[TEST] DeadLight sur Xbox One

Sorti il y a 4 ans sur Xbox 360 à l’occasion de l’événement estival du Xbox Live Arcade : le « Summer Of Arcade », Deadlight m’avait à l’époque complètement séduit par son ambiance et son gameplay malgré une durée de vie beaucoup trop maigre… Aujourd’hui, Tequila Works nous ressort une édition « Director’s cut » (en boite svp !) de son titre sur Xbox One… Nous allons donc voir ce que nous réserve un peu ce survival-horror via les quelques lignes qui suivent !

Scénario : 1986, la côte ouest des Etats-Unis est complètement ravagée par une mystérieuse maladie ayant transformée la population en monstres assoiffés de sang. Wayne Randall (notre héro) part à la recherche de sa femme et de sa fille. Ces dernières sont censées avoir trouvé refuge dans un lieu protégé de la menace des ombres, des créatures zombies qui tuent ou contaminent les rares êtres vivants. Son périple va le mener à explorer la ville de Seattle en ruine où le chaos règne aussi bien à sa surface, que dans ses bâtiments, ses toits ou encore ses souterrains…

Graphismes : Disposant d’un style graphique en « contre-jour » bien particulier, le titre de Tequila Works en met rapidement plein les yeux et arrive même à nous immerger corps et âme dans son ambiance si glauque ! Les environnements sont variés et superbement réalisés et les jeux de couleurs et d’ombres sont bluffants, tout comme les nombreux détails dont regorgent les niveaux que vous traverserez. Quand aux images, genre BD, utilisées entre les scènes d’action, elles sont tout particulièrement soignées. 8)

Jouabilité : Deadlight est avant tout un jeu de plate-formes en 2D, où vous devrez évoluer dans un milieu apocalyptique. La prise en main est intuitive et immédiate. Randal peut sauter, courir, charger, utiliser des armes tel que la mitrailleuse, le cocktail Molotov, la hache et le fusil de précision pour se défendre ou interagir avec le décor. Bref, la palette d’action est vraiment variée et simple à exécuter, si bien que l’on prend énormément de plaisir à résoudre les différentes énigmes que nous réserve l’aventure même si celles- ci ne sont pas vraiment difficiles !

Durée de Vie : Ne vous fier pas au compteur du jeu qui vous dira que vous l’avez terminé en deux heures de temps, car celui-ci ne prend en compte ni les pauses, ni les chargements, ni les morts, ni les scènes recommencées. Comptez plutôt 4 bonnes heures pour arriver au bout de l’aventure. S’ajoute à cela, un mode « survie en arène » où le but (comme son nom l’indique) sera de survivre le plus longtemps possible face aux hordes de zombies assoiffées de sang qui vous pourchasseront. Celui-ci est associé à un classement, en fonction du temps de survie des joueurs. De plus, cette version Xbox One propose un mode de difficulté Cauchemar, qui se débloquera une fois votre première partie terminée. Celui-ci révèle une fin alternative une fois la partie terminée… À noter que les niveaux sont rejouables si vous souhaitez trouver tous les objets ! De quoi bien vous occuper dans cet univers apocalyptique unique !

Bande Son : Même constat positif du côté de la bande-sonore qui se marie à merveille avec le genre en nous embarquant dans une aventure dotée d’une direction artistique irréprochable ! La narration et la mise en scène ont également bénéficié d’un grand soin pour au final nous proposer une expérience digne de ce que peut nous offrir l’industrie du cinéma.

Conclusion : Tequila Works prouve qu’il est inutile de claquer 70 balles pour passer un bon moment. Deadlight est prenant d’un bout à l’autre, jamais trop difficile certes, mais au gameplay efficace et agréable… Pour 19€, il serait vraiment dommage de ne pas tenter l’expérience ! ;)

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