
Dust : An Elysian Tail est un beat’em all mâtiné de jeu de rôle disponible sur le Xbox Live Arcade. Le soft est le grand gagnant du Microsoft Dream.Build.Play Challenge de 2009 dont le grand prix était un contrat de diffusion sur le XBLA. C’est donc trois ans après avoir reçu ce trophée que le jeu arrive enfin dans nos XBOX 360 pour y être proposé à 1200 MsP.
Scénario : Dust raconte l’histoire d’un ancien assassin ayant perdu la mémoire et de ses fidèles compagnons, Fidget une sorte de renard roux volant peureux et son épée enchantée mystique, Ahrah. A son réveil, notre héros se fait nommer Dust par les deux autres et se voit confier la quête de partir à la recherche de son sombre passé. Ainsi il va arpenter différentes régions du monde de Falana en aidant les plus démunis et en dézinguant des centaines de monstres sur son passage.
Graphismes : D’un point de vue technique, le titre est une pure merveille. Dust évolue dans un univers très coloré et féérique entièrement en 2D de très somptueuse facture et pousse même le vice d’animer avec une grande fluidité le moindre détail à l’écran en fonction de vos actions.
Jouabilité : Dust est avant tout un beat’em all en 2D, il s’agit donc de buter du méchant à tour de bras. Le protagoniste principal dispose d’un panel de coups limité mais que l’on peut combiner sans la moindre difficulté. Très vite, on parvient à créer des enchainements ultra dynamiques, au sol comme en l’air, preuve de l’accessibilité époustouflante du soft. Le titre incite le joueur à faire exploser le compteur de combos, qui dépasse facilement les 1000 hits quand on maitrise le système. En alternant entre les assauts à l’épée, les attaques magiques de Fidget et la capacité baptisée « Tornade », on crée des chorégraphies épatantes qui détonent à travers tout l’écran. RPG oblige, chaque ennemi vaincu vous alloue un peu d’expérience. Lorsque vous franchissez un pallier de niveau, il est possible d’améliorer l’une de vos caractéristiques. Jauge de vie, attaque, défense et magie,… à vous de choisir dans quoi vous spécialiser. Des équipements disponibles chez le marchand viennent également booster vos statistiques. Ces derniers peuvent aussi être forgés directement depuis votre inventaire à partir du moment où vous avez ramassés le plan de construction et les matières premières nécessaires sur les monstres abattus. Par contre, il est regrettable que le héros n’acquière pas plus de coups tout au long de l’épopée…
Durée de Vie : Comptez une bonne dizaine d’heures pour terminer un titre plutôt facile pour lequel il faudra considérer commencer en difficile afin d’avoir un minimum de challenge. Quelques défis vous seront proposés histoire de booster un peu la durée de vie, mais surtout la complétion des niveaux à 100 % demandera quelques heures de plus, entre les coffres cachés, les amis à trouver, les quêtes annexes ou un peu de leveling. Mais malgré cela, on y reviendra jamais sans rechigner tant l’ambiance du soft envoûte le joueur…
Bande Son : L’ambiance sonore et le doublage original sont de très bonne qualité. Tantôt discrète, tantôt épique, la musique souligne exactement l’action que l’on est en train de vivre à l’écran.
Conclusion : Dust : An Elysian Tail est LE jeu de ce Summer of Arcade 2012 qui restera gravé dans les mémoires ! Les personnages sont attachants, l’histoire est touchante, la réalisation est magnifique et le gameplay est addictif. À 1200 MsP, ce jeu est un véritable chef-d’oeuvre qui mérite vraiment toute votre attention !
[TEST] Cartoon Network : Punch Time Explosion XL sur XBOX 360
Après un passage sur Nintendo 3DS, Cartoon Network, le jeu de Papaya Studio nous revient dans une version consoles de salon baptisée pour l’occasion « Punch Time Explosion XL ». Le jeu reprend tout ce qu’il y avait dans la version 3DS en y ajoutant huit personnages supplémentaires, des nouveaux niveaux, des nouvelles attaques spéciales, des nouveaux modes (arcade, story, training, co-op jouable à 4) et une boutique pour débloquer des bonus.
Scénario : Des forces mystérieuses entraînent la collision de deux mondes et bientôt les personnages mythiques de 11 dessins animés de Cartoon Network s’affrontent lors de combats hors du commun !
Incarnez 26 personnages de vos série préférées de Cartoon Network, parmi lesquels Ben 10, Johnny Bravo, les Super Nanas, Dexter ou encore le Capitaine Planète ! En mode histoire ou en versus, prenez part à des combats en mêlée dans 32 niveaux et environnements issus des meilleurs épisodes des séries Cartoon Network ! Livrez des combats sans pareil et unissez vos efforts pour repousser les forces du mal lors de l’affrontement ultime.
Graphismes : Techniquement, le titre est assez moyen, le level design est un peu trop simpliste même si les environnements nombreux sont variés et fidèle aux dessins animés dont il s’inspire. Les animations sont plutôt correctes dans l’ensemble !
Jouabilité : Cartoon Network Punch Time Explosion XL est un Super Smash Bros Like, qui consiste à lâcher 4 personnages dans une arène jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un seul. Et sur le concept, le titre de Papaya Studio fait très bien son office, puisqu’il est en tous points identique : un pourcentage de dégâts qui indique la forme et la résistance du héros et qui s’accroît au fur et à mesure des coups encaissés, des décors interactifs qui viendront également mettre leur grain de sel, et enfin plein de bonus qui viendront aider leur utilisateur, ou pas… Et lorsqu’on dit que le jeu est identique, on pourrait même dire que c’est un clone, puisque toutes les fonctionnalités et attaques sont bien là dans leur fonctionnement. Vous aurez ainsi en dehors du bouton pour la choppe et du bouton de défense/esquive, un bouton pour les coups classiques qui sont chargeables, et un pour les coups spéciaux. Combinés avec une direction, ces deux boutons créeront une attaque différente. La grosse différence de gameplay vient du saut attribué à un bouton et non sur la direction haut, mais aussi sur l’attaque Punch Time Explosion, cette attaque dévastatrice unique qui pourra être lancée une fois la jauge affiliée remplie grâce aux cubes qui tombent lorsqu’un personnage encaisse des dégâts. Malheureusement, la sauce ne prend pas aussi bien qu’un Super Smash Bros malgré le casting beaucoup plus sympathique que celui de l’univers de Nintendo.
Durée de Vie : Le mode histoire, vous entraîne dans une aventure agréablement diversifiée dans l’agencement de ses phases de gameplay, alternant combats classiques, passages de plateformes plus ou moins ardus, et mini-jeux qui, s’ils ne sont pas d’un niveau abasourdissant, ont le mérite d’être présents et d’offrir au joueur une variété rafraîchissante qui contribue à tenir la monotonie et la redondance à l’écart. Jouable en co-op, ce story-mode présente, de plus, une durée de vie assez conséquente pour un jeu de ce type. Le jeu comporte bien entendu un mode bataille jouable en solo ou en multi, paramétrable en fonction de vos aspirations du moment. Un magasin permettra également aux amateurs de collection de débloquer, au moyen de points gagnés au combat, tout un éventail d’éléments tels que de nouveaux personnages jouables, des clips TV issus des séries (et malheureusement en VO non sous-titré, ce qui peut sembler abscons à la tranche d’âge du public visé par ces dessins animés), des stages inspirés des univers concernés, des costumes… Bref, de quoi faire ! Et pour conclure, sachez que ce sont, en tout, 26 personnages que vous pourrez incarner dans les différents modes, issus de séries telles que Supers Nanas, Ben 10, Samurai Jack, Chowder ou encore Kids Next Door, en passant par Dexter ou Captain Planet. Un choix assez large et une liste d’avatars variée et hétéroclite, réjouissante… Si tant est que vous accrochez aux dessins animés en question…
Bande Son : Pour ce qui est des thèmes musicaux et autres bruitages, ils sont assez fadasses dans l’ensemble… Le doublage est entièrement en anglais avec des sous-titres en français. Une honte quand on voit que c’est un titre destiné aux enfants.
Conclusion : Seul ou entre potes, le seul plaisir que procure Le Choc des Héros vient de son univers, mais pas de ses enjeux ou des sensations qu’il génère. Si vous êtes un fan de Cartoon Network et de ses dessins animés, peut-être trouverez-vous ici le prétexte pour vous plonger, quand bon vous chante, au milieu de vos héros préférés. Si vous êtes totalement étranger aux séries d’animations américaines, cette porte d’entrée ne semble pas la plus appropriée pour une bonne initiation.
[TEST] Lollipop Chainsaw sur XBOX 360
Édité par Warner Interactive et développé par Grasshopper Manufacture, sous la direction de Goichi Suda (Suda51), Lollipop Chainsaw raconte les aventures trépidantes de l’adorable chasseuse de zombies Juliet Starling. Des zombies affamés, des pom-pom girls sexy et des combats à la tronçonneuse, voici de quoi plaire à bon nombre de joueurs et contrairement, aux apparences ce jeu n’est pas un produit destiné aux geeks frustrés en manque de câlins (enfin si un peu…).
Scénario : Le jour de ses 18 ans, la très sexy Juliet Starling doit mettre au jour l’origine d’une gigantesque invasion zombie. Armée de sa tronçonneuse, Juliet découpe, démembre et dépèce des hordes de mort-vivants, avant de découvrir que ces attaques ne sont qu’un avant-goût de l’assaut prévu par de puissants seigneurs zombies bien décidés à l’éliminer.
Graphismes : Lollipop Chainsaw est clairement une réussite visuelle dans son genre. Les graphismes ne sont pas parfaits et même légèrement ternis par un aliasing désagréable, mais le design général et les multiples trouvailles visuelles rehaussent l’ensemble. Le studio offre une nouvelle fois aux joueurs un jeu vidéo dont il a le secret. Tout en Cel-Shadding, le titre affiche une ambiance séduisante, old-school et un charme propre au titre.
Jouabilité : Prendre en main Lollipop Chainsaw est un jeu d’enfant. Le gameplay de Lollipop Chainsaw repose de ce fait sur des composantes somme toute classiques. Le jeu prend en effet des airs de beat’em all où l’action s’enchaîne dans des élans parfois trop rébarbatifs. Les phases de jeu ont tendance à se ressembler, créant une progression un peu lourde par moments. Munie de ses pompons de pom-pom girl, Juliet pourra étourdir ses adversaires pour ensuite les découper plus facilement. Une touche permet toutefois des attaques plus puissantes, mais forcément plus lentes à sortir. Il s’agira ici de l’utilisation de la tronçonneuse de la belle, un véritable couteau suisse tellement il arbore de gadgets. Bien entendu, on démarre avec peu de combos, mais progressivement, les enchaînements s’étofferont en passant par la case boutique.
Durée de Vie : Le rythme endiablé de ce Lollipop lui pose problème quant à sa durée de vie. Comptez environ 6 heures pour terminer le jeu la première fois. On enchaîne les niveaux, finalement peu nombreux, très rapidement. Trois modes de jeu sont présents, en plus de l’histoire. Le mode Contre-la-montre , le mode Score et le mode Chasse aux médailles. Vous aurez donc le choix de refaire les niveaux en fonction de ces modes. Mais ces modes s’adressent avant tout aux fans et aux amateurs de Scoring. Une fois vos performances terminées, vous pourrez les comparer avec ceux des membres de la famille de Juliet (ce qui débloquera des bonus si vous les battez) mais également avec le monde entier ou tout simplement avec vos amis.
Bande Son : L’ambiance sonore est plutôt réussie, la musique faisant référence aux fameuses sucettes de notre héroïne se déclenche toujours au bon moment et contribue à nous immerger dans le délire créatif de Suda 51. Le style est très éclectique et colle parfaitement à l’action. Les dialogues feront souvent sourire et répondront à l’atmosphère déjantée qui vous est servie sur un plateau d’argent. Les magasins vous offriront la possibilité d’acheter ces titres pour les réécouter plus tard dans votre juke-box.
Conclusion : Comme souvent dans les jeux estampillés Suda 51, le scénario est à prendre au 32ème degré et Lollipop Chainsaw ne déroge pas à la règle, bien au contraire. Le jeu assume de bout en bout son ambiance série Z et propose une expérience complètement décalée, bourrée de références au cinéma de genre. Lollipop Chainsaw est un nouvel Objet ludique non identifié clairement sous acide qui ne manquera pas d’amuser les amateurs d’arcade en manque de folie et d’originalité. Qu’importe qu’il soit trop court et pas aussi beau qu’espéré, le fun et le plaisir qu’il procure valent bien quelques sacrifices.
[TEST] Fable Heroes sur Xbox Live Arcade
Après un troisième volet plutôt pas mal, et en attendant un Fable : The Journey qui devrait débouler le 13 octobre prochain, Lionhead Studios propose aux fans de la licence de patienter un peu jusqu’à l’automne avec Fable Heroes, disponible exclusivement en téléchargement sur le Xbox Live Arcade.
Scénario : Fable Heroes est un jeu d’action coopératif ! Jouable à 4, le titre vous propose de contrôler une marionnette à l’effigie d’un personnage clé de la série puis de traverser des niveaux en abattant Hobbes et autres Hommes Creux par dizaines. L’objectif est de ramasser des pièces d’or pour pouvoir améliorer votre héros. De petits intermèdes comme des courses ou des mini-jeux sont également présents et permettent d’instaurer un peu plus de concurrence entre les joueurs !
Graphismes : Fable Heroes se veut familial, avec des graphismes cell-shading colorés et enfantins ! Très agréable à regarder, le titre réserve son lot de paysages soignés dans un mélange de couleurs savoureux. Les animations, très proches de celles des épisodes canoniques de la série, tiennent également la route. Notez d’ailleurs que les personnages que l’on peut incarner s’avèrent être de petites « marionnettes » au design mignon tout plein !
Jouabilité : Bien qu’il soit rapidement divertissant durant les mini-jeux d’adresse de fin de niveau, le gameplay du jeu est extrèmement répétitif car il vous faudra, pour parvenir à vos fins, matraquer un bouton pour une attaque classique, un autre pour une attaque puissante et un dernier, via la gâchette droite, pour une attaque dévastatrice mais qui, en contrepartie, vous fera perdre un cœur ! Quant aux ennemis, ils ne sont pas bien méchants (même avec le mode de difficulté le plus haut) mais vous pourrez toujours tenter quelques esquives par-ci par-là… Les niveaux sont tout de même agrémentés par des items à ramasser qui activent des pouvoirs et pimentent un peu le jeu. On peut par exemple devenir très grand, minuscule ou invisible, ralentir le temps, changer d’apparence, ect… Pour obtenir le meilleur score à la fin de chaque partie, les développeurs ont pensé à intégrer au gameplay un système de lots basé sur la récolte de pièces d’or qui permettront à chaque fin de niveau de s’adonner aux joies d’un petit jeu de l’oie pour débloquer améliorations, nouveaux coups ou skins de personnages.
Durée de Vie : En termes de contenus, le jeu est plutôt satisfaisant car, bien qu’il soit possible de le rusher en seulement deux petites heures (seul ou à quatre joueurs en local ou en ligne), des tonnes d’à-côtés resteront à débloquer. Entre les dizaines de capacités supplémentaires et les huit personnages secrets, il y a de quoi faire. D’autant plus que si l’on veut voir tous les boss et les mini-jeux (du foot avec des poules, de la descente de lave ou encore de la course de chariot sur rails), il faudra refaire chaque niveau. En outre, un second monde qui accroît la difficulté et change l’aspect des décors s’ajoute à cela à la fin de l’aventure et un dernier niveau sera rendu accessible quand la communauté aura franchi un certain seuil de pièces d’or.
Notez que le titre propose une fonction de transfert de fonds en direction du jeu Fable : The Journey lorsqu’il sera disponible !
Bande Son : Les bruitages sont corrects mais ne sortent pas de l’ordinaire ! Les musiques sont entraînantes et joyeuses avec un air qui rappelle l’époque médiévale et qui, pour le coup, colle bien avec l’univers de Fable !
Conclusion : Fable Heroes est un jeu avant tout destiné aux plus jeunes d’entre nous ! Le jeu se veut accessible et facile, ce qui m’a permis d’y jouer avec ma fille de 6 ans ! Malgré les mauvaises critiques que j’ai pu lire un peu partout sur le net, de mon côté, je dois vous avouer que j’ai pris du plaisir à y jouer pendant ces quelques heures !
